Le photographe, l'article de evene et mon remerciement à Robert doisneau pour toute ce qu'il m'a inspiré et m'inspire encore dans la création de mes rôles , mes exhalaisons (en langage plus hard : les silhouettes) mes écrits , mes contes ect...
photographe intimiste de génie
qui aurait eu cent ans cette année, n’a jamais cessé de photographier les Halles. Ses images, rassemblées dans un livre, sont exposées à l’Hôtel de ville de Paris du 8 février au 28 avril. Elle révèlent une autre image de Robert Doisneau.
On connaît l’histoire : en 1969, les Halles de Paris sont transférées à Rungis. Le marché ancestral, reconstruit de 1852 à 1870 par Baltard, n’est plus adapté à la ville qui se modernise. Les riverains souffrent des désagréments propres à cette foire quotidienne. Elle devient malcommode. Personne ne s’oppose vraiment à leur déménagement. Quant aux magnifiques pavillons de verre et de métal que le monde entier nous envie, pourquoi ne pas les transformer en équipements culturels ? Le gouvernement de Georges Pompidou ne l’entendra pas de cette oreille et détruira ce formidable patrimoine malgré la mobilisation des Parisiens. À travers ses photos, Robert Doisneau a témoigné de la vivacité de ce secteur, de sa transformation, mais aussi de la lutte de ces habitants pour qu’il (sur)vive. Une lutte qui perdure puisque l’aménagement des Halles pose encore de nombreuses questions aujourd’hui. Comme si ce quartier se vengeait.
Question de contexte
Femme aux HallesVladimir Vasak raconte cette histoire en détail dans sa robuste préface à l’ouvrage Doisneau Paris Les Halles dont les photos sont exposées dès aujourd’hui à l’Hôtel de ville. Journaliste à Arte, il a déjà préfacé Un voyage en Alsace, 1945, autre ouvrage du photographe. Dans cette introduction en forme d’enquête, il replace ces images dans leur contexte : « J’ai fait parler des anciens habitants du quartier, j’ai interrogé des politiques en charge du dossier à l’époque pour finalement me demander comment, de façon très dogmatique, on a tout détruit du jour au lendemain en 1971. » En 1933, Doisneau a vingt et un ans, il réalise sa première image des Halles intitulée « Les filles au diable » : deux donzelles assises sur une charrette à bras tirée par un gaillard à casquette, à proximité de l’église Sainte-Eustache. Le sol est lavé à grande eau, il fait jour, on remballe. Autour la foule s’affaire.
L’Inauguration du Forum des Halles clôt cette série. Elle date de 1979 et représente un vieil homme seul, un appareil photo à la main, désemparé. Pendant 46 ans, Doisneau aura pris des milliers de clichés, dont quelques-uns en couleurs, méconnus et somptueux.
Au-delà de Doisneau
Le fameux "trou des Halles"Ces photos permettent « d’aller au-delà de l’image classique » que l’on garde du photographe, souligne qui aurait eu cent ans cette année. Vladimir Vasak insiste d’ailleurs sur la dimension engagée du journaliste et reporter « essayant de garder la mémoire de ce qui s’est passé.
À partir du moment où il a su que le marché allait quitter le cœur de Paris il a voulu saisir ces instants-là. Sous les pavillons Baltard, il y avait des personnages, une histoire, une fonction sociale et ça il y tenait beaucoup. Ce qui l’intéressait, c’était ce petit peuple qui faisait tourner Paris, qui le nourrissait. » On le voit bien à travers ses portraits : du boucher aux vendeurs de poissons, des ces clients rapportant des victuailles à ces commis qui se réchauffent près des braseros, entre des piles de cageots. Mais Doisneau a pour ambition de dépasser le pittoresque. « Il se rend à Rungis pour essayer de comprendre, explique Vladimir Vasak. Il tombe sur des gens un peu perdus, un peu paumés et il est lui-même un peu égaré dans ce marché qui paraît trop grand pour lui. »
« L’homme à la dérive »
« Paris perd son ventre et un peu de son esprit », écrit Doisneau dans un texte lu par Christian Olivier, le chanteur de Têtes Raides, dans un web documentaire diffusé par France Télévisions parallèlement à cette exposition. Il poursuit : « Je me moque du noctambule qui ne n’y trouvera plus le bain de fraîcheur après les plaisirs frelatés de la nuit mais je pense à l’homme à la dérive, ses amis dans la ville endormie où les téléphones sont muets, il accostait aux Halles, un peu de chance, il y a trouvait de quoi vivre ; un peu de chance encore, il était adopté. » Comme si entre les lignes le photographe rendait hommage au journaliste et écrivain Robert Giraud, son ami qui, à la Libération, débarquant de son Limousin natal, se coltine des cageots pour survivre. Il racontera cette expérience dans Le Vin des rues, livre indispensable à qui veut appréhender Paris la nuit. L’artiste reconnaîtra sa dette envers Giraud, son guide nocturne à travers les Halles. Vladimir Vasak évoque cette amitié même si la plupart des photos présentent le marché des Halles au grand jour, comme le cœur battant de la capitale que la spéculation peut brutalement débrancher. Une brutalité dont le regard visionnaire de Robert Doisneau a su si bien représenter.
Le livre : Doisneau Paris Les Halles. Préface Vladimir Vasak, éditions Flammarion, 30 €.
L'exposition :Hôtel de ville de Paris. Du 8 février au 28 avril. Gratuit
merci au journaliste "evene" dont j'ai extrait cette information
et merci à robert Doisneau les photos dont je me suis souvent inspiré pour traduire l'âme des personnages que l'on me confiait dans les les différents films où malheureusement pour mon public on me donnait rarement des mots, on m’appelait silhouette moi je disais des exhalaisons comme définissait Marguerite Yourcenar
les brumes autour d'un rocher qui le mettait ainsi en importance, mais si j'ai réussi à me vendre ainsi dans la cités des enfants perdus rare fut les autre moment où je pus ainsi me vendre
et la silhouette faut plus qu'avoir l'air faut penser et c'est une sculpture
et Doisneau ses photos étaient là pour que je trouve sa force et son intinité et sa justesse
exemple toutes mes gardiennes sont parties de cette photo
pour un long dimanche de fiançailles où j'étais la mère maquerelle des tranchée
après je descendais dans le labyrinthe de mon imagination et les livres se pressentait à moi "Warner" là je n'ai pas eu l'exhalaison , j'avais une loge...voyez les paradoxes.
mais je ne regrettais pas d'avoir fait tout ce travail car quand vous vous retrouvez avec toutes les machines de jean pierre Jeunet et 50 poilus devant vous et que vous devez d'un regard faire le choix de ceux qui aller rentrer au bordel avec Marion Cotillard au dessus de la porte la pute des tranchée vous avez inte^rt d'avoir l'air d'un maquerelle maquereau
et non d'un oeil d'un poisson à l'étalage
dans ce film ce fut la plus grande des humiliations du cinéma français que l'on ne m'est pas donné pour ce rôle le titre d'actrice.
c'est ainsi que l'on respecte les acteur quelle économie...
celle ci m'inspira pour le rôle de Mapouletta dans le miraculée où j'avais 11 enfants en nourrice c'était le Miraculée de jean pierre Mocky
pour travailler mes dos dans "Les contes de la poule aux oeufs d'or "(le viga à Cannes 1990)
l'écriture du texte "couper la langue" paru le week end dernier ici
le conte ouistini des grimms
et le texte
l'ombre fertile du frangipanier
paru il y a deux semaines sur ce blog
pour le film série les "Golpies" :la marchande de légumes marché d'Aligre -2010-
"il était une fois dans le bled" de jdammel bensalla" rôle madame leclerc, la mère d'Aboubakir
texte sur le modéle pa encore paru ici
la montée des marches avec le professeur Choron photo qui furent afficher pensdant de nombreux "festivaux"
les textes parus sur le pays basque avec "tom Waits me" et "tourneboulé"
présent dans mon coeur pour ma préparation du printemps des poétes 2012
et Robert Doisneau je vous remercie et si vous veniez me photographier au 56 rue Siant Blaise
je dedicace à vous et vos amis que je vais dire vous serez aussi le poéte vos images csera celle que j'essairai de créer dans mon art oratoire
pour le conte de la princesse et la licorne
Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
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Robert Doisneau nous a laissé un monde bien vivant...
RépondreSupprimerSi tu le veux, un petit jeu t'attend chez moi.
RépondreSupprimerc'est drôle j'étais entrain d'organiser mon atelier d'écriture et
Supprimerun jour j'ai utilisé ule principe de l'abc daire poiour rendre compte d'un livre que j'avais écrit mais que je ne pouvais vraiment pas éditer tant il était bad bad
il s'appelait : "l'eldorado du corps"
par ce biais il pouvait s'entendre car j'avais travailler les fragments et ainsi j'avais pu jouer avec les essences et le sens
et pour une fois le public de cette lecture avait apprécié sauf deux il était plus jaloux de mon art oratoire...
hommes femmes avaient été touchés au profond de leur être
il n'a connu que cette lecture dirigée et je suis très heureuse de ce choix là
içi a eu sa place avec tous les autres
et j'ouvre la boite et je te trouve chez moi
appréciant ce cher Robert Doisneau.
et merci c'est le plus beau compliment que tu me fasses honorer mes mots words
et bien je vais faire ton jeu
merci de l'invitation
je t'enverrai l'écho de tes mots
beauté
etonnement
kilométres au son du koto
océan
rencontre respect
univers
volupté
tu vois je picoré quelques graines de chez toi
je t'embrasse très fort
quel bel aprés midi
merci
Los genios siempre son genios. Vaya pedazo de fotos. Un beso desde Murcia. Me gusta tu foto de entrada del blog en la playa. Muy colorida y original.
RépondreSupprimerMerci à toi. je suis ravi si ma demande te plaît. Et oui, picore tous les mots que tu veux, j'aime l'émulation qui court sur nos blogs (j'ai oublié de te dire que je t'avais mis en lien sur mon blog).
RépondreSupprimerBons mots :)
Merci pour cet excellent reportage, très intéressant.Un génie de la photo.
RépondreSupprimervoici un auteur qui ne quitte mon chevet mon bureau , il m'aide quand mon échine se fléchit jje tire au hasard je lis la voie et tranquilement je me retrouve sur ma petite route
Supprimermerci de nous l'offrir avec ce magnifique pastel qui nous parle de ton pays et nous donne la paix , le ciel est gfabuleux
ainis que ta neige et tes arbres tout est un délicieux cadeaux de paix de calme d'amour fraternel et divin
merci à toi Solange et merci aussi de tes visites que tu signes de mots qui donne de la légéreté à la plume
là tu vas avoir une jolie surprise
il n'y a que deux personnages et un pépé
Très bel hommage à ce photographe si émouvant. Merci Frankie.
RépondreSupprimermerci beaucoup de ta visite c'est toujours un bonheur
RépondreSupprimerj'ai appelé mon atelier d'écriture
l'Hajat dans le sud du côte de Hauch l'Hajat c'est les gens d'en haut
ou la ferme sur la colline
et ta visite ainsi que quelques autres maintient la petite ferme en haut de la colline
merci
Alerte Wikio
RépondreSupprimerRobert Doisneau.L'exposition :Hôtel de ville de Paris. muse de frankie pain pour la création de ses rôles dans le ciméma français et japonais (FRANKIE PAIN)
Le photographe, l'article de evene et mon remerciement à Robert doisneau pour toute ce qu'il m'a inspiré et m'inspire encore dans la création de mes rôles , mes exhalaisons (en langage plus hard : les silhouettes) mes écrits , mes contes ect... photographe intimiste de génie qui aurait eu cent ans cette année, n’a jamais cessé de photographier les Halles. Ses images, rassemblées dans un livre,...
Source : FRANKIE PAIN
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Mylise m'invite à répondre à quelques questions, concernant : 11 choses sur mÖi, qui seront 11 choses que j'aime. A travers 11 blogs amis, invités par la même occasion à jouer, voici mes réponses : 11 things I like, with my blÖgfriends 1 : les mots, comme Frankie Pain words 2 : la photographie, comme Robert photography 3 : le crochet d' Isabelle et à travers elle, toutes les serial crocheteuses...
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