pour conquérir la liberté... ect écoutez c'est vraiment interresant.....
je vous embrasse très chaleureusement
Frankie Map'Monde
Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
l'histoire bégaye toujours Frankie...
RépondreSupprimerC'est un éternelle recommencement. Bonne journée.
RépondreSupprimerDe Gaulle explique qu’il faut se battre pour conserver – entre autre la liberté. Parce que une fois qu’on l’a perdue, il est bien difficile de la récupérer.
RépondreSupprimerEt nous, comment devons-nous comprendre cela ?
Pensons aux dizaines d’années d’abandon, d’indifférence, de mépris qui ont créé les ghettos de nos banlieues. A tout ce que nous n’avons pas fait et qui a rendu misérables ces gens sans travail, sans reconnaissance, qui n’arrivent même plus éduquer leurs enfants et qui les abandonnent à des pseudo-imams haineux et criminels.
Le chemin qui a été fait à reculons, il faut maintenant le refaire vers l’avant. Refaire le tissu social en donnant à tous les mêmes chances de vivre honnêtement et décemment. Leur permettre trouver de la reconnaissance dans le regards des passants. Etc.
Oui, De Gaulle nous le dit : contrairement aux apparences, en juin 40 il était plus facile de suivre sa voie que celle du maréchal Pétain. Eh bien, dans nos banlieues, nous l’avons suivi l’esprit d’abandon de Pétain. Récupérer est une rude tâche, mais il n’y en n’a pas d’autres qui vaille.
J-P Hamel
merci de vos chers mots, et jean pierre j'apprécie votre analyse si juste et bien diffiicile oui maius serait s'y bien d'y arriver.
RépondreSupprimertrès chaleureusement
Deux pas en avant, un pas en arrière ainsi va la société des hommes. Nous n'avons d'autre choix que de faire confiance à ces plus de quatre millions de français qui sont allés marcher pacifiquement dans les rues de France pour dire la cohésion de notre pays en dépit de tout. L'espoir doit perdurer les amis !
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