foto frankie
Mon grand maitre de Théâtre Monsieur Jean Darnel
au Théâtre de l'Atelier
quand il était content de mon travail il m'appelait : sa Brioche lui ne supportait pas que je l'appelle Maître alors je l'appelais Big Brother
For « le souffle long » mes tablettes de buis , le livre à venir
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On se fourvoie
en voulant donner, transmettre ce que
l’on a reçu de rare
ou
ce que l’on ne nous a pas donné.
Nous
aimerions l'offrir à l’autre, lui éviter tous ses carambolages contre soi
même et par conséquent s’offrir à la pâture des hyènes qui nous croisent à ce
moment là.
A le faire : on insulte, on traite à vie de dément(e), on dénie même notre présence, on nous
en veut.
Ce n’est que
vers la fin quand, après cette méchanceté répétitive, (et qui iront jusqu’à notre tombeau : c’est le sceau de la pierre
angulaire chez certaine famille peut-être toute), que l’on s’en
rend compte.
On met du temps
à comprendre que ce n’est pas à nous que l’on s’adresse.
Pour les ancrages professionnels plus vite
nous réagissons – mauvais objet, contre transfert négatif, deuil pédagogique ou
artistique- et on quitte la
route pour prendre la notre en main.
Le point de murissement, le point de non retour.
tristement dans le creux de la main comme un trognon de pomme ou un petit lapin mort né.
tristement dans le creux de la main comme un trognon de pomme ou un petit lapin mort né.
La « coclision » : si bien dit par Christian
Bobin :« Elle [l'attente] nous apprend que l'amour est impossible
et que, devant l'impossible, on ne peut réussir ni échouer,
seulement maintenir le désir assez pur pour n'être défait par rien. »
Le travail est
fini : de nos devoirs, nos transmissions, ect…bastring d’un idéale, d’une
éthique,le désir pour l'autre de transmettre
et tralala soin
de soin.
Prendre sa vie
en main, être notre Sentinelle, à
l’essentiel. La route de l’accès au symbolique, est si dure à tracer, à tenir,
à poursuivre, tant de bénéfices secondaires
sont plus alléchants. Qu’est ce que la réussite ? Bobin « C'est quoi, réussir sa vie, sinon cela, cet
entêtement d'une enfance, cette fidélité simple: ne jamais aller plus loin que
ce qui vous enchante à ce jour, à cette heure. »
Nous avons trouvez notre chemin de Damas.
de soi à soie
- Planton, lâchez le garde à vous !
Plantons de salsifis !
Plantons de salsifis !
FFPLM
Frankie Brioche
* Tous droits réservés *
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very goog sun in this day.
Lovely riding friends
Frankie Map'monde
foto frankie
Une sagesse encore loin d'être universelle!
RépondreSupprimerPetite brioche, c'est gentil et joli! Très tendre aussi...
Bon début de semaine!
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerMerci Gine de ton commentaire, cette sagesse à quelque chose d'universelle et fort heureusement parle qu'à je l’espère à seulement un bon tiers de personnes, cela, ne peut avoir accès à ceux nez , nés dans la baignoire dorée, qui ont eu une vie tracée en bourgeoisie linaire , ou vivre tranquillement, dans un dénis léger (comme un sorbet au lieu de la glace à la crème )des choses compliquées repousser à l'entrée de leur vie ou juste quelques questions à la fin d'un repas bien arrosée : « alors raconte –nous » sauver de justesse la personne ainsi appelée – si elle se raconte c’est pour avancer dans la résolution du mystère des bleus de l’âme et pourquoi simplement……. et, non pour divertir l’assemblée avec le « kouglof », la crème anglaise, le Monbazillac.
SupprimerJ'écris pour tous les enfants et adultes qui furent sans place, à part celle de bouc émissaire d'une famille. Ce travail harassant, long se faire pour qu'un jour ils puissent rencontrer la résilience pour leur paix.
Oui, je suis heureuse que ce ne soit universelle que pour ceux là et un marquage pour ceux qui un jour seront touchés, la vie se raconte jusqu'à la mort et il y a des portes à connaitre qui peuvent atténuer les peines magistrales.
Je suis ravie que Brioche sonne gentil et joli. Et quand je l'entends si la première fois, j'ai fait la grimace, le sourire a pris très vite le dessus.