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outres de mère
attention Hyppopotame en vue
lapsus c'est génial pour dire ce que l'on ne peut écrire
la plus belle fin, il avait la trace de ses seins sur ses joues
manière courtoises
j'aime une normande
Il ruminait encore les morceaux de sa chair qu'il avait dégustés
les prochains rounds seront des hyper cuts
exil expresso double
Diagonale du lundi 12 mars 2020
F . P
Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
La diagonale du porc
RépondreSupprimer"C'est nouveau, ça vient de sortir" !
J'ai lu tes réponses Frankie sur ton blog et sur le mien.
RépondreSupprimerTon analyse est je le redis en partie très juste.
Nous nous frôlons les uns les autres grâce à nos blogs mais nous n'entrons pas dans le "dur".
Il y a là sûrement une réaction de gens "gâtés" par la vie et qui veulent bien montrer un peu de ce quotidien rassurant qui est le leur. Qui se rassurent ainsi aussi sur ce quotidien.
Mais il y a je crois autant de motivations différentes que de blogueurs.
Quand j'ai ouvert mon premier blog, je me souviens très bien que je l'ai fait dans l'idée que d'afficher quelques photos et quelques dates, cela me permettrait d'en garder la trace alors que la mémoire est si volatile.
Et puis quelques personnes commentent et l'on se prend au jeu d'aller les uns chez les autres.
On se rend vite compte qu''une bonne partie de nos "visiteurs" ont un peu le même âge et le même genre de vie que nous. Mais pas tous. Il y a des OVNIS comme toi qui sont dans la création littéraire ou poétique et n'ont pas sans doute le public adéquat.
Je ne crois pas en revanche qu'il y ait d'un côté les gens seuls et de l'autre des gens entourés.
J'ai vu plusieurs personnes très entourées avoir besoin de leurs blogs pour combattre la maladie ou le mal être.
Chacun se sert de son blog comme il le peut et avec ce qu'il est.
Cela dit, dis nous en plus sur ta lutte contre le cancer, Frankie.
Quand auras-tu tes résultats? Il est facile de comprendre combien c'est stressant.
Je n'ai que de la sympathie à t'offrir dans ce combat, c'est bien peu, mais c'est sincère.
Grosses bises.
Quelle belle réponse de Marie-Paule !
RépondreSupprimerje partage tout à fait sa vision des blogs...
tu sais que mes pensées admiratives sont près de toi
gros bisous
Une écriture en diagonale pour aller au plus profond, et ne pas s'embarrasser du superflu. Une démarche qu'il n'y a que toi pour l'entreprendre !
RépondreSupprimerLire en diagonale… Ecrire en diagonale : dans les deux cas, on saute des mots, on crée du sens à partir de collage de bribes de phrases disjointes par la lecture par l’écriture.
RépondreSupprimerC’est ce que vous faites aujourd’hui, chère Frankie : créer ces trous par cette écriture qui est le propre des poètes.
Créer des trous dans les textes, c’est comme le disait Barthes à propos des vêtements : « L'endroit le plus érotique d'un corps n'est-il pas là où le vêtement bâille ? ». C’est l’espace entre la manche et le poignet, ou celui qui se révèle dans l’échancrure du corsage qui met en mouvement l’imagination érotique. C’est la même chose pour un texte : là où la lecture trébuche l’imagination prend son envol.
Faites donc bâiller votre texte chère Frankie : c’est indispensable pour éviter le bâillement de vos lecteurs.
Je vous embrasse,
Jean-Pierre