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Mardi
Photo 5 l’enfant
Pensons à Soundiata
Les 7 pierres de la personnalité que l’on nus offre en naissant
Le regard loin
Apprendre à ne pas se dévoiler
L’enfance,
L’émerveillement,
la surprise
le bondissement
Convaincre
Argument où l’affecte est là.
Ne pas se laissez prendre aussi puissantes puces de charme
la tragédienne
les sentiments humains dans leur largesse
la pensée se cherche,
Nous voyons plus une femme aux multiples facettes qu’une actrice surjouant.
Les grandes émotions humaines passent de la tragédie ,
Les 7 femmes que l’on a en soi.
La tragédienne scrute au loin,
l’œil n’est pas tranquille,
le danger peut –être là, une reine, une Hécube,
pour cette là c’est une Médée
C’est la phrase de l’évangile
« Vous avez un pas pour sortir du désert, vous le voyez pas »
Je l’ai enfin vu .
ma SoeurS a encore marque le ring
Refus du 1er avril, vouloir à elle le mot fin de leur histoire.
Depuis ma naissance elle m’engouffrait dans son refus. L’abandon à perpétuité.
Cayenne aurait par elle être mon prénom,
mes deux pères eux avaient choisi France.
Se rencontrer sur un peloton d’éxécution dans un camp de concentration cela s’imposait
L’ami violé par la femme de son ami.
Vengeance sur une soit disant tromperie
La conscience des deux pères m’a favorisé ce possible et envisageable là alter ego ou favorite le temps de leur presence à la maison , la ferme , la case
la réalité humaine plus humaine . la petitiote sans le savoir en a fait des sac autour de sa taille
Le partage. L’amour ,le chant , le rire , le rire.
Nous ne pouvons combler l’être plein jusqu’au bord de lui-même. Son trop le rend mélancolique, rageur de l’ennui crée par tel plein.
Dans ce bordel, la mise à mort est très fréquente. Pas de lui mêmece serait trop beau du faible de celui qu’il rend faible par ses manigances
La mére et la sœur ainée pensaient que c’était Abigaël – France qui aspirait tout
Sa rage de l’ina-aimée
Toujours dans le désir des deux complices de la casser
de la rompre
La sœur préparait le terrain la mère l’ achevait - le menu-
gifles , manches à balaie, les tatanes,…
elle n’était repue que lorsque le sang coulait sur le plancher
la sœur ainée abondonnée au silence, à son éternel silence
il ne s’était rien passé
sauf que au fur et à mesure elle ne pouvait Abigaêl –France allait à la piscine avec l’école, ce n’était pas une petite fille elle était devenu une zébre. Bleu sur blanc.
L’ échappée belle en Afrique du père blanc
L’africain le rempla9ait, il profitait de son albinos poupée de chair mixte
Mariette n’eut pas de bons rapports avec l’africain ami du père, consentement obligatoire avec la mère. La violeuse des bois ça formente de la distance naturellement. Pas chiqué : voir son enfant et celle de son pot plus que frère Les périmètres les marges les frontières. Vivre dans les marges les blancs. La Mariette a oublié.
Quand je suis, là tu n’es pas là.
La piqure qui casse le temps d’un séjour toujours dans les deux qui suivent. Le curar light. Ca ne tue pas mais tu ne peux parler, tu es dans le fossé du border line. Tu n’as plus de nom de vie. Seul le dessin te permet de te tenir en surface de l’eau et ne pas passer à l’acte fatale qu’elle guette , la Mariette c’est son grand désir toujours le même comme celui de sa mère . « Qu’elle crève »
Un plan d’attaque profond, un inconscient conscient ; le temps d’accomplir, et, après proute dans le dénis presque assassin les psys éveillés parlaient de pulsions de mort pour l’autre
Quand on a trouvé la faille garder le cap. La faille c’était inscrit comme le Nord sur une boussole.
Abigaël–France échappée grâce à leur connaissance à la case : le mouroir au curar et à leur toute puissance narcissique
Suite plus Tard
notes de condensations d’un travail de recherche du rejet permanant, objet de grande disgrâces dans la vie ….
de frankie pain de la mangou
droits d'auteur reservés
bonne lecture .
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