Dur
dur d’être vivant.
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Nous
pénétrons un monde nouveau.
fin du chapitre
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Premier jet
de Frankie /Françoise Pain
Bisous bonne semaine
Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
Mais qu'est-ce que racontes Cocotte de kiné, il est superbe ton texte et tu sais que je suis avare en compliments. Il est bourré de trouvailles, d'images originales. On en oublierait presque que tu souffres.
RépondreSupprimerAh ces visites "qui vous imposent d'être celle qui parle" !
Tu es tellement jolie sur la photo derrière le Bihan. C'est un vrai cadeau que ces clichés de films.
Merci et bizzzzzzzzzzzzzzzzz
Oui Frankie, il y a des moments où c'est dur de vivre et où la fatigue emporte tout sur son passage. En plus de la fatigue tu as aussi de terribles douleurs. Mais quelle honte que d'avoir en plus à supporter un tel kiné! Aussi insultant! Qu'il aille travailler ailleurs qu'à l'hôpital s'il n'a pas d'empathie. Heureusement tu as du répondant!
RépondreSupprimerRassure toi, ton cerveau continue à tourner à plein régime et ta plume est toujours aussi féconde.
Plein de gros bisous!
Bonjour chère Frankie
RépondreSupprimercomment vous consoler puisqu’il ne sert à rien de dire toute la sympathie, l’empathie etc. qu’on a pour vous ? Vous restez seule dans la souffrance et le désarroi.
Mais en même temps, il faut que vous le sachiez, en vous lisant je suis être ému de votre douleur – mais aussi je me réjouis de voir que vous la sublimez dans le récit que vous en faites.
Voilà. C’est quand même une petite compensation ?
Oui, c’est vrai : sublimer se souffrance : quelle foutaise ! Autant prier pour demander à Dieu qu’il fasse quelque chose avec ça. Mais c’est quand même avec ça (= votre récit et sa puissance verbale) qu’on se rapproche de vous, qu’on vient virtuellement sur le bord de voter lit, et qu’on vous écoute.
Restez la dame de parole.
Je vous embrasse affectueusement
Jean-Pierre
Un petit coucou pour te dire que je pense fort à toi même si je suis si loin en kilomètres. Du moins ma pensée et ma sympathie au sens éthymologique peuvent venir s'asseoir au bord de ton lit.
RépondreSupprimerGrosses bises.