dimanche 10 février 2019

24 chronos dur dur d'être vivant




Dur dur d’être vivant.

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Nous pénétrons un monde nouveau.
fin du chapitre 
droits reservés
Premier jet
de Frankie /Françoise Pain

 Bisous bonne semaine


4 commentaires:

  1. Mais qu'est-ce que racontes Cocotte de kiné, il est superbe ton texte et tu sais que je suis avare en compliments. Il est bourré de trouvailles, d'images originales. On en oublierait presque que tu souffres.
    Ah ces visites "qui vous imposent d'être celle qui parle" !
    Tu es tellement jolie sur la photo derrière le Bihan. C'est un vrai cadeau que ces clichés de films.
    Merci et bizzzzzzzzzzzzzzzzz

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  2. Oui Frankie, il y a des moments où c'est dur de vivre et où la fatigue emporte tout sur son passage. En plus de la fatigue tu as aussi de terribles douleurs. Mais quelle honte que d'avoir en plus à supporter un tel kiné! Aussi insultant! Qu'il aille travailler ailleurs qu'à l'hôpital s'il n'a pas d'empathie. Heureusement tu as du répondant!
    Rassure toi, ton cerveau continue à tourner à plein régime et ta plume est toujours aussi féconde.
    Plein de gros bisous!

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  3. Bonjour chère Frankie
    comment vous consoler puisqu’il ne sert à rien de dire toute la sympathie, l’empathie etc. qu’on a pour vous ? Vous restez seule dans la souffrance et le désarroi.
    Mais en même temps, il faut que vous le sachiez, en vous lisant je suis être ému de votre douleur – mais aussi je me réjouis de voir que vous la sublimez dans le récit que vous en faites.
    Voilà. C’est quand même une petite compensation ?
    Oui, c’est vrai : sublimer se souffrance : quelle foutaise ! Autant prier pour demander à Dieu qu’il fasse quelque chose avec ça. Mais c’est quand même avec ça (= votre récit et sa puissance verbale) qu’on se rapproche de vous, qu’on vient virtuellement sur le bord de voter lit, et qu’on vous écoute.
    Restez la dame de parole.
    Je vous embrasse affectueusement
    Jean-Pierre

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  4. Un petit coucou pour te dire que je pense fort à toi même si je suis si loin en kilomètres. Du moins ma pensée et ma sympathie au sens éthymologique peuvent venir s'asseoir au bord de ton lit.
    Grosses bises.

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