jeudi 8 janvier 2015

a toutes et toutes les Charlie de la blogosphére

Hier au moment où je faisais mon petit billet pour me rapprocher de vous , j'ai vue partout dans mon côté droit de personne amies  amis  les images et les  mots de chacun j'ai voulu voius laisser des mots à vos mots mais la toile du net devait être très encombree je ne pouvais écrire


alors sachez que mon coeur était très heureux dans son trouble profond d'être relié à vous  comme à tous qui ont marqué ce coup  difficile de qualifié........ 

 sachez qu'aujourd'hui les gens dans paris avaient les yeux en bernes comme chez vous d'ailleurs, 
je me suis forcée à ne pas rentrer chez  nous ne pas répondre par la peur

alors je suis allée vers les livres   la rue pour aller à l'hotel de ville et Sain t paul était dévié. les oreilles étaient appées par les sons des commions de CRS, détournés aussi aux sons des ambulances.

en fin de journée le ciel était de trois couleurs bleu ciel, blanc et un gris come des traits d'un drapeau habillé le ciel et j'ai pensé que le ciel porté ainsi le dieu de nos amis, esprits,  âmes en voyage. 

les gens n'oubliaient pas les petites phrases de politesse, se serraient contre vous pour dire j'ai peur j'ai peur,
captant les sourires pour venir si assoir.



je vous embrasse très fort et si je rate de vous écrire , sachez que je pars vous visiter

Frankie Map's Monde





11 commentaires:

  1. Merci pour tes mots Frankie
    Plus que jamais dans les moments terribles... on a besoin de toutes ces lueurs d'Humanité qui brillent dans la nuit sombre;
    Je tembrasse
    jj

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  2. Je lis ici ou là des commentaires qui, en résumé, disent "ils l'avaient cherché par leur dessins et leurs paroles". Je suis scandalisée car je pense que nuls mots où coups de crayons ne justifient une condamnation à mort. Amicales bises.

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  3. Ariaga, c'est terrible, mais oui, on entend des commentaires de ce type, des profs qui parlent de cet évènement avec leurs élèves en font état.... la loi du talion comme seul mot d'ordre!!! ça fait froid dans le dos , c'est un retour à l'obscurantisme...
    soyons solidaires autour de l'humain comme idée première, tenons nous chaud pour contrecarrer les bises glacées
    Frankie, ici aussi le rassemblement d'hier soir a réconforté par toutes ces personnes ENSEMBLE
    je t'embrasse

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  4. Dans notre petite ville aussi, c'était un grand moment de chaleur humaine sur la (petite) place centrale, bien pleine de quelques centaines de personnes. Et comme c'est tout petit, on connaît tout le monde...
    J'ai aussi beaucoup pensé à tous les amis qui sont ailleurs et me suis étrangement réjoui qu'ils aient eu chaud avec d'autre gens :-))
    Bisous,
    s.

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  5. Ce sont les enfants de Cabu et de Voltaire qui pleurent aujourd’hui.

    En perdant Wolinski, Cabu, et les autres, j’ai perdu une partie de ma jeunesse qui survivait dans leurs dessins. Et ça c’est irréparable.
    Mais on doit du coup comprendre qu’ils sont morts parce qu’il y a des gens qui pensent que la religion a les droit de dire qui peut vivre et qui doit mourir. C’est ça qui nous fait horreur à nous français, parce que nous sommes aussi les enfants de Voltaire.
    --> N’oublions pas qu’il y a plein de pays où ce qui est arrivé aux journalistes de Charlie arrive à chaque coin de rue, et qu’il n’y a personne pour en parler.

    Réconfortons-nous les uns les autres : ça on le peut encore.
    Je vous embrasse chère Frankie,
    Jean-Pierre

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  6. Nous sommes Charlie !!!
    Je t'embrasse ma Belle Frankie.

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  7. Je ne trouve plus mon commentaire... mais je passe ce samedi pour te dire que je pense très fort à toi car tu doit être proche du quartier qui a vécu l'horreur hier.
    Nous sommes Charlie et toutes les victimes de la barbarie.
    Je t'embrasse Frankie, donne nous de tes nouvelles

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  8. De près ou de loin, l'horreur nous a tous surpris sur notre chemin.

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  9. Je te sais proche de la porte de Vincennes, cette journée d'hier a été aussi très difficile.
    Je t'embrasse ma Frankie.

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  10. C'était beau de voir tous ces gens rassemblés pour une même cause.

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