Stefan Zweig
Relever les défis
"Tous les atlétes cherchent à se dépasser.
C'est une merveilleuse approche de la vie .
Chercher en permanence de nouveaux défis surtout ceux qui exigent que vous poussiez plus loin vos capacités.N'oubliez pas que ce n'est pas un but en soi , c'est la démarche qui enrichit."
"La victoire aime l'effort."
Catulle
extrait du livre de Patrick Lindsay
1 Rudyard Kipling
Les mots sont la plus puissante drogue utilisée par l'humanité.2 Claudette Vidal
La fin de la recherche est l’acceptation inconditionnelle de ce qui est.3 Carl Gustav Jung
La clarté ne naît pas de ce qu'on imagine le clair, mais de ce qu'on prend conscience de l'obscur.4 Carl Gustav Jung
Il est bien difficile d'être simple.
5 Arnaud Desjardins
Le bonheur, on ne le trouve pas, on le fait. Le bonheur ne dépend pas de ce qui nous manque, mais de la façon dont nous nous servons de ce que nous possédons.6 Albert Einstein
Le plus beau sentiment du monde, c'est le sens du mystère. Celui qui n'a jamais connu cette émotion, ses yeux sont fermés.7 Upanishad
Tu demandes ce que c’est que l’absolu. C’est la propre essence de ton âme qui est intérieure à tout.8 Pierre Lévy
Nos blessures sont nos plus grandes richesses :elles maintiennent ouvert le chemin du cœur.
Bye bye Map's Monde
"comme la foule" de Map's Monde
photo de mon amie artiste polonaise
parc floral
Les mots sont la plus puissante drogue utilisée par l'humanité...une drogue souvent si mal utilisée Frankie ben trop souvent pour nous "embobiner" l'esprit !
RépondreSupprimerje te souhaite une douce journée, profitant d'un passage devant l'ordinateur entre toutes mes absences jusqu'en novembre.
Bises
" La pause fait partie de la musique".... ma petite musique intérieure en a de plus en plus !
RépondreSupprimer"La pause fait partie aussi de la musique" – Stefan Zweig
RépondreSupprimerFaçon de dire que la musique n’est pas seulement faite de notes qui retentissent mais aussi de tout le silence qui les entoure.
Je me rappelle d’un récital du pianiste Krystian Zimerman, un jour de novembre alors que le public était enrhumé et toussait pendant le concert. Entre deux sonates de Mozart, il se tourne vers le public : « Pourriez-vous interpréter les silences ? »