Voyage de l'âme
esprit nomade
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auteurs compagnons
musiques
avant de commencer :
leurs mots
la musique aussi crée de notre table... nos encres et .. cartes postales
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avant de commencer :
leurs mots
la musique aussi crée de notre table... nos encres et .. cartes postales
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1Tous les continents s’élaborent en arabesque.
2 Toi qui es meilleur que moi au Hasard, tu m’as
crié entre deux train : C’est pour Bientôt ?
3Assister au coup d’état de la raison.
Frankie : rentrer dans l’espace de l’énergie
quantique »
5 je decide pour ma pesanteur.
6 Qui te livrera les lévres du vent ?
7Qui te montrera les yeux de la pluie
8Maintenant la parole est aux jetteurs de sort
9J’embaucherai pour ma route le gratin des
cantonniers
10Tu embrasseras
toutes les formes de la poésie nue________ mais tu en perdras la raison.
11J’ai peur.
d' Henri Pichette Epiphanie
Un feuilleton TV
"Je veux des roses de Paestum dans un vase de Nola".
12
Taine dit de Shakespeare
« Il ressemble a un beau chêne puissant auquel
aboutissent toutes les avenues de la forêt.
13
Ô verbe, verbe tu me manques !
Ô verbe, verbe tu me manques !
Qui est
là ?
To be or not to
be ?
Le
fantôme du pére d’hamlet.
14
Le corbeau nageant dans le sang.
Tout l’océan n’était qu’une plaie
Nos péres sont morts dans la bataille
Tous les vautours en ont gémi.
Nos pères les rassasiaient de carnage.
16-17
Encore Henri Pichette
Je passe de mordorure et me jouent de verdoyance
17
S’il
y a un nouveau monde c’est celui-là et je suis un bonheur vertical, pas autre
chose.
Frankie Map's Monde
écrit sans lire tout en étant la bergére de leur ambardée de mots...
écrit sans lire tout en étant la bergére de leur ambardée de mots...
Mallarmé
"Aidons l'hydre à vider son brouillard"
Pour mes bains de toilette- bassine
Une savonne de baise en ville
De musc de la
Tunisie
Feuille de gardénia verte
Vernis de
plein hiver
Elle touche sol
Croquant craquant jaunissent
Le jour
Le 5eme du printemps neuf
S’éveille
Çà galope
Çà vocalise
Fini avec l’archaïque « brissement » de
l’aube.
Les éclaboussures des narcissismes morbides,
« embétonnés » dans le mur du dernier jour
de l’hiver.
Ils n’irrigeront plus leur mal être
en ventouse fixée,
rivée sur
l’être sensible,
Résistons à cela
les cybernétiques
Ascensionnels des politiques mondiaux
en joue de
drôle de manière.
Sangsues du 21 siècle
faire
souffrir, humilier : leurs « cames ».
Sponsorisés
par leur narcissisme primaire
leur
perversité polymorphe du nourrisson,
à 46 ans et
plus encore….
L’impuissance aime à exporter son propre néant dans
la souffrance d’autrui
Il est réconfortant de poursuivre un but quel qu’il
soit…§§!!!???
Ecoute
de tv, de brèves de journaux…
Sa!ouraï Island
Sa!ouraï Island
carte postale
le pousse pousse
Je viens de débarquer sur une île en face de Tokyo.
Je pense à un
texte de Pierre Loti. Il me semble la reconnaitre cette île.
Le stage de samouraï
buto - météorologie du corps commence demain.
Du tarmac aux
bungalows, je choisis le pousse pousse,
Quite à se réinventer !
le cheval indigéne : un pédalos sur terre battue.
le cheval indigéne : un pédalos sur terre battue.
Rejoindre ma case sur pilori au-dessus du massif de
corail.
La toilette dans une baignoire de bois, dans la caresse de pétales de
pivoine,
autres fragrances inconnues palpitantes à narines.
...des roses de Paestum dans un vase de Nolasur ma table de nuit de Bambou.
...des roses de Paestum dans un vase de Nolasur ma table de nuit de Bambou.
La japonaise comme dans les estampes en tenue de
geisha touche le corps à dégager des effluves de couleurs et libére
des vieux émois enkistés de recoins rarement visités.
Sur le ventre voguant sur le water bed,caresse des
propres vagues de Pearl et de Map's Monde. la sensualité est un "al dente" torride.
De Pearl s’appliquant à un massage shiatsou.
Le nez dans
mon intérieur et sur l’horizon vaporeux des zones de chaleur et de
brumes du soir.
Le maitre appelle dans des harmoniques de clochettes
de métaux précieux
Ces alliages créent des tierces majeures et beaucoup d'accords potentiels.
Somptueuses clochettes, de
veloutés de sons,
Ariane conjugue son musicien aux sons du No et du
Buto.
La forêt épaisse d’une jungle presque vietnamienne fournit les chœurs : insectes, oiseaux et chutes
de fruits sur de la tôle ondulées.
Pearl me présente mon « akama » blanc.
Une pirogue accoste
l’échelle de mes piloris et embarquement sur un grand dériveur.
Nous nous y découvrons tous et toutes.
Le silence règne chaque heure, trois quart d’heure.
La parole donnée dans l’écriture animée par
Nicolas Bouvier et Ingrid Thobois : qu’après les retours d' écritures.
Mes chers fraternels amis ,
merci, de m’avoir accompagnée avec mes deux talons
d’Achille.
pour la vie qui s’installe : être samouraï
de sa vie au quotidien.
Epoux vous aussi de l’essentiel.
Olivier D,
Francis A, Mr. Wagram,
Le garage au bateau est sur une langue de mer, leur
bite d’amarrage : une ligne de hauts
palmiers noix de coco,
Vous flottez autour de moi:
Magnificat : nos respects réciproques en nos
excellences et nos spécialités, font de ma vie qu’elle se nomme encore vie.
Nous sommes les meilleurs à rencontrer les hasards....
La chaleur de notre adieu à la passerelle de l’avion, -vous m’avez dit en chœur :" c’est pour bientôt"!-
La chaleur de notre adieu à la passerelle de l’avion, -vous m’avez dit en chœur :" c’est pour bientôt"!-
Pour tous c’était un point d’exclamation.
L’évidence de l’endurance à la Durance.
Ma joie a gonflé, mes alvéoles pulmonaires dans la
beauté d’un vol de palombes qui après le passage des Pyrénéens ont pu échapper
aux sauvages du Cap ferret entre le bord de mer et la trouée de sables vers la
Vigne.
Mes yeux s' envahissent des couleurs de la baie de Somme de la marée haute et basse, de l’aube au crépuscule du verdurant au morboreums.
Le pain, le vin
le corps et le sang dans la verticalité de la voie de l’être.
Votre sœur – amie …
premier jet
j'ai faim , et le soleil m'attire au parc floral
bonne lectures.
au blog sur ma partie de droite
clochettes de la nature
foto frankie
Isabelle Merlet
bye bye...
Mais c'est vraiment excellent et original ! Il faut que je revienne pour relire encore une fois.
RépondreSupprimerDe ton billet je retiens surtout ceci : « Assister au coup d’état de la raison. »
Par delà la puissance de la tournure, il y a ce désir de voir une telle chose se produire. Mais si l'on regarde autour de nous ce qui ses produit dans le moment, je ne vois tout simplement pas comment une telle chose pourrait se produire.
@ roger
RépondreSupprimerl'esprit de l'être humain landa fonctionne dans le code la raison . et c'est dommage et je m'en rends bien compte,
nous devons suivre le chemin des potées
ils nagent dans le réel pointé.- non symbolisable le
- ils vivent avec lui en dedans sans langues de bois-
ils explorent l'au-delà du carré une pensée dessinée par l'étoile
qui ouvre le possible à plein d'autres solutions.
ce n'est pas un hymne à la folie certes non , la folie n’est bonne que si on en a une pleine conscience que l'on puisse s'en servir pousser les frontières de nos êtres et de nos pensées
non , absorbés par la peur encore plus se barricader et ressembler à tout se qui pousse de l’humain avec son doudou portable qui ne communique qu’avec le minimum du minimum… et vous avez des yeux autant que moi
nous croulons ,
et en un mois je fus témoin de cet état,
visuel autant que l'herbe à chat qui pousse...
je l'observe aussi dans les commentaires présences ou absence.
j'accepte d'y revenir écrire mais
çà devient difficle d'ouvrtr quelques jours aprés .
enfin bref l'auteure à decider de se réinventer
pour le plaisir des lecteurs
mais le flot encore
je n'irai pas jusqu'à prendre une secretaire
pour me remettre dans la normalité de la forme,
il y aura des fautes d'orthographe
des verbes absents parfois des phrases.
et quand elle parle des couleurs de la baie de Somme quand elle est sur une ile au Japon...
elle ecoute le dedans la couleur offerte
peut-être différentes des couleurs de l'extérieur...
créer par un corps en periode de printemps et de réinvention...
je suis ravei de te lire Roger je vais pouvoir te visiter à tout bientôt..
diable oui tu as raison quand tu parles de ce qui nous entoure....
nous pouvons nous éteindre d'un flipage collectif mais merde
résistons n'est pas ...
je t'embrasse et je t'aime