lamangou@yahoo.fr je vous l'enverrez
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La charrette fantôme
Guerre et paix
La percheronne Coquette du pépé de Señora Mercédès attelée à
la charrette du marché est emplie de toutes les figures amenées par le montreur d’ombres. Pour
quelqu’une qui n’avait pas eu de visites ! Ca au bout du lit de la chambre 26-27.
Les ancêtres l’ont surveillé de prés leur Señora
Mercédès : un lendemain d’opération une faiblesse attire la gente.....
L’infirmière qui lui donnait des soins fut
estomaquée : « mais qui c’est que
« çà » ? Quelle violence ? Quel déni ?
Señora Mercédès.......
Les clochettes de Coquette, cette odeur de
transpiration animale, s’accrocher là à ce qui se présente, ne plus donner de
voie, aérienne, fluviale, s’imaginer marcher en forêt dans une sente
pleine de branchage épineux être devant elle et t’y en envoie une branche
dans la goule à la petite chérie .....
C’était une scène de film de Jacques Deschamp « Méfie toi de l’eau qui dort »-
C’était une scène de film de Jacques Deschamp « Méfie toi de l’eau qui dort »-
Señora Mercédès avait la réplique à la hauteur de
la profondeur de l’impact. Quelle « magniganceuse », en ballerine, çà
pisse pas loin, c’est méchant. Beurk caca. It’s no good. Bad, bad, bad.
Suite demain de ce numéro 4
*1 par rituel : comme l’expression
d’un symptôme
*2
nickée : exemple comme « nicke ta mère » dans le rapt
* 3 lattatoires : du verbe latter donner des coups de
lattes de plancher
je vous souhaite un très bon vendredi
et je vous embrasse très fort
pluie toujours sur Paris
on vit l'automne et à l'automne on vivra ce printemps
Quelle merveilleuse façon de raconter avec humour le parcours d' une combattante hors norme..:-))
RépondreSupprimerJe sais déjà que tu a essayé de te la faire cette belle tresse percheronne haute en couleurs qui donne obligatoirement un moral d' acier...!!
Bisous Frankie courage
Frankie quelle verve et quel recul pour décrire ce parcours clinique...tu ne dis rien et on voit tout
RépondreSupprimerje t'embrasse très fort...(rendez-vous lundi !)
pisse pas haut ni loin.. avec ces tresses! :))
RépondreSupprimerTu as vraiment une façon particulière de raconter les choses.
RépondreSupprimerOn les vit avec toi.
Je te mets deux liens Pour te montrer ce que je faisais à cheval.
C'est avec lui que j'ai fait tout mes spectacles.
Toute ce que tu vois dans le premier et le deuxième je l'ai fait.
http://www.jeancharlesandrieux.fr/introduction/index.html
http://www.jeancharlesandrieux.com/-Spectacle-
Je t'embrasse très fort Frankie. Je reviens. Belle soirée.
mmerci à vous de vos lectures
RépondreSupprimerdemain c'est armirita dimanche le repos des lectuices et lundi, la deuxiéme partie du numéri4
et mardi la troisiéme et mercredi l'épilogue
et aprés vous découvrirez les aventure d'Odette et Monsieur Souche
la structure est fait tous les détails sont là
qu'à écrire court c'est pour un concours il ne fait que 6 pages c'est comme un bagage pour l'avion
c'est une nouvelle sociale et épique en même temps pittoresque en plein marais potevin
gros bisous
je ne suis pas en avance
mais je tenais à vous remercier de votre lecture
bravo bravo.
Décidément, tu reprends du poil de la bête, si tu arrives à raconter ton épopée clinique de cette manière. Mais je dois dire que cela ne m'étonne qu'à moitié, depuis le temps que je te suis sur ton blog, j'ai compris que tu avais plus d'une force dans ton caractère. Bon rétablissement à toi.
RépondreSupprimerJe ne saurai mieux repondre qu'Amartia. Tu l'as donc deja enlevee ta nouvelle? Bisous Frankie. Je me prepare pour mon voyage au Myanmar.
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