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pour écrire ou jouer un rôle contaction la petite fille en nousbonne semaine |
Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
Feliz semana querida Frankie!!!
RépondreSupprimerLa petite fille en moi n'est jamais très loin ...
RépondreSupprimerPresque trop, parfois !
Bonne semaine Frankie.
Bon début de semaine.
RépondreSupprimer« pour écrire ou jouer un rôle contactons la petite fille en nous »
RépondreSupprimer--> Redevenir un enfant… Redevenir l’enfant que nous avons été…
Vaste programme, qui m’effraie un peu. C’est Dalida (curieux n’est-ce pas comme référence…) qui disait « Il y a toujours en moi une petite fille qui pleure » ; comme on sait elle s’est suicidée peu après.
J’ai donc choisi de retrouver l’enfant non pas que j’ai été, mais celui qui est incarné dans notre histoire culturelle par Cupidon. Cet enfant pour le quel Erasme disait : « Comment Cupidon fait-il? Quel secret a-t-il pour ne point sortir de l'enfance? C'est que, se moquant du sérieux et du solide, il s'en tient uniquement au badinage. » Erasme – Eloge de la folie
Badinons chère Frankie, c’est ce que nous avons de mieux à faire.
cher Jean pierre, chaque être a eu sa singulière enfance, pour ma part je laisserai Cupidon faire ses frasques , mais ne l'encourage pas à volée dans mes territoires, le badinage est le propre de l'homme car il est tellement bien cloisonner qu'il ne sait que badiner il n'y brule rarement ses plumes et ce que j'aime dans l'enfant c'est qu'il y croit morducus et c'est le chat botté le "comme si" et à force d'y croire il arriver à transformer la réalité .
Supprimer"l'éloge de la folie d'Erasme' je devrais y remettre le nez précisément .
Je refére à Artaud quand j'entends l'éloge de la folie , et si ses mots sont si puissants quand on sait les affres de la folie dont il a baigné quand la folie montre son nez , je deviens dompteur avant qu'elle annhile ma volonté et celle en l'autre je tend la perche à la mesure et non le gonflement de sa démesure car être artiste comme disait Cocteau c'est toujours se porter au plus loin sur le fil mais jamais franchir le point où l'on ne revient pas .
chaque artiste a connu ce point de la bascule et après cela il tente de ne plus s'y risquer tout en servant sur le fil...
alors je suis toujours un peu suspecte à "l'éloge de la folie " ....
merci de vos propos cher ami philosophe