La
traversée des apparences la voie du héro
mode Frankie après sa passe en analyse mar10 juil. 2018
Résiste aux
capots du 21eme siecle
L’homme des Ascores
Vous rêvez ou vous parlez ?*1
Peter Handke
La cousine de l’ile de la
Désirade
Monsieur, je rêve, vous
inspirez mon inconscient , c’est lui qui choisit. Si je parle vous ne comprenez
rien, alors ce qui compte c’est l’espace qui est là entre vous et moi. Oui ,Celui
que Vous/ et/ moi/ nous/ créons. Clapiche ?
A
elle-même
Je me pardonne. 35 ans hors champ
du désir de l’autre. Après les combats menés à la libération de la femme. C’est
la préhistoire. Très/ trop compliqué.
Quelle butée ? Embrassez sur
la bouche signifie simplement amitié. Mais l’amitié de l’homme qui a autant
d’amis que de mots dans le bottin.
Tout est rayé d’avance. Un mot
tous les deux ans. Quel lien ! Quelle joie de m’en être passée si
longtemps.
Ma carrière et la petitesse de la
relation à l’autre dans les années 84 à Paris était déjà dans la catégorie du
sordide.
500 km en train m’avait rendu
dans leurs yeux une femme sur la marge où des potes font des paris pour savoir
cela qui se fera l’Himalaya de gras et ce que çà fait de planter son drapeau
dans la grotte du Dahu ou du Gévaudan.
Moi la femme si désirée e, adulée
des Bordelais, invitée aux meilleures tables où ‘Nous’ conversions vraiment et l’ivresse de boire de bons
mets et de boire de grands crus.
Le véritable
amour c’est quand le silence n’est pas gênant. L’homme des Ascores
était cousu de gestes de
séductions inhabités qui y put croire cela.
Aujourd’hui je sais après un
voyage ethnologique au monde de l’autre, mieux : reprendre l’Hermitage, le
monastère.
La vie me veut ailleurs, trop de routes,
de chemins, de sentes à découvrir à transmettre. Je suis la réincarnation d’une
nonne.
2
Jouissez, Monsieur avait
elle dit la cousine de l’île de la Désirade, pardon encore faut-il avoir la lecture des hiéroglyphes. Avoir
ouvert quelques livres, Souvent méditer pour la lumière et non pour épuiser son
ennui.
Ma matière première est palpable
pas par beaucoup de monde. Tant mieux. J’aime à être généreuse avec mes auteurs
de l’atelier Mahabouroua, mes amis de la globogosphére, mes rencontres des bus
et abribus, mes amis engagés sur la route des essentiels non à des marcacins de
« sperme de nombril » Camara Sory / Frankie Pain
(Mot
créer avec mon ami Camara Sory directeur de la chaire d’ethnologie de Bordeaux nous
le signons les deux)
3
La vie en
2018 exige chaque jour de nous de
rebondir au plus vite
Plus le temps de perdre à des
causes de Dieu qui ne sont pas Dieu,
maitre de pas grand-chose de valeurs intrinsèque de la vie.
La vie me veut là ainsi, comme ma
chienne de chasse Rita nez au vent a sentir la bécasse dans les dunes de l’Océan
du Cap Ferret.
4
Ne crie plus petite grande fille.
Plus personne n’écoute, le portable est la carte de l’évitation. Rien à voir quand dans la communication si
belle le corps s’élève de quelques centimètres
de la couette sous la caresse de l’homme élu et telle la sole s’envolant
de petites eaux de la lagune du bassin
d’Arcachon quand la lampe la saisissait dans son sommeil, elle lévite
vers le large afin d’échapper aux pics
de la fouane. (Fourche à
poissons pour cueillir les poissons la nuit éblouit et surpris de la lumière de
la torche).
Tout ce que tu possèdes : ce
sont les 4 mains d’hommes sur le ventre de ta mère. L’Afrique, la France ;
rencontre dans un camp / prisonniers politiques de la guerre de 40/sauvés
de l’exécution/ ils se sont évadés la
nuit même.
N’accepte pas les capots du 21eme siècle.
Tu es toujours sur un fil, on t’a jamais, rarement renvoyé ce que tu étais vraiment mais TU fus bien souvent le miroir de leur abjection. Ce qu’il ne supporte
pas d’eux même. Ton corps gros t’a
protégé de ces chacals humains, ils n’ont même pas vue ta beauté. Ce gros
pachyderme de corps t’a protégé. Mais tu portes la lumière et çà aux
'creuvards' tu attires. Soit profileuse de ton quotidien. Plus de temps à se
suturer de leurs impacts mortifères.
Bois chaque matin la rosée, prend
ton temps elle te rafraichit pour le nouveau de chaque pas sur et dans les
chiots le passé corrosif.
Droit réservés Frankie
Map’s Monde
Belle lecture.
la belle fiesta palais des Papes avignon 2017
Si bien écrit… Que de regrets tout de même, que de souffrances dites et non dites je frôle ici, autant en filigrane qu'en mots crus. Vis ta vie, Frankie, vis ta vie et balance-toi un peu du monde. Pas trop tout de même, mais…
RépondreSupprimerJe n'écris pas souvent, mais je te lis souvent et je pense à toi encore plus souvent. À cinq mille kilomètres de distance, ce n'est certes pas aussi facile que cette fois magique où nous nous sommes rencontrés il y a déjà quelques années. Demeure toi-même, c'est bien suffisant.
Oh ! mon cher ami, je donnais un atelier sur la traversée des apparences.
RépondreSupprimerje suis ce que je suis, et j'aime et bien d'autres encore apprécie.
mais quand des hommes vous choississes c'est pas pour notre meilleur . d'où la nonne que je fus et la nonn que je vais reprendre mon aptitude zen face à dame du silence , c'est là que l'on écrit le mieux et quand on se donne c'est jusqu'au bout des ongles et tu le sais , merci merci de ton mot.
Le société qui dégringole c'est 10 fois par jour que l'on le constate. Et chez vous , il doit y avoir du retard...
j'ai deux amis dans ton pays aux festivals de musique et ils sont heuex chez vous . je t'embrasse fort merci de ton mot.
...Je ne voudrais pas déranger...je vous embrasse.
RépondreSupprimerTu es aussi avec nous . Tu l'aimes et il t'aime aussi notre roger nationale et quebéquois
RépondreSupprimerbisous ma belle dame.
un instant ce soir d'ordinateur et quelle rencontre Frankie... je suis frappée entre autre par "lévitation et l'évitation" cette évitation des tous petits esprits est indispensable...
RépondreSupprimerje t'embrasse Frankie en attendant une prochaine visite dans ???
ma chérie merci de ton petit mot que tu n'as evité . oui , oui , oui je suis d'accord avec toi
RépondreSupprimerje t'embrasse fort profite bien de tes vancances
@@ Olivieur dentier graphiste de frankie
RépondreSupprimerc'est magnifique!
merci pour ce cadeau
cette succulente soirée
pour la beauté de ton âme
je t'embrasse !
Olivier
Le pouvoir de tes mots et si fort qu'ils nous plongent dans la désolation pour nous faire jaillir à nouveau, comme après une longue noyade...
RépondreSupprimerMerci!
Je venais vous faire un petit salut, "petite grande fille".
RépondreSupprimerBonne soirée.
merci vraiment à vos mots tous. Je suis ravie de votre vibration, elle parle tant de notre monde d'aujourd'hui, nous nous devons de résister mais
RépondreSupprimerla manigance est en route
il faut beaucoup de morts car le monde ne peut plus les comptenir
il est necessaire d'abêtir et vous être des grands des penseurs pas besion de finir la ^hrase nous sommes au parfum et ne lachons la resitance dans tous les petits instants que l'on saisit au vol.
et bravo à tous d'avoir traversée le tsusamie de s mots de la cousine de l'île de la Désirade
et continuer aussi sur vous gterritoires et lâcher pas nous sommes dans le même mouvement de l'invissible mais qui pousse en avant et féconde la vie comme les abeilles polinisent les fleurs
merci encore.
frankie votre amie .
résister ou éviter ? Il est si difficile quand on n'a pas de talents de profileurs de détecter l'abject sous les apparences ? jeudi 21 juin, j'admirais la pelouse impeccable du parc de la Villette et les quais du canal saint Martin rendu aux ombres de ses arbres depuis un bateau de croisière. qui aurait pu deviner sans les commentaires honnêtes du guide toute la détresse que nous aurions pu y voir quelques semaines plus tôt ?
RépondreSupprimerMerci infiniment de ces mots et des silences qu'ils contiennent
merci trés chére jeanne Fadousi
RépondreSupprimeroui , tout ce que nous ne voyons pas tu fais un bel écho à ce texte.
Nous sommes obligées dans ces blogs d'avancer dans nos moyens à ces nouvelles données que le monde d'aujourd'hui nous oblige à tenir pour tenir le cap minimum à nos valeurs humaines je parle de tout la blogosphére qui nous lie.
je me dépeche pour le blog