Comment est-ce concevable ?
Ce jour là j’avais vécu une
situation très inquiétante sur la table de verticalisation. Mes pieds n’avaient
pas été bien posé compte tenue de vagus-varus et le temps passant la douleur s’est inscrite sur mon visage, je
me retenais d’hurler donc de respirer. La Kiné était dépassée par un nombre
incalculable 7-8 patients, attentifs à
chacun sauf moi sanglée. Je commençais à grincer de cris, de douleurs qui se
formaient et s’échappaient de ma gorge Je n’avais aucun contrôle dessus, ses
collègues vinrent lui porter main-forte. Ils rééquilibrèrent la pose sur
l’élargissement du polygone de sustentation. Elle n’avait pas les moyens de
s’en rendre compte tant ses occupations étaient multiples. A quelques jours de
l’incident du « mister plagiat en direct »….
Je commençais à grincer des dents,
de cris de douleurs se formaient s’échapper sans que j’y ai mis de l’Abigaël. Je
n’avais pas la main verte avec les hommes, mais avec les kinés, je vais
commencer à en douter. Quel fantasme, je crée chez eux ?
Non de non (comme on s’exprime en Charentais. )Hors de l’Aquitaine mon champ
lexical faisait que la plantation du gras sur les bords m’était obstacle à la prise en compagnie en esprit et d’ amour
de tendresse et complicité.
Rien, qu’en 500 kilomètres, je débarquais dans
une ville où l’anorexie était l’épousaille du mon chant lexicale ! Woaou Zombie de cul de
jatte, je devenais sans le savoir la Reine des paris pour qui aller gagner la
montée de l’Himalaya du gras double, lui gagner un Ricard, lui s’était fendu
d’une « faussade » d’amour
romantique pour obtenir « la louve de rivière ».
La perte en
centimètres d’approche n’avait pas été analysé de la grotte sacrée, il ne
pouvait que repartir bredouille sans avoir pu atteindre « là s’il avait un
peu d’imagination dans le domaine, il
arrivait à se faire payer le jus jaune – très à la mode en cette période de
cette écriture, ne pas oublier pour les temps du futur-.
Je compris
très vite ce qui se passait, je décidais
de prendre ma retraite de femme potentielle avec Zidane-son âge de
retraire- et la même victoire, quand même, une Reine des Villas de Palladio du
Médoc à l’Aliénor d’Aquitaine….. Je ne pouvais finir une carrière de femme sur
de tels pis à lait. Au lieu de se fleurir d’endomorphines roses, je me fis "nonne laïque" unie par l’esprit aux poètes,
aux philosophes, aux paroles de bons sens des amis du blog, et aux sages,
d’Aristote , Platon, le Dalïa Lama, ……….. qui se « fornissait » en vibrations élégiaques 8eme ciel, sur des
phrases tellement parfaites : la première fut de Jean Starobinski,
critique littéraire Suisse et grand
essayiste de grands sujets fondamentaux,
ami de Monsieur notre grand poète Yves Bonnefoy…………
et les phrases cueillies
dans les bus et abris bus… autant de fleurs des champs de sens qu’un champ de
paquettes au printemps ou de colchiques dans les prés à l’automne. Et mon art
de la sublimation me permit de me porter la part nécessaire à tout part de
création comme Marlon Brando dans « Le tramway nommé désir », et le
travail avec Tana Kamin sous l’élastique du teneur du triangle des Bermudes
délimité par la savane du tablier sapeur des poils du pubis (le chacra sexuel)
çà , ca vous invente tout dans votre créativité.
J’ai pris la Trouille, la
rivière du champ de batailles des prussiens
sur mon sujet, c’est casse-pied de défaire un bel équilibre mais un jour les choses s’arrêtent, la perte de
temps à le remarquer qui nous enclave dans des attentes de signes, comme nous si avions besoin de çà.
Je voulais absolument éviter
l’Achéron ; deux brancardiers avec la kiné qui sont des êtres très dévoués
et d’une brillance humaine excellente , d’une beauté qui fait toujours bon de
se prendre une belle rinçade d'iris, l’humour qui enchantent leur visage , réduit les
engommages de nos craintes. oui les deux à piroguer entre le Tartarre et les Champ Elyssées. Une belle fin.
Retour
Nous y
sommes, après le grand chemin de travers. De l'école buissonnière, c’est
bon pour la touareg de lit sans escarre ; même dans un texte, après tout,
les incidentes sont faites pour exister plus,
là je joue mon Va-tout.
Tout
remonte en soi à la vitesse d’un tgv et nous ne pouvons rien faire sauf nommer,
identifier, calmer l’extérieur, éviter toute forme de projection sur les
séances futures. Le futur c’était la pose du pied par terre sur l’accord de mon
chirurgien orthopédiste. Cueillir les fleurs de l’abandon ; çà on a beau
voir écrit sur nos tablettes de buis des
jours noirs, connaitre par cœur ce refrain, ne plus nous y laisser braire,
l’avoir occis de multiples manières, c’est gravé dans la chair comme un
tatouage à la herse avec l’encre de
Chine. Ca devient réflexe Pavlovien,
même si un travail analytique a été pratiqué, la situation abandon
çà sonne comme les cloches de Rome le jour de Pâques…
Elle me propose de faire du vélo.
J’avais tant pris sur moi pour ne
pas me livrer à une danse de tanrantulée
sicilienne que j’étais épuisée, je réclamais de me rendre à ma chambre,
Jacquesyves arriva souriant et
benaise comme d’habitude. Sa venue toujours une joie dans mon cœur. Nous
inventons toujours des associations qui nous ravissaient l’un l’autre.
Ce jour là, je me relevais du
sommeil si court, plus court que la sieste du coup de crayon de Dali, (je vous l’expliquerai. )Je le regardais, épuisée de ce passage très cris , douleurs,
surtout que je commençais après 4 mois et demi, à pénétrer les traces d’une
fatigue inconnue qui sortait du combat avec "Goliath Myelome".
S’’apprendra autre chose dans ce polder inconnu à soi.
Sans compter, une vie dans une
sorte d’isolement, des visites courtes. Rares comme le safran dans les sauces.
L’homme était silencieux comme un brouillard du matin de noël à couper au
couteau à pain. Rien ne sortait de son puits d’être.
Les taiseux, diable quand ils ont le silence dans la peau. Quand le silence change de clé de sol. Là, la clé
avait une allure d’extinction. Abigaël n’est pas toujours « fufute »
mais elle a un 6eme sens
Je réalisais que si le compagnon « de
spiritualité » de la dernière fois était passé comme les palombes en
automne la chaine de Pyrénées, dans cette joie appréciée des béarnais, des basques,
des pyrénéens.
Le mot mariage au compagnon « d’esprit »,
le sens symbolique était ignoré du Monsieur, je crains, j’avais envoyé un coup de canon Napoléonnien sur la plaine d’Austerlitz. Et mise à mort
notre lien ?!
Parler avec les taiseux est toujours une
grande épreuve. Nous avons du mal à savoir où ils en sont du sens symbolique. Évidemment
ce n’était son: çà.
Avec les silencieux va-t-en trouver
la bonne voie pour créer la magie des rencontres. Après mon accident du genre
majeur, le corps avait crie malgré lui. Mes cordes vocales en portaient les stigmates
des cris,, de douleurs , d’angoisse. Il fallait bien qu’il trouve la raison de
rompre. Je ne pouvais plus avoir la pêche d’une jeune première à la voix de
guimauve. IL me reprocha que ma voix n’avait pas la douceur de celle de mon
coup de fil.
Par politesse envers les liens, je ne prends le téléphone que dans
des zones de lumières, de paix, et de lâcher prise avec l’inquiétude permanente
que je porte sur mon dos comme la
turtle sa coque. C’est sous fort reproche qu’il me fit la remarque.
Comme il n’avait pas remarqué que j’avais perdu 7 kilos, je lui fis remarquer
qu’il avait pris du poids. La ponctuation devait se plaçait là.
En 8 ans nos
rencontres avaient étaient sans aucune
remarques négatives. Ma voix d’actrice cassée s’eut été mon impresario ….
La grande
maladie fait perdre ses amis.
Si on n’est pas aider par l’autre comme à
l’apprentissage des ricochets, la première pierre ne vole pas, elle plonge d’emblée
dans le lac. Une grande méfiance existe envers moi, je lui donne mon fixe mais
lui ne m’offre pas le sien. Mes portables sont tous en panne. Je ne pouvais pas
laisser ce détail sans le souligner dans ma tablette de de buis. Il craignait
être dérangé par des diatribes comme sa premières femme. En 8 ans jamais, je n’avais fait un
envahissement de son portable.
Nous devions aller manger dans un restaurant gare du Nord un
restaurant indous. 8 ans et le repas n’est pas encore pris. Quand on vit en couple
çà mange qu’en couple.
La parole s’imposait, j’étais la
préposer à çà. Depuis toujours. En temps
normal nul gène, il suivait , me surprenait toujours, tant nos associations
étaient riches et nourricières.
Trop collée à ce qui venait de se passer. Aucune
distance et rien d’autre en magasin. Ma voix rayée comme un micro sillon Pathé
Marconi. Pourquoi ne m’a –t-il pas proposé une méditation ou un setting ?
C’est si simple pour lui depuis le temps…….4 mois sans méditation ensemble dans
l’hôpital.
Si tu viens en Indes tu te
débrouilleras toute seule. Etrange après les phrases « n’aie peur de
donner ton amour, il se reproduit comme les vagues de la mer. » Et
alors ?
Le compagnon d’esprit et bien
comme dit Lacan sujet barré.
Cette histoire a perdu sa chair, sa colonne
vertébrale.
La Case bouchée à l’arrêt les sitting dans mon
entrée dans les différents hôpitaux et pourtant là. « Vin diou » et
pourtant qu’est-ce qu’on nous avions besoin la Abigaël et le compagnon cannibal Myélome.
Le silence était d’une autre
nature : du granit du dolmen de Bretagne. Un vire- voleté de 180 ° d’emblée, je l’ai senti . Je fus
simplement investie d’une figure de transfert négatif son ex femme avec ma voix
rayée. Des petits détails m’avaient montré son désir de m’extirper de son
emploi du temps depuis l…..
« j’ai appris à prendre de la distance avec tous et d’être dans
l’indifférence. » Ca se remarque il y a réussi.
Je pense que nous ne sortirons
rien de bon dans la suite et que nous allons nous reposer.
J’ai travaillé une partie de la
nuit dans des petits détails, je prie la voie du sommeil, j’ai rêvé que je
faisais l’amour avec un des frères Jacques .Quelle joie ! ce grand alter ego l’inconscient, il vous
donne les formes les plus subtiles auxquelles vous avez accéder pour pouvoir
vivre cette relation… ma jachère si aigue dans mon rapport à l’autre permettait
une béance pouvant sustenter cette
illusion de relation.
Gorge-Philippe l’architecte d’Arc
en Vignes devint une bien belle complicité, ce changement de silence était
grandement profitable. Même qu’en rêve !
Et pour le
reste. Nous nous poserons plus de question. Je ne serai plus sa mangeoire de
mots.
Pas de nouvelles avant facilement
3 mois.
Les purges des bourses des
hommes font partie des combats collatéraux avec le Myélome. Il n’y a pas de moments plus
propices, et en plus, ils mélangent les deux deuils, de ce qu’ils ont dans le
cœur, je pense qu’ils ont atteint la substance la moins visuelle de
l’indifférence, Abigaël en écrivant se rend
compte que le lien malgré 8 ans était
faux. IL est nécessaire de ne plus tergiverser.
« Ta voix était douce
au téléphone. »
Perte d’un compagnon de
spiritualité.
De La Médina des indes.
Fin de chapitre
4eme jet
Mis samedi’eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeje reprends le texte pour peut de temps pour ceux qui n'ont pas pu mettre leur nez dedans.Vous savez nous écrivons avec ce que nous sommes.
Actuellement je cherche toutes les raisons de me donnner envie de vivre.
C'est la première fois que je vis une telle expérience.
Vous aviez raison manouche et giné
mais voilà c''était à l'heure actuelle extrémemeent impossible d'écrire ce ue vous souhaitez
et quand j'écrivis souvent on m'e soufflez souvent d'écrire pour moi.
Alors j'ai cessé unlong moment.
Chère Frankie, je peux comprendre ta douleur - même si je ne peux pas la vivre. Mais nul n'est sûr de son avenir! Pourtant, je prends du plaisir à te lire et je ne me sens pas "critique littéraire", comme tu sembles le penser. J'aurais aimé - pour toi - que l'écriture puisse t'apporter du réconfort, mais cela ne semble plus être le cas. Crois-moi, j'en suis désolée, mais cela ne m'empêche pas de te suivre et d'essayer de comprendre ta rage et ton désenchantement... Amicalement
RépondreSupprimerJe ne peux ni comprendre ni vivre ta douleur car chacun de nous est enfermé dans la sienne et la vit à sa façon.
RépondreSupprimerIl y a les douleurs du corps, terribles chez toi en ce moment- et les douleurs de l'âme et du coeur qui vivent plus ou moins cachées en chacun de nous. A chacun aussi sa manière de les combattre.
Pour toi il semble que ce soit l'écriture. Tu as incontestablement une "plume". En ce moment tu la trempes dans ta rage.
Pourquoi pas si là est ta manière de ne pas te laisser prendre par Charon?
Bisous.
Si je n'i pas plus de confirmation de l'origine de la commande j'abndonne ce projet du direct. Car nous nous devons cependant de faire le la littérature et sans grande distance cela nous devore le peu d'énergie
RépondreSupprimerque l'on a. Alors je vais m'amusais de vivre des mots que je n'i jamais joué la lacheté et bien d'autres afin de comprendre comment en fin de vie aprés tout ce que l'on a distribué nous nous trouvons si seule et nous voyonsles comportement à te doner enviede gerber pire que la chimio. Je cherche une voiee nouvelle pour avoir à nouveau le desir de vivre
OUi, je sais que les gens souffrent je regarde encore et écoute. Ce livre était une commnande
merci de vos mots.
Ma douleur m'appartient et je vais la camoufler au point de la faire disparaitre.
Je suis désolée chère Frankie de ne pas être plus présente pour toi mais j n'ouvre plus tous les jours l'ordinateur j'aurai tant aimé trouver les mots et les phrases qui soulagent le coeur et l'âme à défaut du corps
RépondreSupprimerles temps sont là et je suis devenue "aide soignante" à la maison, j'entends la douleur elle est partout semblable et cette impuissance à la soulager est terrible
Ecrit encore et toujours Frankie tu partages et sais mettre les mots que le taiseux retient et tu aides tant à te lire faisant comprendre à "l'autre" ce qu'il ne peut imaginer.
je t'embrasse
Je me joins à Gine: pas plus qu'elle je ne joue à la critique littéraire, pôvre de moi ! Simplement je souhaite que tes mots que nous lisons avec amitié, soulagent tes souffrances quand tu les écris.
RépondreSupprimerJe t'embrasse.
“Les mots qui vont surgir savent de nous des choses que nous ignorons d’eux.”
RépondreSupprimerRené Char
Danse Frankie, danse encore, encore... avec les mots.
Bisous
jj
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerMme Pain Françoise
RépondreSupprimer1. Une commande, n’est as un dénis de la maladie et de tous ce qui se passent autour , elle est pour aider d'autre dans la même situation de pouvoir avancer en elles , en eux avec des outils qu'ils ne possèdent pas , les gens en famille quand on est chimio on les entends délirer d'amour avec la fille la femme, la petite fille , mais ce livre est pour les orphelins depuis longtemps qui ne communiquent plus avec personnes qu'avec le coeur en eux même. Ce livre je ne l'écris pas pour moi, j'aurai assez à parler des amis qui me quittent définitivement car je leur renvoie à leur propre mort et ils ne supportent pas hier ce fut si fort que j'en suis tombé de mon siège une simple visite d'une femme qui se marie le 8 mars amie de 20 ans comme quoi il faut toujours quelques chose pour déposer le reste de violence à quelqu'un qui n'en pour pas longtemps c'est impressionnant, une kiné celle que l'on m'a attribue qui peut ne me voir qu'à 5 mètre pour réapprendre à marcher c'est coton, je ne marche pas encore et j'ai l'autorisation depuis 25 jours et le relevé du fauteuil en fut témoin. mais on se demande si les niveaux sociaux n'influencent pas la distribution des bons et des moins bons... comme l'attente des ambulances 4 heures quasiment systématiques les profits sur la barbaque çà devient drôle.
Mon refus d’arrêter du livre me fut refusée alors je vais voir avec la maison d'édition et après j'écrirai des champs de blés ou l'homme coquelicot mort tous les jours et les bluets chantent l'amour.
merci de vos mots
je cherche le meilleur. je mets le réveil 3 trois heures à 3 heures du matin pour trouver de bonnes incidences métaphores avant le trafic de la chambre pour les soins. J’ai perdu encore un ami, allégement de la cérémonie funéraire, les gens calculent bien.
Surtout ce qui est drôle que ce sont les gens qui sont comiques dans leur comportement qui se ressemblent. moi je ne change pas sauf que ma bibliothèque complice n'est plus autour de moi, c'est là que c'est compliqué.
je vous fais un petit mot dans le corps du blog pour que vous lisiez çà.
je vous embrasse touts et je me secoue pour la vie.
le myélome est mort mais on continue encore 15 mois la chimio pour tuer totalement la souche car celui là est cannibale. Voilà les dernières nouvelles
J'ai repris le roman mais il n'y aura pas un mot sur le blog l'écriture universelel que je pratique améne obligatoirement l'abréaction aristoltélicienne et si il y en soit une chose qui se tend vers vous c'est un point de nourricier. l'écriture d'un roman n'est ni plus ni moins une structure de conte merveilleux et il agit sur l'autre que là où çà a de la place. j'ai travaillé en rôle toute les tragédies antique afin de devenir une tragédienne contemporaine aprés bien sur avoir trvaillé avec eugéne durif sur Electre contemporaine nous avons des autres écrivains pour atteindre son autonomie sur ses propres lignes. le fisaco des retours de cette option de consultation quand j'ai décidaé d'arrête j'ai cru que j'en crevais. alors j'ai repris mais dans l'enfermement de ne faire lire et de n'en parler à personne. Où les êtres sont disposnivble , j'ai mis des images qui semblaient être lus demander mais j'ai pu voir que c'était ausii peu réactif donc ce sera comme perdu. Sans aucune attente c'est çà la vie aujourd'hui aucune attente, sauf celle de la mort quand la vie est vide mon Dieu c'est dur de resiter à la force de l'autre. ce sera ma dernière grande expérience de vie , la perte de mes illusions de mes croyances, l'hyper réalité du rien pointé. je cherche un monastére pur le restant de ma vie car au moins les murs me donneront de vibration et le silence sera comme une enveloppe les burnou de l'enfant une enveloppe je fais mes adieux au monde car le monde est si loin et celui qui devait être prés disparait comme une épidémie.
RépondreSupprimermerci de vos implications car sans elles je serai encore dans la croyance de possible. Des mots .
adieu chers logs phalanstére de la belle utopie comme Fournier.
Fallait bienpass é par là . mon tord c'est d'en avoir parlé . Unitile parole stigmatisante parole, beaucoup de cancéreux l'ont compris avant moi aucun element de la famille ni les amis ne sont au courant, plus malins que moi car le resultat est le même, et le ton de la parole n'a pas changé au mojns là à la limite du reproche presque. Comme c'est drôle , malin et rongeur vous parler de la rage je n'ai jamais parler de rage, de ma peur certes la rage vraiment ce serait tellement bien car on tue les gens qui ont la rage , mais nous n'avons pas besion de fusil pour tuer c'est çà qui est pratique.
Salut lecteurs.