Frankie la braconne du printemps chez les poétes

l'épopée du printemps dans la bouche des poètes

les titres

Bonjour! JOIE DU PRINTEMPS, LE MOULIN AU PRINTEMPS, « le chemin des Saisons, Le Printemps, C'est le joli printemps, Pour hâter le retour du Printemps, "Le Chariot d’or")

les auteurs dans l'ordre des mots placés éclot dans la prairie de la page

Louis Pergaud, Maurice Fombeure, Paul Géraldy ,Émile Goudeau, Pierre Menanteau ,Gérard de Nerval (1808-1855) ,("Odelettes") henri pourrat, Albert Samain, Emile Verhaeren, Flora,

Comme des grappes de joyaux
Dans le soleil,

Cercles environnés de pétales de flammes -
Brûlent, à travers leur ardeur, nos âmes.
dans le gazon où nous avons passé,
Ouvrent les yeux mouillés de leur rosée.

Limpidité dans
La brise et les lèvres des feuilles
Babillent, et lentement effeuillent
En nous les syllabes de leur clarté.

Saison où tout verbe amarre


C’est la langueur d’aimer qui brame sur la berge,
et de ses longues mains, elle flatte, la vierge,
à ses pieds allongé son tigre, le désir.

Le vent d'avril ronfle dans l'arbre nu
Et le soleil vous étourdit la tête.
La fleur éclôt, c'est la fête aux fleurettes,
L'herbe verdoie, c'est la fête à l'herbette,

Fête du vert de par tout le canton,
Au pré pour le mouton,
Au ciel pour l'alouette,
Faisons-nous tous de fête,
Verduron, verdurette,
Et verduron, don don. HP

Le printemps verdissant et rose,
Comme une nymphe fraîche éclose
Qui, souriante, sort de l'eau.
G d N

Un bel arc irisé
Pavoise l’averse qui brille.
Le lilas
La violette est dans le pré.
Dans la clairière, la jonquille
Sous l’arbre en espoir de famille
On entend le merle chanter
Pâquerette, pâquerette,
Il y a des gouttes d’eau
Sur ta collerette
Et tu plies un peu le dos…
Pâquerette, pâquerette,

Pâquerette, pâquerette,
Qui rêves près du sentier,

L'oeillet, le jasmin, le genêt,
Le trèfle incarnat qu'avril dore,
Est tranquille, car il connaît
L'exactitude de l'aurore.
VH

J’ouvre mon cœur à deux battants
Au Roi-Soleil, père des Roses.
Je guette l’horizon vermeil,
Et faites-y de longues pauses,
Mon beau Soleil !

Déjà les oiseaux querelleurs
Sur les rameaux boivent les sèves.
Écoutons les merles siffleurs !
Les forêts s’emplissent de rêves.

Printemps compose des solfèges,
Qu'aux merles il siffle à mi-voix,
Il sème aux prés les perce-neiges
Et les violettes aux bois.
Sur le cresson de la fontaine

Où le cerf boit, l'oreille au guet,
De sa main cachée il égrène
Les grelots d'argent du muguet.
Sous l'herbe, pour que tu la cueilles,
Il met la fraise au teint vermeil,
Et te tresse un chapeau de feuilles
Pour te garantir du soleil.
réjouir de la clarté des cieux :
a céleste lumière L'air sent la violette
Il y a, dans les bois, des arbres fous d'oiseaux.

La neige fond dans la montagne.
Les branches des pommiers brillent de tant de fleurs
Que le pâle soleil recule.
C'est le joli printemps,
Qui fait sortir les filles,
La fille et le galant,
Pour danser le quadrille
Regardons les branches! Leurs verdures se nuancent à l'infini.
Le soleil fait craquer les derniers et tardifs bourgeons.
Il neige des fleurs.
la violette ses pures couleurs...
.L'eau gaîment babille,
Un printemps encore !

une symphonie de couleurs du cri violent
des verts aux pâleurs des rameaux,
les feuilles tendres,
épidermes délicats prés
au baptême ardent de la pleine lumière,
boire la lampée d'or des rayons chauds,

lisières embellies de clochettes bleus pervanches
Les boutons d’or coiffent les coteaux victorieux

La vie grouille : végétale , animale,
sourdre de partout,
des crépitements aux chant d’ oiseaux
à l'éclatement des bourgeons
et au gonflement des rameaux,
craquant dans l'air vibrant
comme des muscles qui s'essaient.

Mars rit, entre les giboulées
cœur de pigeon de gréle
les elfes les fées
suturent l’étoffe du secret printemps.

les petites pâquerettes content fleurettes
les déshabillage d'amour :

je t’aime un peu beaucoup passionnement,

Le diable au fond de sa boîte,
le bourgeon dans sa prison trop étroite
baille veut respirer.
des chants, des bruits d'ailes,
faire craquer son corset vert.,

je respire,
je vis, que je me défroisse

Le chaume,la mousse
Verdissent le toit ;

La colombe y glousse,
L'hirondelle y boit.

Le bras d'un platane
le lierre s’ épaissit
La rosée en pluie
Brille à tout rameau ;
Le rayon essuie
La poussière d'eau ;
Le vent secoue
Les vergers flottants,
Les herbes jeunes se parent des pétales
Blanches et rose
Fait de notre joue
Des Neiges de fleurs

Le brun rossignol
Niche au niveau du sol
d’autres oeufs sur la branche un peu fou,
la branche est verte!
Ses feuilles sortent de l'étui!
Une tulipe s'ouverte...
Les oiseaux chantent à tue-tête,

bourgeons verts, bourgeons blancs
Percent le bout des branches,
près des ruisseaux, des étangs
bords parsemés de pervenches, teintent

bourgeons blancs, bourgeons roses,
Sur les buissons, les espaliers,
fleurs écloses ;
oiseaux, dans les halliers,
Entre eux parlent de roses ;

bourgeons verts, bourgeons gris,
Reluisent la gomme la séve

l’écorce

bourgeons blancs, bourgeons rouges,
Sèment l’éveil universel,

Jusqu’au pur sommet sur lequel,
O neige éclatante, et colorées
Bourgeons laiteux des marronniers,
Bourgeons de bronze des vieux chênes,
Bourgeons mauves des amandiers,
Bourgeons glauques des jeunes frênes,
Bourgeons cramoisis des pommiers,

Bourgeons d’ambre pâle du saule,
le monde transfiguré.
la nature le renouveau
Frémit , murmure

les roseaux Musique divine
Le parfait accord
Du Sud et du Nord.
Est et ouest
d'enchantement des quatre coins cardinaux
Batifole
L’herbe
Folle

et nous batifolons folitou

Bonjour! JOIE DU PRINTEMPS, LE MOULIN AU PRINTEMPS, « le chemin des Saisons, Le Printemps, C'est le joli printemps, Pour hâter le retour du Printemps, "Le Chariot d’or")



Louis Pergaud, Maurice Fombeure, Paul Géraldy ,Émile Goudeau, Pierre Menanteau ,Gérard de Nerval (1808-1855) ,("Odelettes") henri pourrat, Albert Samain, Emile Verhaeren, Flora,
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la brodeuse de cette épopée du printemps de la plume des auteurs
à la voix voie de Frankie