Ce cher Pin a été rasé.
Il prenait trop la vue.
Comme quoi entre humains
çà tergiverse
avec les arbres çà le fait
à la scie .
Trés cordailement vôtre
Le
poème dans le texte écrit d’un journal c’était la quinzaine littéraire
Modèle
que fait le blog SILO
Gibraltar
Gibraltar
Petite misère
Trafalgar
Les eaux de la mer de Chine
Ses souliers esquintés
Noblesse, sauvagerie
Cela : c’est une chose de femme !
Ma petite , ma
très chére Gilbraltar
2
Les deux dessins
Deux femmes
L’endormissement du soleil
Bercements : vent , chuinti des vagues
Evanouie de l’odeur des lichens.
La jeune femme au foulard rouge, robe jaune
Attendre penser.
Elle ne regarde plus rien.
Elle ne regarde plus rien.
Elle cherche le mot « délivrance »..
" Nous ne sommes véritablement nous-mêmes qu'au plus aride de notre
solitude. "
(Edmond Jabès)
(Edmond Jabès)
et je vous dis à demain pour la suite de la récolte.
Votre Frankie Map's Monde
Fort bien écrit, Frankie ! Alors ce pin, il fut réellement coupé ou pas, et pour ces ridicules raisons-là ? Ça se pourrait fort bien, tiens. J'ai vu ça se produire trop souvent : l'arbre qui bloquait la vue !
RépondreSupprimerSaperlipotte et perlin pain pin!! quelle tristesse d'avoir abattu cet arbre
RépondreSupprimeret oui un restorateur peut gagner des étoiles pour la qualité d'une vue..;
RépondreSupprimermerci de vos mots toujours plaisants à lire .
Gros kiss ensoleillé du jour