Elles sont deux vielles
assises dans un hamac de nuages, les
pieds dans le vide, des jumelles en amorce des yeux, des
entonnoirs métalliques enfoncer dans les oreilles pour mieux capter les sons
Et ‘t'as entendu ta
petite fille :
« Moi de toute
façon j’attends que la mort alors attendre un autobus c’est se divertir en
l’attendant.
Pour une petite qui a joué
"En attendant Godot" de Beckett en travesti. Elle est descendue de la branche des planches.....
Marie
Louise
-C’est une spirituelle
ma petite fille avec tout ce qu’elle a
encaissée de part et d’autres, heureusement qu’elle a remonté les bretelles de
la médiocrité environnante et qu’elle s’est choisi des horizons où elle
fréquente plus les invisibles que les visibles et qu’elle sait nous faire de la
place…
Irène
De son bac elle ne put
le fêter !
Voyager la nuit avec
son ami de la Rochelle elle arriva à 4 heures du matin.
Elle fut reçue par la
mère. Elle dormait dans le salon des plantes. Les plantes la nuit ronflent
moins que son futur ex mari. …….
Marie
Louise
Ben oui, la drôlesse
savait qu’en finissant ses études la mère divorcerait et enfin libre de cet homme
qui n’avait fait que vivre et converser dans les cafés. A la maison c’était sa
radio, son journal télévisé, le canard, son dictionnaire.
Irène
-C’était pas un con,
Son maitre le père Robert avait eu une
belle et grande influence chez lui. Il pouvait vraiment faire le collège et le
lycée sauf que la Marguerite entre deux châteaux et quelques métairies a préférée
mettre en apprentissage boucher.
Marie
Louise
Le voir le plus vite
possible sortir de son écran solaire ?.!.... Elle l’aimait le René mais il avait la
tête du con qui l’avait violée même pas un an après quitté ses blocs de tranchées. « Recouseuse de
plaies ». Je ne sais laquelle elle fit à son fils d’avoir vendu la flûte avant
l’envoyer le frére boucher.
Irène
-S’ il avait un
instance de rêve en lui. Elle fut carbonisée d’un coup. Il fit très vite le
plus gros : les abattoirs.
Marie
Louise
A peine la pièce pour aller au bal le
dimanche. Tu parles d’un débouché, la bête de somme, payé misère. Il apprit
très vite, à devenir braconnier et se faire sa monnaie avec les clients de la
boucherie qui devenait ses clients livrés à domicile de poissons, anguilles,
lamproies et faisans , coq de bruyère, lièvres. Les cèpes, les trompette de la
mort, les girolles, les morilles. Pour son bal même à 15 ans. Le bal, les tenue à la Rudolph
Valentino, la briantine, le parfum.
Iréne
C’est vrai qu’avec une
mère robeuse dans les châteaux, tailleur pour dames et hommes, il avait de quoi
tenir dans l’amour des beaux tissus et des formes à faire rutiler le corps
comme la panthère des torrents la truite.
-
Marie Louise
-
Et dans sa tendre enfance il allait en
villégiature à Luchon avec sa grand mère paternelle.
…………. à suivre...
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de Frankie Map's Monde
foto frankie
foto frankie
Iréne et Marie Louise
foto frankie
foto frankie
bonne lecture et à bientôôôt
Ca part assez sordidement! Comment vas-tu t'en sortir? J'ai hâte de lire la suite!
RépondreSupprimermerci Gine. je vais m'en sortir mais mes heros vont vive de gransdes secousses
RépondreSupprimerSurprise pour la suite !! Des veilleuses à ne pas mettre... en veilleuse !
RépondreSupprimerOh là là! Aller en villégiature à Luchon, c'est une expérience que j'ai vécue plusieurs fois quand j'étais gamine!
RépondreSupprimerJe ne la souhaite à personne! Je n'aime pas du tout l'atmosphère de cette ville!
Alors j'attends la suite...
Bisous
"Saga africa attention les secousses"....
RépondreSupprimermerci les lecteur et lecturices le souk machine les enfers de la brousse à LUchopn et plus à tout bient^tot
RépondreSupprimerToujours plein de joie.
RépondreSupprimerC'est ce que tout le monde veut..
Bonne continuation!
Très beau lieu qu'il faut que je découvre en vrai
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