"Derrida :
le papier résonne. Sous l’apparence d’une surface, il tient en réserve un
volume, un labyrinthe dont les parois renvoient les échos de la voix ou du
chant qu’il porte lui –même, car le papier a aussi la portée d’un porte voix. Désormais
la peau que je mets en œuvre dans le
livre préfigure une expérience engageant mon corps tout entier. D’abord la
main, l’œil, la voix, l’oreille, puis le temps et l’espace."
Extrait :
« Petit éloge de la peau » de Régine Detambel
Je
viens de faire : étrange découverte positive
au sujet de ma peau , cependant elle est malade la cocotte : d’un psoriasis dont j’ai un mal fou à me défaire.
Je soigne depuis très longtemps les raisons de ce mal……………….
Ce cochon de mal perdure……
et je suis dans l’exploration avec magnétisme. Tout en gardant le médicament de base sauf l’usage des crèmes à la cortisone et autre….
Je soigne depuis très longtemps les raisons de ce mal……………….
Ce cochon de mal perdure……
et je suis dans l’exploration avec magnétisme. Tout en gardant le médicament de base sauf l’usage des crèmes à la cortisone et autre….
Par ce chemin , j’ai vu, ressenti un continent des îles que je pensais oublié, qui m'était inconnu comme l'Irlande ses bains chauds ses pampas entre lac et mer à croupe de cheval , la force tellurique des volcans .....
Comment est capable de s’exprimer le dessous, les dessous de la peau, d’où l’évocation de Derrida…
Comment est capable de s’exprimer le dessous, les dessous de la peau, d’où l’évocation de Derrida…
(A
suivre)
La peau
me raconte, se sera plutôt les épopées,
ancestrales, et.........
je pense qu'il y a ces cellules de mémoires dans la peau ? ... Je cherche cela doit être écrit, dans plein de quelque part...
je pense qu'il y a ces cellules de mémoires dans la peau ? ... Je cherche cela doit être écrit, dans plein de quelque part...
Incroyable !
Dans mes déserts de l'autre , les musiques ont continué l'élaboration de leur chants, incantations....hymne à la vie fondamentale, puissance de la création avec sur le front gravé comme le Golem AL E P H, ou l'ALEPH de Borges, la marche où on trébuche la marche s'ouvre et apparait......
je vous retrouverai ce texte.
comme Deligny envoyait les enfants autistes dans la forêt pour y connecter des pistes
Le film de Louis Bunel sur le désir
de Pierre Louis......
A vous de nommer.......!
No commente for you and me...
We read easy !
Kiss you tendress and lovely
très belle journée très chéres lecteurs et lectrices
de votre Frankie Map's Monde
Le papier résonne de toute ma vie qui y est inscrite, il suffit d'écrire la première ligne. Kisses.
RépondreSupprimeret oui ma très chére notre belle et grande plume du club des blogeuses et comme je partage aussi ce que tu écris , ce mystére , cette magie, et aprés les tours de réécriture pour caller tout cela
RépondreSupprimerLa belle et bonne manouche
La peau (= interface) est un merveilleux sujet pour qui veut sonder la relation qui nous unit à notre milieu. Mais elle n’est pas que cela et l’expérience de la caresse par la quelle elle se fait chair est une autre approche du sujet.
RépondreSupprimerPour le moment, ce qui, dans votre billet, Chère Frankie, me retient, c’est cette image montrant une femme qui se dépouille de sa peau pour révéler … une autre peau. Une mue, n’est-ce pas un peu banal ? Pas tout à fait, parce que la peau qui apparaît sous la peau est rigoureusement la même… Pouvons-nous donc changer de peau ? Est-ce elle qui constitue notre identité (dans la mesure où pour tous, nous ne sommes rien d’autre que notre peau – ce que les chirurgiens esthétiques ont bien compris) ?
Et quand nous éprouvons un amour fusionnel, ne dit-on pas de notre amoureuse que nous l’avons « dans la peau » ?
Merci Chère Frankie de nous inviter à parcourir cet espace de réflexion.
Je vous embrasse
Jean-Pierre
à fleur de peau... le zip , une solution idéale ... c'est pour l'ouverture que j'aime les fermetures éclair... ! biz
RépondreSupprimerLa peu est un miroir et la mienne me gratte très fort en ce moment ... et cela me gène pour réfléchir. Amicales bises.
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