photo frankie
Couché en terre de douleur,
mordus des grillons, des enfants,
tombés de soliel vieillissants
doux fruits de Brémonde.
ton naufrage n'a rien laissé
qu'un gouvernail pour notre coeur,
un rocher creux pour notre peur,
O Buoux, barque malraitée!
Tels des mélézes grandissants,
au dessus des conjurations
vous étes le calque du vent,
mes jours murailles d'incendie
c'était prés.en pays heureux.
Elevant la plainte en délice,
je frottais le trait de ses hanches
contre le ergots de ses branches,
Romarin landes butinées.
René char
Alberto Giacometti
le visage nuptial Cordialement F Päin
J'aime ces mots qui partent à la dérive, à l'abandon et nous laissent admiratifs....
RépondreSupprimerVive le vent, le vent coquin qui fait danser les joyeuses lessives !
RépondreSupprimer"Il faut souffler sur quelques lueurs pour faire de la bonne lumière." René Char
RépondreSupprimerContinue à souffler Frankie, pour toi et pour ceux qui t'entourent!
"L'impossible nous ne l'atteignons pas, il nous sert de lanterne" René Char
RépondreSupprimertu attrapes la lumière! bises
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