belle journée frankie
merci de vos mots pour la rediffusion du "Pacte des loups "
la voix des poétes est le théme du printemps des poètes alors nous allons les honorer car cette année je ne le ferai pas sauf en off sur mon blog
de François Cheng
D'infinis paysages
Oui, voici la colline et la vallée,
Voici le lac et le reflet des nuages.
La lumière les dévoile aube et soir ;
Et le printemps revient à tire-d’aile !
Terre habitable, humain séjour provisoire :
Il n’est vrai paysage que de nos mémoires…
Ô pays ! ô âge ! Transplantés ici,
Nos désirs et paroles nous unissent
A tous les lointains, au grand iambe
Du prime matin du monde. Ecoutons donc
Le chant des âmes errantes, de leurs élans
Inachevés, chant fondu dans les sources
Et la brise, chant nôtre ! L’infini n’est autre
Que nos énigmatiques échanges, sans cesse
Renouvelés, avec l’immémoriale promesse.
Nos lieux, nos instants, à jamais uniques.
Le Printemps des poètes présente sur son site le programme de ce
13ème Printemps, une manifestation très riche qui se déroule
dans toute la France
Chère, à midi, en pensant à ton rôle je me suis tapé un maquereau ...en boîte!
RépondreSupprimerPoème remarquable, chère Frankie ! Mais j'avouerai bien candidement que je préfère vous lire vous, personnellement en personne… Est-ce que je suis devenu un vieux rat bougri ? Rabougri, je voulais dire ?
RépondreSupprimerTrès joli cliché de la bougainvillée au bord de l'eau!
RépondreSupprimerEt très joli poème aussi!
Merci pour le partage Frankie!
***
Bises et douce nuit****
Et pour ce 9 mars...un peu de poésie aussi
RépondreSupprimerMon hommage A CLAUDE ROY
RESSOURCE….
Des mots fluides humbles et sages
Voyage en profondeur au fond « du soi »
Rien ne compte ni l’espace ni le temps
Et l’inutile devient utile magie grâce
Les mots s’écoulent lentement fuguent
Sur un instant sur un regard nature urbain
Sur l’endormissement le rêve le réveil
Printemps été automne hiver défilent
Comme chaleur froideur toujours en douceur
Chevreuil chat mouette abeille
Pré montagne rivière bord de mer mélanges
Liquides solides
Aubades mélopée symphonies silences bruits
Odeurs parfums vent
Abandon à l’abandon du superficiel
Au bord de l’infini sur son seuil essentiel
De ce qui compose début fin d’une vie
De ce qui compte seulement vraiment
Lettres qui anoblissent l’être dans ses bonheurs
Amours angoisses peurs.
FANY
et
BONNE FÊTE FRANKIE ! ♥
J'adore les bougainvillées, qui ne poussent qu'au soleil... que j'aime tant ! merci pour le joli poème, et n'oublie pas que nous avons tout le printemps pour découvrir les tiens !
RépondreSupprimerBisous et très bon week end Frankie
"Au bord de l’infini sur son seuil essentiel"
RépondreSupprimerLa phrase la plus forte de ce poème pour moi.
Quant à celui de François Cheng:
RépondreSupprimer"Terre habitable, humain séjour provisoire :
Il n’est vrai paysage que de nos mémoires…"