j'ai repris un peu plus haut , je n'avais pu faire quelques tours de corrections,... désolée pour les courageux de lecture
je remets en 3 le texte en correction
j'espére que vous avez passé une bonne saint Valentin fraternelle
4
Çà a du être çà son 180 ° !
La route est de plus en plus "burdoquante".
Joséphine la joie la maillote, sa Maman l’a proposée au gérant de l’hôtel pour cette course aux
phacochères sur le chemin de Ouagadougou. La gaine du silence donne de l’écho à
tous leurs mots.
Karl lui jette
un regard de temps en temps , il pense à ses jours de grande foule quand
il rentrait dans le plus grand monologue d’un de ses personnages de Shakespeare
foudroyé ; de tant d’éclairs-images avant d’ offrir les mots justes et imbibés
des moiteurs de son personnage aux
spectateurs. Parfois il pouvait passer une nuit sur les quais de la Seine à
chercher comment dire une virgule.
coupure
lamangou@gmail.com
si vous voulez finir votre lecture
lamangou@gmail.com
si vous voulez finir votre lecture
La jeep en arrêt pour laisser passer le lion après un
troupeau d’antilopes cheval.
Ils arrivèrent au village des chasseurs- gardians de
Savane.
-
Oh dit donc patron t’en a mis du temps !
Ah mademoiselle ! Tu vas repartir en
épousailles avec la jeune demoiselle ? …
-
Karl sourit, il est sonné de la route,
Son trouble encore là, fait parler ses boys de
la brousse.
-Patron tu ne repars pas cette nuit.
Demain on
préparera à 4 heures, tu partiras dans la fraicheur mais arrivée à Bobo tu
cuisines vite, ils sont tués de ce
matin. Le faisandage à cette chaleur est bien pris.
- Allons les voir.
Joséphine tu restes là sous l’arbre bois le thé.
-A la ferme petite, j’assistais à la cuisine du cochon après que
papa l’est tué. Je peux, maman et papa
ne te diront rien.
Les phacochères sont installés
dans la case qui a été fermée depuis deux jours pour garder en elle la
fraicheur de l’ombre. Avec des torches les phacos éclairés. Ils sont trois : l’énorme, les deux autres en taille décroissante. Ils
sont bruts de leur pilosité épaisse très odorante avec les cornes presque dressées.
-Allons manger,
tu vas nous parler de Bobo et de nos frères……
Le vin de palme et quelques improvisations chantées accompagnées
de tamtams concluront ce diner copieux de voix , de rires
-patron cuisines quand tu arrives.
- Une dame s’est proposé de me les préparer jambon,
aux pâtés, au civet…
-Maman ?
- oui, Pompon, mon salaire de nourrice m’a telle dit.
-Merci çà va lui faire du bien, elle est à bout de
nerfs d’attendre,
C’est une bonne
charcutière.
Pompon tend ses bras vers Karl (Im 8O le monsieur). Il se penche, l’embrasse :
- Merci coéquipière.
-Vous savez Karl vous lui offrez des bulles d’air
entre ses bulles de massacres au dedans.
Merci pour Nous, ses gamines vous mettez en radis glace sa douleur
l’attente.
Le singe dort dans la jeep.
Fin
Peut-être autre chapitre la semaine
prochaine. ????
Suite demain soir
Kenzo Okado 1954
Robert frank Femme noire mystiqueharmonie des couleurs blog de écureil bleu
les mimi$osa du bassin
Droits
réservés
Frankie
Map’s Monde
Sous
la direction de Frankie Pain
Ce soir sous les étoiles de la brousse , je dors dans la jeep avec le singe!
RépondreSupprimerok ma chérie mais viens boire du vin de palmes et quelques agapes grillé dans le pneu barbekiou et méler ta voix avec la fine équipe et le gardians..
RépondreSupprimergros bisous je te garde un bocal de civet de phacophére.
Oups! Le coeur au bord des lèvres... le souvenir de quelque rata sauvage bien trop odorant pour mes narines...
RépondreSupprimerBon dimanche, Frankie!