Dimanche , il pleuvait comme les ânes du cirque de Garvarni, 28 minutes d'attente de mon autobus 86 pour regagner mon atelier , mes yeux matent où je pourrai bien atterrir , une envie de lire et d'écrire au chaud , en face de moi , je vois , je lis pâtes vivantes , mon imaginaire fut ensorcelé et j'imaginais des pâtes comme des anguilles ou de mille pâtes et je franchis la porte.
Comme dans certains restos en Italie où l'on fait les pâtes de devant vous , ici c'était les pâtes de riz. fascinée par les gestes précis du dompteur de pâtes vivantes d'où le rapt discret de ma photographie
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Bonne fin de semai Frankie, bises.
RépondreSupprimerOn imagine la dextérité de la serveuse, était-ce bon ?
RépondreSupprimerDans le reflet on aperçoit un sens interdit, ce n'est pas interdit de les manger au moins ?
Belle prise de vue Frankie. Bisous et joli samedi
Un beau décor pour une faim de week-end délicieusement vivante
RépondreSupprimerComme le demande Mireille, était-ce bon? J'espère que tu t'es régalée avec ces pâtes "vivantes". Un nom vraiment amusant!
RépondreSupprimerTellement fraîches qu'encore vivantes ! C'est l'argument des pêcheurs au marché de Nauplie. Ils ont peut-être fait un tour dans ton bistrot ?!?
RépondreSupprimerJe pense aux anguilles... et j'adore ces mots de "pâtes vivantes"!
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