Courçon
d’Aunis villages des cagouilles, des cabournés carbournées, des lumas, du farci
printanier, de la croque au sel, la course à l’échalote, les femmes qui font
pipi debout, l’alambique derrière le mur du sabotier, les langues de vipères
dans les venelles, … autour des tombes. La vigueur de l’oralité les jours de
marché. Le curé : ses prêches, la belote chez Paillot refuge des
testostérones du village. Cimetière à l’entrée à droite : la vitre les
poilus derrière, « toujours l’honorer » disait la mémé avec les
fleurs des poules.
*
Enfin
la gare, la course sur le quai jusqu’à la limite du départ, s’engouffrer dans
le wagon qui n’est pas le sien. Saluer
le chauffeur de Ludmilla. Milan
Milanowish : danseur - cascadeur de Pina Bausch ...............................................................................................................................................................Discrètement
Milan me laissait son lit ainsi pas besoin de rentrer dans mon 20eme, c’est lui
qui y allait.
(suite)
Frankie Map's Monde
droits réservés
sous la direction d'Ingrid Thobois
photo de Cousine Monique en espagne ce mois de mars
RépondreSupprimerBonjour ma chère amie du net,
RépondreSupprimerJ'espère que vous allez mieux ?
J'ai l'impression que mon dernier article vous a contrariée, et j'en suis bien embêtée. N'imaginez pas un seul instant que je me sente parfaite, loin de là. Si c'était le cas, j'arrêterais d'écrire...
Excusez moi encore - à moins que je n'ai pas compris votre commentaire.
Je vous embrasse. Bonne journée.
je ne suis pas fachée , ni contrariée, je sais pour avoir exercé un metier de psychopédagogue, que la frontalité dans certaines situations n'est pas le chemin pour le meilleur de l'autre. certaine fissure à l'être se sutures mais le temps , la parole , l'art thérapie sont des soins de longues haleine...
Supprimerc'tait une vigilance.
je me suis permise, car sur un de votre retour je faisais état au passé d'un état de descentes...
le passé exprimé la fin et la joie de réappréhender le net et les amitié et les fraternité...
je sais que je suis pas facile à lire si le temps est court, j'ai essayé d'écrire comme tout le monde , je m'y ennuie comme un rat en agonie.
ma quête littéraire est ma jouvence , alors vue le peu de commentaires que je récolte dans un style et dans l'autre ma plume améliore l'améliorable et le style s'affine.
Un cas humain merite une lecture pas aobligatoire dans le sens du poils de l'auteur du billet.
je vous souhaite de beaux billets.
belle semaine.
quand je suis sur le net. Je vais bien.
SupprimerJe n'ai utilisé mes amis pour
dieu sait que l'on sait fais ta vaiselle toute seule ou avec son équipe...
vous auriez du le lire que j'allais mieux ...
bye Séraphien
Encore une fois tu nous alambiques des histoires sorties droit, plutôt en volutes alcoolisées, de l'alambic du l'armagnac où tu trempes ton sucre.
RépondreSupprimertu le sait bien manouche qu'un style se crée entre l'apnée s de vie et l'apnée de la mort entre les deux
Supprimerla vie vire-volte
groc bisous
si je vbuvais ce serai pineau des Charentes vieux...
kiss well et mucho la belle
et t'a pas fini...
ici il y a de la testostérone à vendre...c'est le piment du sud...bises ,c'est la langue de vipère....
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