des coupures ont été faites si vous souhaitez avoir l'intégral de ce billet
lamangou@yahoo.fr je vous l'enverrai
La volonté de l’auteure Françoise Pain de La Mangou est de ne pas donner
tous les détails, non pas de la négligence à ses lecteurs, tout simplement, il y a des moments où les
micro événements se ressentent dans l’indicible et revenir au menu des choses
seraient alourdir ce qui n’est plus qu’une croute volcanique encore en
ébullition certes, où les villageois et la Villageoise en question dans cette
nouvelle est sur le point de prendre retraite de son destin de
volcanologue des éruptions laves bouillantes .... dont elle est
réceptacle, adresse ou tabernacle comme vous le
projetterez, si cela vous cause à vous aussi.
Cette nouvelle se compose de 4 fragments dont le 4éme sera en trois partie et un prologue. l'art ,du fragment favorise la dramaturgie.
Dans une micro série , le règne de l’indicible où le sens parcourt intertextualité .
Dans une micro série , le règne de l’indicible où le sens parcourt intertextualité .
D’un nombril à un autre, au
cratère.
1
« Pourvu
que çà dure »
Elle
disait çà la pauvre âme après avoir déposé son dernier lot de savoir dans
l’oreille du petit ........ Elle a ce moment là, 22.
Elle
avait entendu les mots se déposaient dans le puits sans fond,
"oh pardon !" ......
"oh pardon !" ......
Elle
savait par sa « sciences » : lorsque les choses sont entendues,
elles n’ont plus envie même en temps de
pluie de faire comme l’escargot. « Sortir ». C’est le concept de
l’escargot « cabourné » *. Bien callé au fond de sa souche avec
épaisse couche sur l’orifice, simple mémoire, faite de ses tempêtes à l’autre
. Au cas où ils ressortent, c’est pour les retrouver dans une bonne marmite avec
des dés de jambon , de la chair à saucisses , des oignons , du thym , du
laurier, de l’ail et une sauce tomate sortie d’un bocal de l’été de cœurs de
bœuf.
« cabourné » * : terme de Charente Maritime
pour parler de l’hivernage des escargots blottis au fond des souche d’arbres.
suite demain
et très belle journée
Frankie Mappemonde
photo et pivoine de Titine
Pauvre cagouille sortie et ramassée, dégorgée et cuisinée... une pensée entendue et digérée qui s'échappe et explose au lieu d'hiberner...
RépondreSupprimervite la suite Frankie Mappemonde
gros bisous
Pourvu que ça dure !!!!
RépondreSupprimerLe premier épisode est alléchant, vivement la suite.
Ici les cagouilles ont les fait comme ça mais sans la chair à saucisse et avec beaucoup de fenouil, à la fin on ajoute des anchois pilés et on flambe au marc de Provence, ça s'appelle la "suçarelle".
Laisse "péter" la croûte, ça fait du bien.
Je t'embrasse Ulyssa Mappemonde. Belle journée
Sous la pluie, cabournée comme une pauvre cagole,je te souhaite mille soleils!
RépondreSupprimermerci lectrices
RépondreSupprimerje fais du cut cut
car c'est là que c'est plus juteux
merci de vos encouragements
oui çà va pêter la croute
et merci pour la recette hum çà doit être délicieux
dans la casserole..c'est la faim ou la fin?
RépondreSupprimerJe suis rustre, car je n'ai jamais goûté.
RépondreSupprimerles escargots , j'ai mangé avec délices , mais aujourd’hui....difficile , ça me hérisse les antennes.
RépondreSupprimerMoi je les mangeais gamine, puis cela m'a dégoûté, puis je suis retombée dedans ce Noêl, et depuis, quand l'envie est là, je pars m'en acheter, cuisinés au beurre d'ail... je pourrai en manger des dizaines de dizaines.
RépondreSupprimerBon appétit Frankie !!