dimanche des rameaux
la maison est bénie grâce à une petite voisine
Elle est allée à la messe pour ses amies du quartier Mon petit brin est sur le bureau
mon petit grain toujours dans ma tête,
dans mon cœur, pas de graines en mon ventre encre dans la plume
Je viens de terminer une superbe nouvelle
je ne peux vous la mettre
elle a une vie pour l'édition.
Je pense à vous souvent , mon zinzin va jusqu'à pour s'ouvrir prendre une heure
alors et le temps de choper les images et aussi fou alors je seiche quand je vois la pile de linge m'attendre
mes travaux de cuisine programmés chaque jour
oui, je rénove la cuisine 24 mai
un amoureux de douceur m'a porté un gros bouquet de lilas violet et blanc
ainsi que des fleurs un peu comme
les fleurs d'oranger
il n'a pas laissé mots.
j'adore ces formes subtiles de discrétion
comme quoi tout n'est pas comme
dans "L'eldorado de l'autre"
ce détail aura sa place quand j'aurai fait ma petite enquête
je vous souhaite une très belle semaine et je passe vous voire avec vos productions et votre instantanée
une petite phrase
question de boostée vers les belles vibrations.
prenez le panier d'osier celui que l'on prends dans les roseraies de la longueur d'une grande rose.
bye bye lovers writters see you soon
1
Jeff Foster
Il y a deux craintes principales: perdre ce que vous avez, et de ne pas obtenir ce que vous voulez. Il y a une solution: Tomber en amour avec où vous êtes.2
Charles Coutarel
Le seul intérêt de reconnaître ce que l'on est réellement, en dehors de sa valeur intrinsèque, c'est de trouver la Paix du Cœur et de l'Esprit. Autrement nul besoin. C'est libre. Avec cette Paix, une Joie innocente émerge... Une grâce simple..3
Jason Lapointe
Il faut savoir oser affronter l'inconnu pour goûter aux joies de la liberté intérieure...4
Guy Corneau
Comme tous les arbres, comme toutes les plantes, nous sommes destinés à grandir, à nous déployer et à nous épanouir pour notre plus grand plaisir et celui de notre entourage. Certaines racines sont si vivaces qu’elles passent à travers une fondation de béton pour poursuivre leur route. Telle est la force du ferment de joie qui nous fonde.5
Guy Corneau
Rencontrer le meilleur de soi, c'est éprouver la force de notre élan créateur et sentir la pulsion de vie qui nous anime. C'est retrouver l'océan en soi, le ciel étoilé en soi, chaque partie de l'univers en soi ; et l'exprimer pour notre plus grande joie.6
Michel Ravenne
La Joie n'appartient ni à hier ni à demain. Elle est là, maintenant. La Joie n'est pas une chose qui se passe … C'est pour cela qu'elle ne disparaît pas … Elle n'est jamais apparue.
7
Félix Leclerc
Le verbe aimer pèse des tonnes de chagrins, de joies, d'inquiétudes, de chair, de sang, de doutes, d'extases et de cris. Ne le fuis pas ! Le verbe ne pas aimer pèse encore plus lourd.
faites votre choix si çà vous cause un chouya
Frankie, merci de ces belles citations… pour moi le choix sera :
RépondreSupprimerMichel Ravenne
"La Joie n'appartient ni à hier ni à demain. Elle est là, maintenant..."
Bisous, Lolo
Moi j'aime bien ce que le verbe aimer de Félix contient.Bon début de semaine.
RépondreSupprimerbien sûr que ça me parle. Et plus qu'un chouia. Celle qui me semble le plus tout englober, et sans dictat, c'est celle de Félix Leclerc
RépondreSupprimerbises et belle journée, "embaumée de lilas"
Bonjour Frankie, un dernier passage très sage avant de partir je retiens les numéro 4, 6, 7...
RépondreSupprimerles lilas commencent aussi à fleurir (si tu les mets dans un vase écrase bien la tige avant pour que l'aubier laisse monter l'eau),
je te souhaite plein de fleurs et de soleil dans la vie et dans le coeur
gros bisous tout doux
merci de votre passage et du conseil , je savais bien que le lilas meritait un traitement spécial mais dans ma tête je ne me rapelais pas
RépondreSupprimergrosses bises à toutes
bisous espagnoles!!!!!!!
RépondreSupprimer« Le verbe aimer pèse des tonnes de chagrins, de joies, d'inquiétudes, de chair, de sang, de doutes, d'extases et de cris. Ne le fuis pas ! Le verbe ne pas aimer pèse encore plus lourd. »
RépondreSupprimer- Allez : une confidence : début des années 50, j’ai 8 ou 9 ans, Félix Leclerc passe souvent à la radio : c’est le P’tit bonheur (http://mon.camping.free.fr/lesparolesdelachanson.htm)
Pourquoi à cet âge cette chanson m’a-t-elle ému au point de s’être gravée dans ma mémoire ? Pourquoi cette tristesse de perdre celui qu’on aime parce qu’il a grandi et qu’il a mieux à faire ailleurs ? Était-ce une anticipation de ce que je ferai moi-même plus tard ?
Je n’ai jamais su. En tout cas, la citation d’aujourd’hui termine de façon stimulante ce qui était resté ouvert dans la chanson : même si en aimant on vit dangereusement, c’est mieux que de ne pas vivre !
Mon choix va à l' ami Félix sans aucune hésitation... :-))
RépondreSupprimerBisous belle Frankie