Jeudi chronique d’Agathe saison 4
L’anecdote de la cafétéria de l’hôpital Saint Louis
Oui oui, je prends de la place
D’abord
Mon bolide de corps
Un
jour dans un métro à paris toi te
souhaite une chimio car au moins tu vas maigrir
tu es obscène avec ton obésité qui baigne de partout
Au
tolet général du silence rependu comme les pâquerettes avant l’annonce du
printemps
Çà
m’était rester sur le jabot l’estomac en charentais. Dommage il y a des gens
qui ont du lyrisme que dans les
bénédictions de merde.
Donc je suis à la cafétéria après la séances de de
RX. Le matin en hôpital de jour ou je fus accueilli mais que faire vous donc là
. Vous m’aviez convoqué. IL faut vous dire que j’étais venu à, reculons car
j’avais théoriquement terminé le
dimanche précédent. Ce fut un très grand ouf.
Je suis installée avec ma collation un gâteau Basque
pour honorer mon sud ouest et penser comme cela à Notre chère Manouche et son
amour l’Adour et Roland Basques.
Je dépîoite avec gourmandise le monde des
livres, j’ai distribue dans la salle d’attente de RX les pages que j’ai lu et
ne retiens pas pour mes notes…
Et la vie va surtout que je retrouve mas amours
d’autant Lucinda ting , rainer, et une
troisième grand chorégraphe qui on marquait les année 70 et perdure dans leeur
concept danse avec Robert Wilson dansent dsur du John Amamas et du Philipps
Glass.
Je prends des notes pour un de mes chapitre où la
première page sera dansé… et petit à petit je me sens à l’étroit dans le dos je
me sens bousculé ùmais trop pris par mes pages futures d’écriture je ne peux me
distraire l’énergie aprs les rayons étant un peu en baisse pas perdre
l’inspiration.
Et un verre carrément se pose sur ma table de
travail. Et une phrase vous ne trouver pas pas que vous prenez un peu trop de
place.
-Qui vous dit qui est là ?
Je me laisse le temps de faire un tour de vue et de
les planter par une phrase énigmatique surtout qu’un quart d’heure plus tôt j’avais
eu un échange très chaleureux et puisant avec des personnes de Saint pierre et
Miquelon qui accompagnaient une de leur très chère pour une grande opération. Offrandes de mots de sourires, de livres pour faire du combat une victoire….
Et là.
L’enfant gaté de la famille a mis ses bas de contention plus en sexy
marquage du corps que pour la circulation de son sang, il a pas oublié son short
sexy, il a raison, il faut reste soi !Même opéré ......
et la coure du gaté
mais les sœurs les copines la mère la grand-mére c’est joli..
Mais l’agression "vous prenez trop de place, allez
ailleurs."
Là je dis madame je
la fixe dans ses yeux de méres animals qui ne peut logés tout ses petits et qui
est à mordre.et d’une violence incontrôlée.
Je suis malade et seule
et je me bat........... vous savez çà ne se réécrit pas …….. et j’ai bien
l’intention de gagner, tous ceux là je montre la table sont mes
amis ….dans le journal il y a auteurs qui me nourrissent dans ce livre aussi ils ont besoin d’avoir leur place mes cannes
pour me porter mes vêtements pour avoir chaud. C’est l’essentiel d’un arsenal
de guerre tout a sa portée vous c’est votre portée qui n’a pas çà place excusez
moi il ne semble pas à l’article de la mort et il a 4 place derrière moi et devant moi 4 autre place. Laissez finir
mes opérations d’écriture et oui je vais dégager. Et en plus avec un grand
plaisir . Vous oublier un peu trop que vous êtes dans un hôpital. Je reprends la plume et la lecture. Rien ne
bouge et tant mieux. Elle se met à tousser sans mettre sa main je bondi sur mon
écharpe et je me la met en masque et là c’est furieuse que je la matte.
Au cours je l’échange un
après j’étais couverte de frisons les larmes aux yeux.
Je suis partie, elle m’accompagne jusqu’au bout de la cafétéria et me souhaita mon courage. Je lui ai
renvoyé pour son fils.
pour nos amies et leur amours
Votre Frankie Map'sMonde
Puisque nous sommes venus au monde chacun de nous y a sa place, dans cet espace privé bat un cœur plus ou moins grand, ouvert ou pas aux autres. Il y a des malheureux à plaindre parce qu'ils n'en ont pas... comme dirait l'ami Jean-Mi : les cons !
RépondreSupprimerplace aux cœurs!!
RépondreSupprimermerci pour cette figure de chat noir au regard doux... comme celui de mon Shalimar
bises
Je bisse le commentaire de manouche Frankie, chacun a sa place même les C... hélas !
RépondreSupprimerje t'embrasse
Il faut laisser pisser le Mérinos, Frankie.
RépondreSupprimerIl y a des gens qui sont venus sur terre pour faire c...r les autres. L'indifférence et le mépris sont la meilleure façon de leur répondre !
Si tu savais............
Joli chat noir.
Je t'embrasse bien fort Map's Monde.
Il y a des gens qui ont du lyrisme que dans les bénédictions de merde. Ah ! Très chère duchesse of Pain en robe de faille rouge aux reflets mordorés : — Je vous salue ! Cette phrase est parfaite. Vous flottez for ever. Très aquatiquement, Olivier
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerIl faut de tout pour faire un monde, mais il y a des gens qu'il vaut mieux ne pas rencontrer. Bises.
RépondreSupprimerCoucou Frankie,
RépondreSupprimerAlors un petit conte pour Vous
Le secret du bonheur - Conte africain-
Un enfant demande à son père:
- Dis papa, quel est le secret pour être heureux ?
Alors le père demande à son fils de le suivre. Ils sortent de la maison, le père sur leur vieil âne et le fils suivant à pied. Et les gens du village de dire:
- Mais quel mauvais père qui oblige ainsi son fils d'aller à pied !
- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison, dit le père.
Le lendemain ils sortent de nouveau, le père ayant installé son fils sur l'âne et lui marchant à côté. Les gens du village dirent alors:
- Quel fils indigne, qui ne respecte pas son vieux père et le laisse aller à pied !
- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.
Le jour suivant ils s'installent tous les deux sur l'âne avant de quitter la maison. Les villageois commentèrent en disant:
- Ils ne respectent pas leur bête à la surcharger ainsi!
- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.
Le jour suivant, ils partirent en portant eux-mêmes leurs affaires, l'âne trottinant derrière eux. Cette fois les gens du village y trouvèrent encore à redire:
- Voilà qu'ils portent eux-mêmes leurs bagages maintenant ! C'est le monde à l'envers !
- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.
Arrivés à la maison, le père dit à son fils:
- Tu me demandais l'autre jour le secret du bonheur.
Peu importe ce que tu fais, il y aura toujours quelqu'un pour y trouver à redire.
Fais ce qui te plaît et tu seras heureux.
Auteur inconnu
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Fany