Page blanche encre noire
Le tic tac de l’horloge
La plume des gorges
Une tarte de ronrons,
tourterelles,
Maille à l’endroit , maille à l’envers,
Le nid de lauriers
Pagne mâle et femelles
Salamandre et porc épique
Maille à l’envers ,
mailles à l’endroit,
Frissons d’espièglerie,
Elégance des tiges,
Rose, jaune, grenat, la
berceuse,
Maille à l’endroit ,
maile à l’envers,
Frankie Pain
Frankie Pain
modéle blog de grand mère
Photos volées d’un blanc , pour un corps noir.
Sa parole mélange Giacometti Genet,
Equilibriste de l’autre,
L’hirondelle n’avait pu s’envoler : pays chaud,
Son savoir sur l’Afrique était
simplement pour Elle,
Être fort pour l’aimée, lui donner l’Introuvable,
Emerger du chaos , ce point
zéro : tout rafler.
De prise d’identité, sur le
vif transe et pose,
Amoureuse par photos, elle
trouva le Modèle,
Refuge, casse croûte, pain
béni,
L’odeur qui vient si loin,
de toi,
Ravit ton essentiel, cristallise
toute arme,
Mon cœur dans la Médina dit
oui : « rose confit ».
de frankie Pain dans la direction
de l'atelier 4 saison 3 des ateliers d'écriture de Hajat(en occitan : ceux de là -haut)
C'est donc la fin
Avance , avance, avance
Emmêlée, démêlée, sangs mêlés,
Anse
,danse, danse, anse
Sons
autour, sont ailleurs, sans raison la rançon.
En quête désespérée d’une main
Dans un pays désolé
Dans un pays désolé
Enfourches le serpent , il est
vieux
sa peau
est froide
Sang-froid te donneras.
Chevauches, chevaucheras, tu
chavireras
L’eau
d’or, le ciel des diamants,
Mille
arcs en le ciel vert,
Ce porc épique, tout dehors pique
Pris le
masque d’une statue ancienne
Il l’a
sortie du bain des âmes,
-
« petite
fille?
-oui
GrandPère
-
je
veux te tuer.
Ta
mère, je la veux . »
Viens Baby, lèche le couteau
C’est
bien de ton sang…
Dans
l’autobus bleu,
tu n’iras nulle part.
tu n’iras nulle part.
Baby,
baby , Baby, baby , baby
La fin
de tes rires et des pieux mensonges
La fin
des nuits où nous tentions de mourir
C’est
donc la fin.
Porc épique , beau serpent à la
peau froide
L’eau
dort, le ciel aux dits : amants
Mille
arcs en ce vert
Anses
dansent, dansent anses
Là, la
main étrangère
Rires ricochent aux parois des
montagnes,
Sifflements,
cliquetis, feulements,
Rires ,
feulements, cliquetis.
Frankie
Pain
sous la direction d’Olivier Apert
envoyé voie mail à olivier apert, isabelle toors, chantal s, garance et annajo.
RépondreSupprimerredonne moi ton mail , que je ne suis plus sure d'avoir le bon..
RépondreSupprimerj'ai téléchargé-acheté la musique d'Aubry pour pouvoir te l'envoyer;
à+
agnès
Beau texte.
RépondreSupprimerpar garance solee
RépondreSupprimerc'est magnifique... Bravo ma chérie, cela réchauffe mon coeur, quelle belle voie as-tu ouverte ...
Le 29 oct. 2012 à 14:51, pain françoise a écrit :
merci Solee
merci aussi garance solee
Supprimerpour ce mot sur les poémes de mon atelier
Je crois que ton atelier poésie produira de belles choses (voir ton poème) alors accroche-toi !
Bonne journée ma belette bleue,
Jolis mots qui s'envolent et se posent si délicatement ...
RépondreSupprimerJ'ai dans mon jardin un petit hérisson qui sort de sa cachette tous les soirs pour partager le repas des chats ...
Je vais le guetter un soir de pleine lune !
Bisous doux ...
Marie-Ange
C'est bien joli, bravo. Bonne semaine.
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