Alors laissons la place à une grand homme de la résilience.
sortie de son dernier livre
"La nuit j'écrirai de soleils" chez Odile Jacob
Boris
Cyrulnik
'oxymoron fait apparaître le contraste de celui qui, recevant un grand
coup, s'y adapte en se clivant. La partie de la personne qui a reçu le
coup souffre et se nécrose, tandis qu'une autre mieux protégée, encore
saine mais plus secrète, rassemble avec l'énergie du désespoir tout ce
qui peut donner encore un peu de bonheur et de sens à vivre. La gangrène
et la beauté, le fumier et la fleur se trouvent ainsi associés lors de
l'adaptation au fracas.
2
Un merveilleux malheur de Boris
« A force de ne parler que de malheurs et de ne mettre en lumière que
la violence insupportable des crimes, des viols et des torturés mondiales, nous
finissons par habiter un monde de représentations verbales constitué
essentiellement par ce que nous combattons. Alors nous éprouvons un sentiment
d’écœurement, d’indignation et parfois de délectation, provoquée par nos
récits, nos films, nos romans et nos débats. »3
Un traumatisme aigu est plus facile à
mettre en scène. On peut sans peine en faire des images, des récits, des
épopées merveilleuses et tragiques qui célèbrent le héros. Mais comment
construire un mythe avec un haussement
d'épaules qui détruit un espoir ou
un soupir méprisant qui décourage un rêve ? Un événement tragique est métamorphosable, mais comment représenter un
geste dont on ne prend pas conscience ? de celophone
4
"C'est
dur, quand on a six ans, d'être condamné à mort", raconte Bernard.
"Une nuit, j'ai donc été arrêté. C'est la lumière qui m'a réveillé.
Lumière brutale, ça veut dire quelque chose. Il y avait dans ma chambre à peu
près six hommes, je crois. Je n'avais pas peur tant j'étais étonné. La chambre
était petite et les hommes s'étaient répartis autour du lit. Les civils m'ont
étonné, bien plus que les soldats. Ils portaient des lunettes noires, en pleine
nuit. Un chapeau-feutre sur le col relevé de leur canadienne leur donnait bel
aspect. Ils pointaient sur moi un révolver et dans l'autre main tenaient une
torche électrique. Les soldats allemands, en retrait, avaient gardé leur fusil
sur l'épaule."
5
C’est la perte des amis faux qui m’apporta ce qui se noyer en elle le mot qui définissait son rapport à moi, les choses n’ont pas trainé
Elle parla même des même chose que j’avais pensé.
Oui c’était je devais lui être invisible et elle n’a cessé de le dire , de le faire , de le marquer
Elle trouva la femme dominante qui lui faire la fin
Avec la bénédiction de l’église.
Mon ambassadrice
Les lettres feront partie du roman trois. Mais je vais commencé par le un.
Psychozorro a besoin que la victime reste victime, afin qu'il puisse voler à son secours. Si par malheur elle s'en sort et devient victorieuse, que deviendra Psychozorro ?
il vraiment nous voulons soutenir ces enfants blessés, il faut les rendre actifs et non pas les gaver. Ce n'est pas en donnant plus qu'on pourra les aider, mais bien au contraire, en leur demandant plus qu'on les renforcera.
Toujours Quenn Regina
bonne lecture
et que e printemps vos resonne dans tous les pores et porcs de la peau.
Boudin et phrangipane.
Mme Pain Françoise
aquarelle Frankie pain
mes deux pays
aquarelle Frankie pain
aquarelle Frankie pain
Ce qui peut donner du bonheur ou au moins l'envie de vivre tellement important et à la fois infime comme ce matin la couleur vert d'eau de mon gilet qui remplit mes yeux de plaisir..
RépondreSupprimerTes aquarelles sont très belles j'aime particulièrement les poissons.
Bises.
je suis un peu absente de la blogosphère ... j'espère que tu vas bien .. j'admire tes aquarelles! bises
RépondreSupprimerJe reste en pause pour un grand moment Frankie mais je te lis avec attention.
RépondreSupprimerje me souviens de ce trio : le persécuteur,la victime et le sauveur...en ce moment je suis les 3 tour à tour !
je t'embrasse
Je viens déposer un p'tit brin de muguet pour parfumer ce premier mai !
RépondreSupprimerGros becs ma Belle Frankie.