vendredi 12 janvier 2018

Coeur volant de Philippe Bordas


suivi 
"La providence d'un trio
 au resto chinois 
de la gare du Nord."
premier épisode  001
Comme çà vient


Copié sans modif du site de Gallimard
mon petit sejour à la structure les Mots 4 rue dante, à  Saint germain
m’a fait rencontrer des belles plumes...
je pars me l’acheter et je vous en fais profiter
 j’en ai lu des extraits 
 çà vaut le temps de s’y perdre
 et de rêver.

Cœur-Volant

Collection Blanche, Gallimard
Parution : 01-01-2016
«Chaque soir, Natacha m’apprend la respiration. Elle me donne le sens de Paris et son goût de mer. Dans mon carnet à spirale, j’ai copié un vers ancien qui revêt sa personne comme une peau d’agneau. Elle est née de Paris, bercée à la fontaine des Orateurs sacrés, mais tout en elle, même son habit, supplante l’arrogance des Parisiennes. D’une gaze d’amnésie, elle tamise la violence du monde. Elle n'aperçoit ni les pavés disjoints ni la ronde des séducteurs. Elle oublie la monnaie sur la coupelle de la pharmacie du drugstore. Ses parapluies restent dans l’autobus et voyagent du Pont-Neuf jusqu’à la porte de Châtillon. Ses pupilles sont envahies d’ajours où des feuilles de bouleau tourbillonnent dans un ciel de Lituanie. Ses yeux regardent pour moi. Son odeur ne me quitte plus. Aux mondes hauts, moyens et bas préside Natacha.»
Œuvre lyrique et magnétique, troublante comme un parfum de femme, Cœur-Volant rassemble dans un même bouquet la note subtile de l’amour courtois et l’arôme violent du Paris moderne.
«Quel livre, quel style, quelle ambition ! Avec cet écrivain incroyable de violence et de douceur mêlées, le lecteur embarque pour une aventure plus essentielle et plus dangereuse. Un écrivain de race qu’aucun amateur de littérature de grand style ne saurait manquer de suivre à la trace.»
Sébastien Lapaque. Le Figaro Littéraire
«Un lyrisme à tous crins habite la langue inventive et sans limite de Cœur-Volant. Dans la veine d’un Francis Ponge, Bordas décrit avec la même précision l’ardeur du feu amoureux et les émanations olfactives qui envahissent sa "crypte à parfum”. Dans le noble art, on oppose aux "puncheurs” les "stylistes”, et c’est à coup sûr à cette catégorie qu’il appartient. Son écriture virevolte au-dessus du ring, rebondit avec grâce dans les cordes, cogne et "touche”, au propre comme au figuré.»
Frédéric Potet. Le Monde des Livres
«Une écriture à la fois lustrée à la peau de chamois jusqu’à ce qu’elle sourie (…) et tantôt faubourienne. Chose étrange - ou merveilleuse - Bordas, grâce à cette langue façonnée avec un marteau de carrossier et porté par la tumultueuse ondulation de son écriture, accroche le lecteur par un style milord qui attendrait le coup de pistolet sous la Restauration.»
Jean-Louis Le Touzet. Libération
«Un style puissant et inspiré porte très haut cette love story. L’amour, avec ce qu’il faut de poésie dans les mots de la prose, et de singularité dans le maniement du clavier : la classe.»
 Gilles Chenaille. Marie-Claire

«Philippe Bordas écrit des livres à la fois classiques et innovants, sensuels et poétiques. Ce qu’il faut clamer ici, c’est que Cœur-Volant est un formidable roman qui se réinvente à chaque ligne.»
 Héléna Villovitch. Elle
«Une langue d’amour extrême. Après Chant furieux, Philippe Bordas poursuit dans Cœur-Volant sa quête d’un langage percutant et audacieux pour dire un amour lyrique et passionnel. Un roman poétique d’une force rare. Philippe Bordas invente un amour lyrique et trouve le langage qui l’anime avec splendeur. Dans une langue mouvante et musicale, il construit une temporalité et une géographie circulaire (de la rue Marbeuf à la rue Marbeuf, de Natacha à Natacha) pour dire un amour entêtant. C’est une prose magnifique du corps amoureux que Philippe Bordas invente dans Cœur-Volant
Jeanne Bacharach.
En attendant Nadeau



en feuilleton
 la petite carrière
de la grande artiste 
Madame Pain Françoise
dites
au générique et
sur les colonnes Maurice,
dans les pages des invitées à Cannes 
sauf quand j'étais avec le professeur Choron et que si nous avions monté les escaliers en maillots de bains sous le fou rire retenu des garde républicain
mais arrivés en haut l'on nous pria de les redescendre.
les photos des stars en chair avait circuler au moins pendant deux ou trois "festivaux"Il n'y a pas que la foire aux cochons dans le Cantal.
frankie pain la Sallers qui savaient faire parler l'elle
mais la miopie du Star systéme sur les non banquétable c'est la sourdité avec un sonotone.
0001
vous retrouverez  bientôt sur you tube
quelques notes de çà
par les deux jeunes  humoristes déjà cités

"La providence d'un trio
 au resto chinois 
de la gare du Nord."
Frankie Pain


j'ai choisi çà 
à la chirurgiie esthétique

 pour le métier je n'étais pas assez grosse
d'où vous le remarquez je me suis fait construire un corps  plus gros aux lolos  aldente et grosso  big.
le rôle de caress  aux bouffes du Nord lans l'adaptation de  Freaks film américain.
Jusquauboutiste....
la blague du jour sur la carrière. 




6 commentaires:

  1. Merci pour la découverte de ce roman. Quant à la photo, tu es top ! Quelle frimousse !

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  2. Des tétés dignes de tous les délires enfantins et adult...érins! "Al dente", Mamma mia!
    Mais je ne te dirai pas "chiche"...
    Je vais aller voir cet auteur tout de suite - l'écriture comme de la musique!
    Merci et bonne fin de semaine, amie!

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  3. Je vais aller faire ma curieuse moi aussi!!!
    Quant à la photo, elle est super! Mieux vaut les rembourrages extérieurs que la chirurgie!
    Amartia a raison, quelle adorable frimousse!
    Bisous et bon week-end Frankie!

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  4. Je ne connais pas cet auteur, je vais approfondir.
    J'adore cette photo qui te met vraiment en valeur :-)
    GROS BECS !

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  5. j'adore big mamma en silicone! ...et l'artiste derrière aussi! bises

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  6. Bonjour Frankie. Ce livre ne me tente pas trop. Pour une rencontre en mars : avec plaisir si je suis là. Mes enfants attendent chacun un heureux événement pour avril et si c'est un week-end prolongé il e peut que j'aille chez les uns ou les autres. Bonne journée et bisous

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