dimanche 2 avril 2017

ateleir 3 avec Ingrid Thobois, Chants , Champ de Mars



Courçon d’Aunis villages des cagouilles, des cabournés carbournées, des lumas, du farci printanier, de la croque au sel, la course à l’échalote, les femmes qui font pipi debout, l’alambique derrière le mur du sabotier, les langues de vipères dans les venelles, … autour des tombes. La vigueur de l’oralité les jours de marché. Le curé : ses prêches, la belote chez Paillot refuge des testostérones du village. Cimetière à l’entrée à droite : la vitre les poilus derrière, « toujours l’honorer » disait la mémé avec les fleurs des poules.

*

Enfin la gare, la course sur le quai jusqu’à la limite du départ, s’engouffrer dans le wagon qui n’est pas le sien.  Saluer le chauffeur de Ludmilla. Milan Milanowish : danseur - cascadeur de Pina Bausch ...............................................................................................................................................................Discrètement Milan me laissait son lit ainsi pas besoin de rentrer dans mon 20eme, c’est lui qui y allait.
(suite)
Frankie Map's Monde

droits réservés
sous la direction d'Ingrid Thobois


 

7 commentaires:

  1. photo de Cousine Monique en espagne ce mois de mars

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  2. Bonjour ma chère amie du net,
    J'espère que vous allez mieux ?
    J'ai l'impression que mon dernier article vous a contrariée, et j'en suis bien embêtée. N'imaginez pas un seul instant que je me sente parfaite, loin de là. Si c'était le cas, j'arrêterais d'écrire...
    Excusez moi encore - à moins que je n'ai pas compris votre commentaire.
    Je vous embrasse. Bonne journée.

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    1. je ne suis pas fachée , ni contrariée, je sais pour avoir exercé un metier de psychopédagogue, que la frontalité dans certaines situations n'est pas le chemin pour le meilleur de l'autre. certaine fissure à l'être se sutures mais le temps , la parole , l'art thérapie sont des soins de longues haleine...

      c'tait une vigilance.
      je me suis permise, car sur un de votre retour je faisais état au passé d'un état de descentes...

      le passé exprimé la fin et la joie de réappréhender le net et les amitié et les fraternité...

      je sais que je suis pas facile à lire si le temps est court, j'ai essayé d'écrire comme tout le monde , je m'y ennuie comme un rat en agonie.

      ma quête littéraire est ma jouvence , alors vue le peu de commentaires que je récolte dans un style et dans l'autre ma plume améliore l'améliorable et le style s'affine.

      Un cas humain merite une lecture pas aobligatoire dans le sens du poils de l'auteur du billet.

      je vous souhaite de beaux billets.
      belle semaine.

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    2. quand je suis sur le net. Je vais bien.
      Je n'ai utilisé mes amis pour

      dieu sait que l'on sait fais ta vaiselle toute seule ou avec son équipe...
      vous auriez du le lire que j'allais mieux ...
      bye Séraphien

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  3. Encore une fois tu nous alambiques des histoires sorties droit, plutôt en volutes alcoolisées, de l'alambic du l'armagnac où tu trempes ton sucre.

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    1. tu le sait bien manouche qu'un style se crée entre l'apnée s de vie et l'apnée de la mort entre les deux
      la vie vire-volte
      groc bisous
      si je vbuvais ce serai pineau des Charentes vieux...
      kiss well et mucho la belle
      et t'a pas fini...

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  4. ici il y a de la testostérone à vendre...c'est le piment du sud...bises ,c'est la langue de vipère....

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