dimanche 5 février 2023

fragments d'unePasse

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Mardi

Photo 5 l’enfant

Pensons à Soundiata

Les 7 pierres de la personnalité que l’on nus offre en naissant

Le regard loin

Apprendre à ne pas se dévoiler

L’enfance,

L’émerveillement,

 la surprise

 le bondissement

Convaincre

Argument où l’affecte est là.

Ne pas se laissez prendre aussi puissantes puces de charme

la tragédienne

les sentiments humains dans leur largesse

la pensée se cherche,

Nous voyons plus une femme aux multiples facettes qu’une  actrice surjouant.

 Les grandes émotions humaines passent de la tragédie ,

 Les 7 femmes que l’on a en soi.

La tragédienne scrute  au loin,

 l’œil n’est pas tranquille,

le danger peut –être là, une reine, une Hécube,

pour cette là c’est une  Médée

 

C’est la phrase de l’évangile

 « Vous avez un pas pour sortir du désert, vous le voyez pas »

Je l’ai enfin vu .

ma SoeurS a encore marque le ring

Refus du 1er avril,  vouloir à elle le mot fin de leur histoire.

 

Depuis ma naissance elle m’engouffrait dans son refus. L’abandon à perpétuité.

 Cayenne aurait par elle être mon prénom,

mes deux pères eux avaient choisi France.

Se rencontrer sur un peloton d’éxécution dans un camp de concentration cela s’imposait

L’ami violé par la femme  de son ami.

 Vengeance sur une soit disant  tromperie

La conscience des deux pères m’a favorisé ce possible et envisageable là alter ego ou favorite le temps de leur presence à la maison , la ferme , la case

la réalité humaine plus humaine . la petitiote sans le savoir en a fait des sac autour de sa taille

Le partage. L’amour ,le chant , le rire , le rire.

 

Nous ne pouvons combler l’être plein jusqu’au bord de lui-même. Son trop le rend mélancolique, rageur de l’ennui crée par tel plein.

Dans ce bordel, la mise à mort est très fréquente. Pas de lui mêmece serait trop beau du faible de celui qu’il rend faible par ses manigances

La mére et la sœur ainée pensaient que c’était Abigaël – France qui  aspirait tout

Sa rage de l’ina-aimée

Toujours dans le désir des deux complices de la casser

de la rompre

  La sœur préparait le terrain la mère l’ achevait - le menu-

gifles , manches à balaie, les tatanes,…

elle n’était repue que lorsque le sang coulait sur le plancher

 la sœur ainée abondonnée au silence, à son éternel silence

il ne s’était rien passé

 sauf que au fur et à mesure elle ne pouvait Abigaêl –France allait à la piscine avec l’école,   ce n’était pas une petite fille  elle était devenu une zébre. Bleu sur blanc.

 

L’ échappée belle en Afrique du père blanc

L’africain le rempla9ait, il profitait de son albinos poupée de chair mixte

Mariette n’eut pas de bons rapports avec l’africain ami du père, consentement obligatoire avec la mère. La violeuse des bois ça formente de la distance naturellement. Pas  chiqué : voir son enfant et celle de son pot plus que frère Les périmètres les marges les frontières. Vivre dans les marges les blancs. La Mariette a oublié.

Quand je suis, là tu n’es pas là.

La piqure qui casse le temps d’un séjour toujours dans les deux qui suivent. Le curar light. Ca ne tue pas  mais tu ne peux parler, tu es dans le fossé du border line. Tu n’as plus de nom de vie. Seul le dessin te permet de te tenir en surface de l’eau et ne pas passer à l’acte fatale qu’elle guette , la Mariette c’est son grand désir toujours le même comme celui de sa mère . «  Qu’elle crève »

Un plan d’attaque profond, un inconscient conscient ; le temps d’accomplir, et, après proute dans le dénis presque assassin les psys éveillés parlaient de pulsions de mort pour l’autre

Quand on a trouvé la faille garder le cap. La faille c’était inscrit comme le Nord sur une boussole.

Abigaël–France échappée  grâce à leur connaissance à la case :  le mouroir au curar et à leur toute puissance narcissique

Suite   plus Tard

 notes de condensations d’un travail de recherche du rejet  permanant, objet de grande disgrâces dans la vie ….

 

 de frankie pain de la mangou

droits d'auteur reservés

bonne lecture .






Merci auxcréateurs qui ont constitués ces sublimes images.

premier jet.
 le detours des mondes en fait parti
 bye


 

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