Nous
devenons écrivains pour continuer les conversations si belles, justes commencées,
elle ouvre un bal que ne se fera jamais.
Je
comprends de plus en plus combien la solitude s’épaissit d’âges de plus en plus
jeunes.
Mes
amis quand je leur parle de mes copines , « tu ne pourrais pas nous les
présenter », t’es si sympathique quelles doivent être supers.
Un
étranger qui revient à la capitale pour
affaires….
me
dit mais cette ville a tellement changé ancien Parisien. ........."Les femmes je n’ose
même plus les regarder". Il est très bel homme.....
J’ai eu de la chance, il m’a reconnue, nous avions conversé
déjà il y a quinze ans…
Nous
devons être très light avec nos désirs et demandes en amitié :
un mot tous les
mois, si ce n’est pas deux ou trois en un an ou même sur certaines structures rigides collectionneurs, de chiffres de twitt pour avoir le nombre d'amis en exponentiel, traduire en années.
Faut aimer manger la soupe au racines de pissenlits, et d'orties blanches (si çà nous pique la mémoire sera marqué plus longtemps)
Faut aimer manger la soupe au racines de pissenlits, et d'orties blanches (si çà nous pique la mémoire sera marqué plus longtemps)
Je
mets la barre haute en ce moment où les hommes mariés font leur casting pour
l’été les vacances de Madame oblige....
C’est
rigolo quand les heures changent : c’est plutôt dans la journée que l’on les
placerait plutôt qu’après en fin de journée et soirée. madame n'est pas encore partie, les weekends : vous savez mes parents sont vieux , je dois les visiter .
Oh oui ! dit celle qui fait sa gourdasse.
Oh oui ! dit celle qui fait sa gourdasse.
« Si
nous ne mettons d’art dans le lien, ce n’est pas la peine de s’épuiser à converser" l'argument de mes obligences de partager un concert
Paris regorgent de concerts gratuits
surtout que je sais que dans l’affaire
je suis dans un cotât de paroles du 75 °/° entre 25 °/°
Je
le veux bien certes mais je viens de clore une affaire où en Un an rien ne fut évolutif alors ce type de
pourcentage, il faut au moins quelques crépitements, des mains se touchent, des baisers
volent et se posent aussi légers sur le dodu du galbe des lévres
des baisers volent , se posent aussi légers que les libellules sur une herbe au coeur de la rivière ou sur un tableau de Elfi.
des baisers volent , se posent aussi légers que les libellules sur une herbe au coeur de la rivière ou sur un tableau de Elfi.
Et
pourtant il y des viviers de désirs qui s’engraissent d’attente et du coup sans cou caressé
sculptent des voies directes pour un abonnement à la mélancolie.
J’aime
la vie, le monde, les hommes, les femmes of course à la beauté , la fertilité de la genérosité enfin pas chez toute on dirait.
çà je ne peux plus me mentir. Je sens que la
chaleur tropicale me ramène très
loin sous les alizées , les tropiques les boubous volent à la première climatisation bien réglée.
Depuis
toujours les périodes de vaches maigres et de frayeurs sociales, pour lutter souvent un taux de "cocoteries" des sens
s’éveille comme le lion de Shiller du fond de la brousse et hurle
« avant de crever soyons encore vivants"
Chers
amis, lecteurs, lectrices, devenons des passeurs, des marieuses, marieurs, afin que la force
de endomorphines roses des bonnes éclades de moules sur des épines de pins comme
sur le Bassin d’Arcachon puissent faire barrage à l’engloutissement de plus en
plus massif ou le glauque de solitude pas étayer, ne peut
pour générer la création, la bonne santé , la juste du subtile humour...
J’appelle
au secours de tous ceux qui veulent être ‘Nous’ et n’ose même plus y penser.
Je
ne parle pas de sexe dans mon billet, je parle des joies de l’amour de l’autre, la complicité les rires les inventions les surprises
comme disait un sociologue italien Alberoni … ‘enmoration’ c’est un état
révolutionnaire et j’y crois…
Je
vous laisse penser ce que je n’écris pas
Frankie Map's Monde
photo d'Ariane mouchkine
Allégresse et amour dans tes mots et sous tes mots -je glisse les miens, tout doux, entre eux ...
RépondreSupprimermerci ma très chére Manouche
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