Oui, j'ai eu chaud porte de Vincennes.
me trouvais à l'hôpital pour une consultation et un message m'est arrivé pour m'annoncer la prise d'otages à l'épicerie casher cours de Vincennes
ce fut calcul, bus par les hauteurs des Buttes la rue des Pyrennées jusqu'à Gambetta , la marche à pied , le stop. les autorisations de passer des protecteurs des boulvards.
pour rentrer à la maison ou pas rentrer à la maison et je mettais les clés dans ma porte quand la déflagration de l'assaut fut là.
pour rentrer à la maison ou pas rentrer à la maison et je mettais les clés dans ma porte quand la déflagration de l'assaut fut là.
Je ne reprendrais pas la suite car vous la connaissez, nous fûmes toutes et tous à l'écoute . En action pour être debout,
les amis les proches de nos chers disparus eurent tant de courage de dignité de retenue sur leur chao interieur.
et porter de chaque endroit où nous sommes , ce que nous pouvions apporter de notre calme de notre dignité atteinte de nos valeurs si importantes encore que d'autres pays ont perdu et d'autres jamais eu.
les amis les proches de nos chers disparus eurent tant de courage de dignité de retenue sur leur chao interieur.
et porter de chaque endroit où nous sommes , ce que nous pouvions apporter de notre calme de notre dignité atteinte de nos valeurs si importantes encore que d'autres pays ont perdu et d'autres jamais eu.
Je ne pouvais ouvrir l'ordi. tant j'étais open minutes après minutes.
je vous pensais chacun dans vos villes à vous rassembler, à participer.
Je suis à nouveau sur la blogosphère. je vais aller faire un tour chez vous.
Si la pub me bouffe la possibilité de vous répondre, sachez que je ne m'endormirai sans être venue prendre de vos petits billets.
j'ai jamais ressenti aussi fort le besoin d'être reliée,
je vous embrasse très fort. A demain.
vivre cette horreur de si près.. un cauchemar ...reprends courage ... je t'embrasse ...
RépondreSupprimerMême réflexion qu'Elfi!
RépondreSupprimerChoquée, malgré la distance, j'imagine ton état d'esprit.
Courage Frankie, amicalement
l'essentiel est que tu si=ois là; pour le reste assez de bla bla et voyons comment les uns et les autres se comporteront dans la durée
RépondreSupprimerJe suis contente de te lire Frankie que peut-on ajouter à tout ce qui a été dit
RépondreSupprimerbises
merci de vos réactions.
RépondreSupprimerpour répondre à Elfi et Gine
le cauchemar avait déjà eu lieu un autre se préparait fallait pas en rajouter , par pur imprudence. J'étais particulierement froide. j'observais ce que l'on disait , je raisonnais, quelqu'un de ma famille regardait les plans de paris pour situer exactement l'épicerie. je fus prévenue aussitot que l'on en a parlé à la radio.
cela m'a rappelé certains plans orsec que j'ai vécu plutôt dans mes premières années de travail;
Chaque expérience vécue vient au bon endroit nous souffler la plus juste des solutions.
dans le stop pour me rapprocher c'est un congolais qui allait chercher ses enfants à l'école et il me dit : c'est normale que je rende service à une femme, tant de femmes ont été bonnes pour moi.
Veillons à la suite.
c'est cela maintenant qui compte.
je vous embrasse très fort et vive la valeur du blog et des belles âmes qui s'y croissent et pensent et envoie leur énergie dans ses moments là, je sais que vous connaissez mes déserts.... et vous savez combien vous êtes mon arbre mes racines, mes mots d'humour et de tendresse. les bains de beauté renouvelés chaque samedi
Ah Frankie, tu es bien là... Pomme était inquiète et moi aussi du coup...
RépondreSupprimerNous sommes Charlie !!!
Plein de GROS BECS
Contente de te lire ma Frankie.
RépondreSupprimerJe t'embrasse bien fort