La fin qui recommence
Les grappes de piments rouges étaient aux fenêtres comme les descentes
de lit que l’on aère. Comme les drapeaux bleu blanc rouge d’un 11 novembre ou
autres fêtes nationales.
J’avais pris le petit train Bayonne Saint Jean Pied de Port pour
rejoindre la ferme où je devais préparer la réouverture de la résidence
prochaine. Le comte de Criac m’avait cédé son factotum Dimitri pour me prêter ses mains fortes.
Dimitri me rejoignait dans quelques jours. Je remontais tranquillement
le sentier vers le champ d’en bas de la
ferme. Le fermier Pierrot avait réinstallé son troupeau de vaches de blondes
d’aquitaine. Sur la colline j’apercevais les tâches blanches et noires des
moutons. J’eus l’étrange sensation que
l’on me suivait. Dans l’arrondi d’un virage, j’en profitai pour gagner en
visibilité discrète arrière. Je n’avais rêvé, un homme brun coiffé à la
Hungfrey Bogart en costume couleur tilleul empruntait mon pas et mon allure. Il
prenait appui sur un bâton de pèlerin. Si s’en était un, il tournait le dos au
chemin. Il se rapprochait de plus en plus.
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« Cette fois-ci j’étais sur que tu ne reviendrais pas. Tu ébranles mes certitudes. »- ravi. Allons chez toi, ce voyage m’a beaucoup fatigué.
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« Cette fois-ci j’étais sur que tu ne reviendrais pas. Tu ébranles mes certitudes. »- ravi. Allons chez toi, ce voyage m’a beaucoup fatigué.
suite mardi
de Frankie Map's Monde
droits exclusifs
à mardi pour la suite et en attendant gros poutous aux piments d'Espelette.
Frankie's Map Monde
les miracles du pays basque !
RépondreSupprimerOuh! Un coup au coeur...
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