samedi 23 juillet 2022

Becassine et cayenne premier jet

 

Les petites sœurs d’Abigaël de dans « Surgir le pire »

Bécassine  Cayenne

 

Ce serait presque des Appendices  d’Abi et de Palmarès le perroquet d’Abigaël.

 Il l’avait suivi dans son hôpital de rééducation

 avec la complicité de l’ami Azemar 

un des photographes attitré

 de la star

 en décapilotade

 ou marmelade de tomates d’ AUCH

 dans la ferme  de la femme

 avec qui elle avait partagee

 la polygamie « chronique »

 d’un grand maitre d’ethnologie

 de la Nouvelle Aquitaine.

 

 Appendices ou péninsules.

Ce sera comme le passage du Cap Horn

Tous les « voiliers men » 

 pour les vents du Golbe en rêve de ce cap

Non pas de répliques d’Edmond Rostan, Cayenne à la plume cet après midi n’ a pas le

 talent d’un Edmond .

Abigael dans son atelier des Esterelles a tenu absolument à changer d’équipe d’auxiliaires.

Rejetées par la boite elle –même, 

celles qu’on lui offrait,

 avaient à profiter

 pour l’adaption de ses dames dames,

 de son travail anterieur du 7eme art : psychopédogue

 

 Plus tard pour décliner la première : une nana formidable travailleuse ayant une caractéristique très difficile pour quelqu un comme Abigaël où le rafio au large de l’Afrique avait rejoué le drame

 du radeau de la méduse de De La Croix

 et la pièce du même nom

 jouait  au Palais des Papes

  mise en scène dit Abigaël 

par Jean Pierre Vincent 

  grand metteur en scéne

 de l’école national de Strasbourg ( annee  debut 80)

 

....... la noyade par son Myelome

 Carnivore

 avait créé cette catastrophe humaine

 perdre tout le fourbi

(pensees pour l’ami Michel Leiris)

 : la santé, la mobilité, les amis , la famille.

 

Abigaël connaissait les affres de l’usine par sa mère

Fille de grand propriétaire terrien – fermier,

 la Ginou n’avait pas imaginé qu’un jour

 avoir un diplôme

même, un , unique,

 cela lui serait utile.

 Elle s’était dispensée du Certificat d’Etudes

 pour vous diresouffle Bécassine à la narratrice Cayenne

 la confiance en Elle cos-tau-te avec l’accent Suédois la Ginou

Ils  doublent les accents toniques.

 

Le blé peut  semer en deuxième floraison.

Des affirmations à la pelleteuse.

 

Abigaêl

ça rejetée en rade de Saint Nazaire

après un bon coup de muscadet la mére

elle avait enfourché les pédales

 de son Aronde jaune et rouge corail

elle avait emballé la drôlesse dans un bon torchon de jambon

 liée avec de la ficelle

 de moissonneuse batteuse

la clope « Amerloche » au gosier

 les marins au port de Nantes lui offrait. A

 La Belle mine la Ginou.

 

Et appuyant sur le champignon elle ne se rendit pas compte qu’elle y était arrivée.

Elle prit le coup de torchon

 donna deux paquets de blondes

 à un marin en dessalaison,

Vas-y donc me mettre çà au large

C’est du guano pour les oiseaux, les algues

Mon boune homme m’en avait ramené une malle de ses campagnes d’Afrique.

 

Elle démarra en trombe même toujours pas  dessalée,

Elle avait atteint son rêve…..

 

Le marin entendit des sortent de miaulements rugissements , 

il prit son couteau, 

 ouvri, coupa la ficelle

 et comme si il avait démailloté

 une géante bébé

 Ah ! C’est ma MoÏsette à moi.

s'exclama -t-il !

    Abigaêl regarde  la tache dans la brume du matin

-     Maman t’as tant picolé que la barbe à pousser,

 moins méchante,

 ta beauté me permettait de te regarder mais ainsi , 

tu sens fort le poisson , 

t’a remplace papa par un gigantesque harreng…

 

-      Non petite , ta mére m’a demandé de te foutre à l’eau.

     - alors tu le fais ?

-     Quand penses – tu petite poupée ?

-     Je n’ai pas aller à la piscine ma mére me zébrer à coups de manches à balaie, 

 je ne voulais pas montré çà

à mes copains et copines .

 

-     Gardes moi dans ton logis, inscris moi dans une ecole je sais tout faire sauf tes fringues ce sera trop lourd à laver et surtout étendre.

-     Quand penses-tu ?

Mon père va revenir de la guerre et tu pourras me remettre à lui il sera ton copain. C’est un mec bien. Tu verras.

-Comment il saura et toi le sauras-tu ?

- Il parles à l’oreille ma nuit .

 un à gauche l’autre à droite.

-     2    ?????

-     Oui plus tard,

 je te raconterais ma belle histoire.

Ses sourcils épais montent vers le soleil du matin

 

Nous enverrons un mot à son Capitaine.

-     Je vais te ramener à ta mère.

     

-     Non qui rate son coup

       la deuxième fois le gagne.

-      tu as quel âge pour parler comme çà ?

-     8 ans, on  ne te parle jamais

 tu parles, tu parles  tu parles ,

 tu as envie de déchirer

 le voile de leur silence, 8 ans.

Pas encore mes dents, toutes.

Elle éclate en sanglot.

Il l’a prend dans ses bras, la berce.

 

-      Pourquoi tout d’un coup, tu ne pleures que là ?

-     Ma mémé est mort,

 elle peut plus protéger 

Abigaël d’Elle, sa fille

 sans aucun certificat

 même celui du cœur.

 

Mon pépé fait son chemin de Croix

 chez ses filles…

-     Tu parles, on dirait que tu connais la Bible !

     

-     J’allais à la messe avec ma mémé, le curé racontait toujours des histoires en haut de l’escalier,

-      c’est pour çà quand tu as dit,

" voici ma petite MoïeseA"

    je n’ai pas eu peur, tu étais des nôtres.

 

-     Et mes copains ?

-     -Si t’es heureux,  ils accepteront, ce nouveau, dans ta vie.

-     Quand je partirai sur le grand bateau ?

 

-     On fera des courses, j’irai à l’école, je t’attendrai en lisant ce que tu as de livres.

-     ça m’étonnerait que cela t’intéresse ?

    

-     Déchiffrer les mots .

 déjà un seul, me raconte des histoires, …. , j’ai tant de choses à apprendre.

 

Chaque bateau me dira que tu reviens.

 

-Pourquoi tu es confiante

-      tu souris,

elle rit

 hi hi hi hi hi hi

tu me souris

, depuis que papa est parti à la guerre,

 ni sœur,

 ni mère

 ne le font.

Ca leur deboucherait le trou du bal

Pardon.

 

 je sais vite voir la différence..

 

-     Comment tu t’appelles ?

-     Comme tu veux.

-      Tu es ma nouvelle vie.

     

Il cherche, regarde

 son minois,

 charmant

Cette palabre

 pour ne pas dire éloquence

 

-     Le nom de la grande Héroïne de Bretagne

-      Bécassine.

-     Be ca cce in

-     Hum c’est beau, bon la bécasse.

Mon père la chassait.

 Ah ! oui..

Vite allons à la bassine,

 nous frottez le museau.

-     Moïsea Bécassine..

 

-     Nous gardons tout ?  Il regardait le torchon

 

-     Oui.

 

-     tu as raison, ce sont des pièces à colimasson.

 Il rit à son tour/ le rire les epouse.

-     Et la ficelle de pépé, nous en aurons toujours l’usage.

La suite très prochainement.

L’histoire

Mme Pain Françoise se retrouve 9 jours sans auxiliaire.

Ironie du handicap et des bonnes façons  des membres à l’autonomie c’est du hard.

Je fais chauffer mon imagination

 qu’elle m’inspire solution.

mes chers lecteurs et lectrices 

Frankie Pain de la Mangou

Droits d’auteurs reservés


 

 Dominique  du blog

 


 

allons nous lavez le museau

 

Kupska le peintre

 

 Collection privee Frankie



 

7 commentaires:

  1. Moisette,au diable le trema ,l'important c'est garder l'accent et l'esprit toniques !

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  2. Toujours aussi puissante dans le condense , l usage de la duplicité du mot choisi entre tréma et trois mats au moins les tonalités sonnent comme les cloches le jour de Pâques merci de ta lecture. Et je te dis bravo encore sur tes broderies.
    Bisous merci ton esprit lui est un vif argent.

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  3. Moïse Noisette Oiselle que du beau monde pour oublier que c'est l'été que tout est fermé et attendre la rentrée !

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  4. Ton esprit est comme dit manouche bien présent. Je t embrasse très fort poétesse

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  5. J'arrive... un peu essoufflée et beaucoup soufflée par la vive imagination!

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  6. Merci ma chère Gine de ton passage bisous

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  7. Et bravo Gine pour essouffler et souffler.
    J adore ces jeux de sonorites

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