Le premier atelier ,
passer la matinée à reprendre mes notes des derniers quinze jours pour mener à bien la leçon inaugurale de l'atelier d'écriture l'Hajat à la p'tite Rockette et j'avais oublié le document sur mon bureau.
Le livre "être là" d'Eamon Grennan dans mon sac de voyage, tant sa pluie des mots est inventive. Depuis l'achat de la veille , chaque pose, je la passais avec lui.
Je vous mettrai des extraits dans la semaine.
La route vers l'atelier perlait de vie de mariage : une jeune mariée et sa famille dans le bus la traversière, dans le 61 des jeunes filles comme un tableau des printemps de Botichelli couronnes de fleurs blanches, joie , légére exaltation de la journée qui se présentait à elles, en coure d'atelier, un petit garçon de la p'tite rockette vint nous offrir une tarte à la figue du mariage des voisins...
Jamais deux sans trois
J'écris en menant le bal des mots ,
je ne lis pas...
c'est vous mes lecteurs firts.
je ne lis pas...
c'est vous mes lecteurs firts.
Dansez avec vous dit Penthésilée
Dans la complicité
Ne
voir la chose
Qu’en
fragments
L’émouchement
du nez
Le
carillon du mauvais oeil,
Çà
roule sur la peau
les
tubes en verres et en zing.
Infiltrer
ses mains dans la tarte aux figues,
Les
figues de l’attente
Ce
goût met de la tripe de la trique.
Corps
barricadé sous l’armure
Sentir
son membre d’ivoire
lui courir l’échalote, juste en rêve
lui courir l’échalote, juste en rêve
Rester
aux portes de ce corps"barricades"
Comment
être à elle , lancer le cheval de Troie :
se
disait Achille si prés de Penthésilée
(la reine des amazones).
(la reine des amazones).
Le
chaud du fournil
Bruit
de boites de conserve
elles s’entrechoquent ingénument
L’orchestre
de Bobo-Dioulasso
dans
l’atelier aux sacs de guano
de la
petite ruelle
Bruits
d’eau
comme sur
des pierres précieuses
lisses,
lissent, glissent, glissent
Elle
réentend leurs chants de lit
Chants
de l’heure
L’orchestre
de country locale
Reprend
la route
Tenant
à l’horizon sa mélopée bastringue.
Monostiches
Sortir de l’ortie
Dans la p’tite ruelle ……,un carillon japonais,……, bruits d’eau sur pierres
précieuses,……. ce goût de la tarte aux figues met de la tripe, de la
trique, le membre d’ivoire coure l’échalote, chaud de fournil, bruits d’eau de pierres précieuses, lisses -lissent,
glissent- glissent, elle entend l’orchestre de Bobo dans l’atelier aux sacs de guano,
chants de lit, chants de l’heure, infiltrer ses mains dans les figues de la
tarte de l’attente, elle roule sur la peau dans la complicité de voir la chose
en fragments, l’émouchement de sa taupe chasse le mauvais esprit, de sa côte de
mailles ,l e corps "barricades" Achille lâche, l’écluse devient open.
de Frankie Map's Monde
Inchalla l'ânesse de l'épopée du roman sur le parcours de Compostelle(billet de juin et debut juillet) était à nos côtés
Caloa embléme plumes de l'atelier
photo
Calao à bec rouge de Dakar Bango de François Bacuez
regarder sur la liste des blogs il y figure ornithologue ...
photo emprunt web
boite de Pétry des futures oeuvres
les premiers jets
Belle semaine de Frankie
J'ai adoré et j'y reviendrai, à tête reposée... Merci!
RépondreSupprimerLe crêpe du chant de l'heure, la dernière.
RépondreSupprimerTa fringante petite ânesse et très bien fringuée !
RépondreSupprimerEt puis la tarte aux figues hummmmmm
Gros bisous Frankie.