mon mail ci dessus
“Si tu refuses de voir le meilleur en toi-même
et choisis de t'attarder sur tout le négatif en toi,
tu dois être prêt à en accepter les conséquences,
car tu attires à toi ce que tu maintiens dans tes pensées.
Ne pense qu'au meilleur et c'est le meilleur qui sera devant toi...”
- Eileen CADDY
et choisis de t'attarder sur tout le négatif en toi,
tu dois être prêt à en accepter les conséquences,
car tu attires à toi ce que tu maintiens dans tes pensées.
Ne pense qu'au meilleur et c'est le meilleur qui sera devant toi...”
- Eileen CADDY
Perdre sa sœur partie en internat et se retrouver seule dans une contrée très isolée .
j'ai vécu çà je sais que cela m'a "boosté" pour partir en internat.
le temps de retrouver son équilbre.
j'envoie mille pensée
à cette petite fille.
elle se reconnaitra
si elle passe par là.
Tiens bon c'est un dur moment à passer.
presqu'une année de passer
et bientôt les vacances
l'amie Christine De M.
Le Mot
Braves gens, prenez garde aux
choses que vous dites !
Tout peut sortir d'un mot qu'en
passant vous perdîtes ;
Tout, la haine et le deuil !
Et ne m'objectez pas que vos amis
sont sûrs et que vous parlez bas.
Écoutez bien ceci :
Tête à tête, en pantoufles,
Portes closes, chez‑vous, sans un
témoin qui souffle,
Vous dites à l'oreille du plus
mystérieux de vos amis de coeur
ou si vous aimez mieux,
Vous murmurez tout seul, croyant
presque vous taire,
Dans le fond d'une cave à trente
pieds sous terre,
Un mot désagréable à quelque
individu.
Ce mot ‑ que vous croyez que l'on
n'a pas entendu,
que vous disiez si bas dans un
lieu sourd,
Court à peine lâché, part,
bondit, sort de l'ombre.
Tenez, il est dehors!
Il connaît son chemin ;
Il marche, il a deux pieds, un
bâton à la main,
De bons souliers ferrés, un
passeport en règle ;
Au besoin il prendrait des ailes
comme l'aigle !
Il vous échappe, il fuit, rien ne
l'arrêtera;
Il suit le quai, franchit la
place, et caetera
Passe l'eau sans bateau dans la
saison des crues ;
Et va tout à travers un dédale de
rues,
Droit chez le citoyen dont vous
avez parlé.
Il sait le numéro, l'étage; il a
la clef,
Il monte l'escalier, ouvre la
porte, passe, entre, arrive,
Et railleur, regardant l'homme en
face dit;
« Me voilà! Je sors de la bouche
d'untel »
Et c'est fait.
Vous avez un ennemi mortel!
Victor Hugo
Nul doute que cette petite fille entendra ces si belles pensées ! Bonne journée à toi !!
RépondreSupprimerBonjour Frankie! J'ai de la peine à te suivre actuellement, mais je survole tes billets en me promettant d'y revenir plus tard... ce que je n'arrive pas à faire!
RépondreSupprimerPardon! Mais sache que je ne te quitte pas!
Amicalement
Bien dit ce poème de Victor Hugo que je ne connaissais pas.
RépondreSupprimerCoucou Frankie !
RépondreSupprimerMerci pour tes vœux ma belle, le mail était dans les spams et je l'ai découvert en vidant ma boite.
Très vrai ce poème de Victor Hugo.
De plus lorsque les gens en qui nous avons confiance se font un plaisir de rapporter ces mots, ça s'appelle de la trahison.
Alors gardons nos mots pour nous.
Je t'embrasse bien fort Map's Monde.
Belle soirée