mardi 26 juin 2012

La grammaire intérieure De Nir Bergman - Israël - 2010

DIMANCHE 1 JUILLET 2012 à 10H40

PROJECTION DU FILM
 
 
La grammaire intérieure
De Nir Bergman - Israël - 2010

Projection suivie d’un débat
débat animé par : M. Landau, J-J Moscovitz, F. Siksou, V. Micheli-Rechtman, A-M. Houdebine, F. Moscovitz, B. Didier-Hazan...

synopsis :  Un quartier de Jérusalem au début des années 60. Aharon Kleinfeld, est un garçon de onze ans, à l’imagination débordante et dont l’esprit aspire au raffinement et à l’art. A l’aube de l’adolescence, par crainte peut-être de devenir comme ses parents, un couple sans affection ni amour, Aharon décide d’arrêter de grandir. Il entreprend alors un voyage intérieur qui l’éloigne chaque jour un peu plus du monde adulte.

 

avant-propos :"...Tandis que son père casse les murs de l'appartement de la jolie voisine pour qu'elle ait  plus d'espace, lui son fils s'enferme dans une valise, un vieux frigidaire en plein champ...pour s'éprouver face à sa solitude préadolescente de 1967 en Israël. À quoi doit-il donc renoncer pour être comme tout le monde et ainsi enfin grandir . Entrer ou pas dans le code social? Va t il faire comme les autres et aller "déjà" vers la mort... Quelle mort? quels morts? où? Comment? En  Pologne d'ou ses parents sont natifs. Quel Immense danger le tient en haleine, virginal d'un savoir en voie d'advenir? sexuel freudien et grande Histoire essaient dans sa "grammaire intérieure"- son histoire intime- de rejoindre -sans y arriver - l'histoire de sa famille, le vécu parental charge comme un arbre de vers et de souvenirs qui rongent sans être jamais dits... Écriture filmique lumineuse éclairée pat une œuvre littéraire sans pareille, celle de David Grossman se soumettant au charme d'un cinéaste poète, Nir Bergman  qui nous invite à tous le possibles de la création écrite à celles de l'image de cinéma. Ou des psychanalystes d enfants et d'ado de nos  jours ne peuvent qu'être en quête d' en dire leur surprise..." J.-J.M.


 

d'un bord à l'autre [entre cinéma et psychanalyse] les archives du regard qui bat

Le cinéaste fait œuvre à mettre le regard en scène.   Le regard est au cœur de l’œuvre, et non pas extérieur à elle.   L’œuvre, pas plus que le regard, ne se consomme.   

Qu’est-ce qui, dans une œuvre, regarde chaque spectateur, le rend responsable et le captive ? C’est en posant son regard que l’artiste, faisant évènement, nous donne notre réel à voir.

 

Organisation : Barbara Didier-Hazan, Nabile Farès, Maria Landau, Françoise Moscovitz, Daniel Friedman, Laura Kofler, Vannina Micheli-Rechtman, 

Muriel Prieur, Hélène Godefroy, Anne-Marie Houdebine, Jeanne-Claire Adida, Pierre Smet (Bruxelles), Henri Cohen-Solal (Israël), Jean-Jacques Moscovitz, Fred Siksou. Avec  Etoile Cinémas


inscriptions / désinscriptions

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