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"Exercice de style"
soufflé par l'auteur poéte Olivier Apert
lundi 11 mai 2009
Carte Poulstale du Pays basque
Frou frou des jupons s’égosillent « hantent » sous mains fébriles de l’encensoir sous « créneauligne ».
Flag ! La « giffle »° a claqué comme un coup de fouet dans l’entrebâilleur du confessionnal. Le curé fit livrer à la rebelle confessée 100 entre-deux de glaïeuls rouges et d’arômes.
« Faites diligente enfant de curé, enfant de Comraie . « Framçoise » devra les recevoir avant les « poults » de canons de la fête de Saint Antes Pieds de Port.
° Lire « L‘Eldorado du corps » du même auteur pour l’orthographe de la gifle à deux FF
Les flons flons des accordéons et des <« pistouls » sur le fronton de la pelote basque s’entend dans tous les monts alentours.
Sur les « bants » les vieilles chaperonnes dégustent les frites les frites « houl-lantes » croustillantes.
Oult-ante ! Oult-ante !
« Broullantes » les frites ! Cric-Crac des mandibules .
Les « tissoults » rouge , blanc et vert battent le vent attachés entre les balcons, clochers , remparts, hissés à toutes de « potantes » et les mâts de « cocagnons » ; entrecoupés aux talons des rues aux fanions : des guirlandes de piments d’ « Espelondes » .
La houlette du berger titillerait les fruits lourds et gonflées des corsages, corps sages amidonnés - amies don né.
« Arrête berger, sonne une voix « fouldroyante », retourne à ton « troulpeau », « poulbeau » ! Le con de la femelle est un citron . Citron fait cailler le lait bon. »
La franche frimousse du berger est hébétée, il ne voit que les framboises muries de la vieille° de la veille dans la houle du vent………………………………….. de la prairie « joulxtant » l’entreclos de ses brebis.
° Je garde le lapsus de la première lecture
« Frolénes fragiles aux odeurs de bancs de marée, de « bants » de mariées . . . . . . . feulement d’hommes en « trantse » en transit. . . . . .. . .. . . . .Les fla fla de leurs « houlssements » d’ailes.
Entre croches à frisons, « fellines » formes : frimas hérissant leur poils . . . . . . . . . .
Ainsi fond , fond , font dans les « flons flantes » du bal de Sainte Antes aux Pieds de Porc.
Odette Souche
PS : Tous les matins de 7 heures à 10 heures, je fais ma gymnastique, prend mon bain de mer et mon thé sur la jetée en face de l’entrée des chaluts du port de Saint Jean de Luz. Après je pars dans les terres.
Vous attends un jour. Ma divine « Hauteur ». Chérido mio, Monsieur Souche.
Frou frou des jupons s’égosillent « hantent » sous mains fébriles de l’encensoir sous « créneauligne ».
Flag ! La « giffle »° a claqué comme un coup de fouet dans l’entrebâilleur du confessionnal. Le curé fit livrer à la rebelle confessée 100 entre-deux de glaïeuls rouges et d’arômes.
« Faites diligente enfant de curé, enfant de Comraie . « Framçoise » devra les recevoir avant les « poults » de canons de la fête de Saint Antes Pieds de Port.
° Lire « L‘Eldorado du corps » du même auteur pour l’orthographe de la gifle à deux FF
Les flons flons des accordéons et des <« pistouls » sur le fronton de la pelote basque s’entend dans tous les monts alentours.
Sur les « bants » les vieilles chaperonnes dégustent les frites les frites « houl-lantes » croustillantes.
Oult-ante ! Oult-ante !
« Broullantes » les frites ! Cric-Crac des mandibules .
Les « tissoults » rouge , blanc et vert battent le vent attachés entre les balcons, clochers , remparts, hissés à toutes de « potantes » et les mâts de « cocagnons » ; entrecoupés aux talons des rues aux fanions : des guirlandes de piments d’ « Espelondes » .
La houlette du berger titillerait les fruits lourds et gonflées des corsages, corps sages amidonnés - amies don né.
« Arrête berger, sonne une voix « fouldroyante », retourne à ton « troulpeau », « poulbeau » ! Le con de la femelle est un citron . Citron fait cailler le lait bon. »
La franche frimousse du berger est hébétée, il ne voit que les framboises muries de la vieille° de la veille dans la houle du vent………………………………….. de la prairie « joulxtant » l’entreclos de ses brebis.
° Je garde le lapsus de la première lecture
« Frolénes fragiles aux odeurs de bancs de marée, de « bants » de mariées . . . . . . . feulement d’hommes en « trantse » en transit. . . . . .. . .. . . . .Les fla fla de leurs « houlssements » d’ailes.
Entre croches à frisons, « fellines » formes : frimas hérissant leur poils . . . . . . . . . .
Ainsi fond , fond , font dans les « flons flantes » du bal de Sainte Antes aux Pieds de Porc.
Odette Souche
PS : Tous les matins de 7 heures à 10 heures, je fais ma gymnastique, prend mon bain de mer et mon thé sur la jetée en face de l’entrée des chaluts du port de Saint Jean de Luz. Après je pars dans les terres.
Vous attends un jour. Ma divine « Hauteur ». Chérido mio, Monsieur Souche.
Frankie Pain
Bravo!
RépondreSupprimerje vais m'abonner comme ça j'aurai tous tes nouveaux messages..
PP