PoËtique
Inside
Les titres
Photo de frankie |
Je
vais me vivre
Cette
ligne de coqs en flottaison
Pic
d’Annie la Morille
« Bonobosser »
sa prise
L’Amant
d’Hanoï
Bernard
Pierre
Les
pas de l’étranger
Caress
Lamangou
La
frangipane aux pistaches, pépites
chocolat
L’émotion
bouge la porte
Le
Panis
La
–Sol en marée haute
Piano/contrebasse/violoncelle
Oh !
Comme je me sens Femme
Les
crevasses du Pic d’Annie
L’écharpe
jaune
A
Je
vais me vivre
Cette ligne de coqs en flottaison
Watsou
125 rues de chemin vert
Père Fugus H.
Les frisons tout doux des secondes
Aiguilles de pins
La voix couvre les pas de l’étranger
Dans l’allée de gravier
Le moulin de farine de chanvre
Je n’entends plus la meule
J’aime le compagnon de vie de la seconde
Dans les jardins de l’Ashram
Affolement du bol tibétain
Appels des bavards
à la méditation
B
Je vais m’acheter Paris
d’Yves Saint Laurent
Pour porter ma Robe de lui
« Larmes- Beauté- Sensualité »
A Pierre Nimier son interprète.
Le salon du tailleur libéré des camps
Caress Lavandou lui commande robe Robe sur Robe
avec l’argent
qu’elle s’est fait en s’empalant les boches
Elle renourrit ses flancs sans chair
Et son équipe de rescapés, eux aussi du grand Four.
Dans le beau et en mangeant à leur fin
Pardon sa Faim
On n’efface rien
Ils ont tout simplement plus de force
Pour chanter les chants yiddish
Les cantiques joyeux du Sabbat.
Caress Lavandou ce jour là dans le salon d’essayage
Avait porté des galettes des rois « frangipanés »
À la pistache, aux
pépites de chocolat : les « panis ».
Rire en éclats après les essayages.
Le bruit des perles dans le coffre
À bijoux de Caress Lavandou.
C
La cage de Faraday en rêve
Coup de foudre protégé
Elle l’aimait évanoui à ses pieds
Son amant d’Hanoï
Elle l’aime l’appelant de Damas
Fausse notes
La poule d’eau
Sur le chant du lotus
La colère de cupidon
La voix Mysfit
Marilyne étrenne le N° 5 Channel
L’amant de Hanoï
Mort comme Marylin
Ecriture sur
la récolte des 125 chemins du vert
A la Casbah Santaga
square des Esterels
C
(suite)
Plumes métalliques s’ébrouent
Perles de rosée éclaboussées
Coq rare délicat
La voix qui ne va pas là où
Fausses notes nie le ciel, tombe au gave
L’émotion bouffe la portée
Bouge la portée
Je pars dans mon rêve
L’amour lévitation
Caress La
Mangou décolle du sable
La – sol en marée haute
D
Je
vais enfin me vivre moi
Je me contente.
Garder intact :
L’enfant merveilleux Inside.
La ligne de coqs en flottaison
Souvent trop vite la pendaison -
Jamais de la crémaillère.
- Et de la crémière,
Ils ne leur font rarement
Faire de crème.-
L’écharpe tua la star en sa décapotable.
Les plis du tissu :
des terrasses de rizières malgaches.
L’écharpe jaune de Bernard Pierre.
La lumière s’enchevêtre dans l’étoffe
Imprégnée du parfum de la Dame
Je me fais un beau matador à la guadeloupéenne.
Etre la mère du psychanalyste de Marylin
Elle , notre Marylin mondiale dans mon salon.
Personnalités de la psychanalyse :
Margaret Mead l’anthropologue, Anna Freud,
L’avocat de Marylin, un orchestre :
Piano, contrebasse, violoncelle.
Mon Pierre, il est Merveilles du carême
A la fleur d’oranger
enveloppé de sucre glace : ses yeux bleus
Et je me sens femme
Femme, oh, Femme !
Je
me sens Femme.
E
Fugus H. après mon conte d’Ahna de la
Bible
À la perfection « hossassa » le trait
« No ethnologue, no conteuse
La conteuse sous la comédienne , … »
-
120 kilos avec çà c’est obligatoirement écrasé,-
Et, après ce temps
de silence ; trouva sa chute
Ou sa troisième estocade !
« Tu
n’es pas une femme
Même
pas une femme. »
Devant un parterre de 40 poulettes muettes.
Il ne savait pas que dans ma vie l’homme n’a le droit
de me tutoyer que s’il m’a honoré d’en bas.
Et « bonobosser » sa prise.
Quand connaissait-il des femmes ?
A les trousser dans les rayons de bibliothèque
Comme les paysans les chèvres,
Combien de bouches ont ce recit……………………………………
Avec lui ne pas confondre les rats de bibliothèque
Et les trous de Bibi
Ö le thèque.
La condensation d’un
trou et d’un rat = le Gruyère.
Les femmes : Les crevasses du Pic d’Annie
Les morilles des lisières du savoir
Çà lui fait le chou gras.
Je donne pour le reste ma langue au silence
La maquignonne du diable c’est signé pareillement
Lettre : sans voix, verticale. Comme Hugus H.
In Chala ! la la la la lére ! Des Forteresses.
F
Yacinthe, Jacinthe, Hyacinthe !
Ces premières floraisons d’hiver
Odorantes
Odorant mon premier samedi
De ma retraite touchée avec Marga
Et Gil de la fleur bleue coupée.
Françoise Frankie Pain La Mangou
Sous la direction
de Frankie Pain
Avec Marga et Gillus
Photo de frankie |
bonne lecture et bon début de semaine
Quelle écriture... entre les mots encore des maux, entre les caresses parfois de la détresse pour lâcher prise et se libérer
RépondreSupprimertu es superbe Frankie
je t'embrasse tout doux
il y a des êtres qui aimantes de drôle de personne. on accepte mal que je sois belle mais grosse alors les belles personnes sortent leur abat pour se venger sur moi de ce qu'il n'arrivent pas à faire avec celles ou ceux qui pour eux sont des personnes d'importance. sur moi qu'est -ce qu'il risque je ne suis pas baisable et à paris pas baisable donc par parlable
Supprimerremarque je les remarcie car sans eux je n'aurai pas découvert ce miracle cette puissance cette jouissance et l'on m'a fait jouer des personnages que personne ne voulait ou que personne ne pouvait pas manque de culture alors au bout du compte .
simplement maintenant je les vois venir vite.
quand il faut progresser et avoir de la tune il faut bien
mais quand je pete je les pète je toue mon slip et après c'est qu'un pét puant mais cela ne me tue plus.
gros et laide là on supporte mieux.
mais au détour de ma nouvelle agression sur scène des vieux tiroir se sont remis en surface c'est drôle mais c'est mais pour rien..
belle lecture chère Josette.
je t'embrasse fort.
Tricoteuse de mots et de turbans
RépondreSupprimerAu joli sourire craquant!
Oh comme je vous comprend... vous savez pourquoi n'est-ce pas ? Mais quelle jubilation aussi ! La jubilation que procure les cons ma chère ! Je vous embrasse tendrement mon amie.
RépondreSupprimervous avez su lire entre les mots "
Supprimerje me cite "remarque je les remarcie car sans eux je n'aurai pas découvert ce miracle cette puissance cette jouissance " qu'est l’écriture ou tout acte créatif car il apprivoise l'espace intermédiaire Tosquéhyesse" phonétique le sas entre l'espace du dehors ou du dedans , et n'avoir était considéré que comme une femme tronquée car je ne rentrais pas dans leur case et beaucoup de femmes encore le savent car si nous avons pris les armes en 68 et bien d'autres avant et d'autres encore c'est que la recrudescence des valeurs archaïques matchiste ne font que remonter more and more et parfois même à des endroits que l'ont aurait pas soupçonné.
merci chère Garance de votre écoute de la polysémie des sens à 150 °/°...
si la trace de certains rôles évidemment que j'ai interprété sont là comme dit Louis Jouvert les personnages et les mémoires imaginées pour traduire les actes livrés avec un plus de vérité pour impressionner les gros plans sur écran géant , nous porte après quelques années à ce qu'ils s'imprégnent bine à notre propre souvenirs les ayant composé avec de mémoires personnelles mélangés à la nécessité de l'imaginaire pour faire le chemin qui manqué pour les faire vraiment vivre.
merci garance , je vous embrasse aussi bien tendrement et rejouissons ,là je vous cite :" La jubilation que procure les cons ma chère" "
écrire expose toujours
RépondreSupprimermais nous ne le faisons pas pour s'exposer mais pour une abréaction de celui qui lit et nettoyer celui qui lit si cela le touche et fort heureusement tout le monde ne se coltine pas la chienlit des péts foireux
l’écriture dégueulatoire n’a pas sa place sur le blog
l'écriture qui sert à ce « nettoyer » n'est pas sur le blog.
merci chers commentaires
cela permet des petites précisions.
tendrement votre
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