Les petites sœurs d’Abigaël de dans « Surgir le pire »
Bécassine Cayenne
Ce serait presque des Appendices d’Abi et de Palmarès le perroquet d’Abigaël.
Il l’avait suivi dans son hôpital de rééducation
avec la complicité de l’ami Azemar
un des photographes attitré
de la star
en décapilotade
ou marmelade de tomates d’ AUCH
dans la ferme de la femme
avec qui elle avait partagee
la polygamie « chronique »
d’un grand maitre d’ethnologie
de la Nouvelle Aquitaine.
Appendices ou péninsules.
Ce sera comme le passage du Cap Horn
Tous les « voiliers men »
pour les vents du Golbe en rêve de ce cap
Non pas de répliques d’Edmond Rostan, Cayenne à la plume cet après midi n’ a pas le
talent d’un Edmond .
Abigael dans son atelier des Esterelles a tenu absolument à changer d’équipe d’auxiliaires.
Rejetées par la boite elle –même,
celles qu’on lui offrait,
avaient à profiter
pour l’adaption de ses dames dames,
de son travail anterieur du 7eme art : psychopédogue
Plus tard pour décliner la première : une nana formidable travailleuse ayant une caractéristique très difficile pour quelqu un comme Abigaël où le rafio au large de l’Afrique avait rejoué le drame
du radeau de la méduse de De La Croix
et la pièce du même nom
jouait au Palais des Papes
mise en scène dit Abigaël
par Jean Pierre Vincent
grand metteur en scéne
de l’école national de Strasbourg ( annee debut 80)
....... la noyade par son Myelome
Carnivore
avait créé cette catastrophe humaine
perdre tout le fourbi
(pensees pour l’ami Michel Leiris)
: la santé, la mobilité, les amis , la famille.
Abigaël connaissait les affres de l’usine par sa mère
Fille de grand propriétaire terrien – fermier,
la Ginou n’avait pas imaginé qu’un jour
avoir un diplôme
même, un , unique,
cela lui serait utile.
Elle s’était dispensée du Certificat d’Etudes
pour vous dire,
souffle Bécassine à la narratrice Cayenne
la confiance en Elle cos-tau-te avec l’accent Suédois la Ginou
Ils doublent les accents toniques.
Le blé peut semer en deuxième floraison.
Des affirmations à la pelleteuse.
Abigaêl
ça rejetée en rade de Saint Nazaire
après un bon coup de muscadet la mére
elle avait enfourché les pédales
de son Aronde jaune et rouge corail
elle avait emballé la drôlesse dans un bon torchon de jambon
liée avec de la ficelle
de moissonneuse batteuse
la clope « Amerloche » au gosier
les marins
au port de Nantes lui offrait. A
La Belle mine la Ginou.
Et appuyant sur le champignon elle ne se rendit pas compte qu’elle y était arrivée.
Elle prit le coup de torchon
donna deux paquets de blondes
à un marin en dessalaison,
Vas-y donc me mettre çà au large
C’est du guano pour les oiseaux, les algues
Mon boune homme m’en avait ramené une malle de ses campagnes d’Afrique.
Elle démarra en trombe même toujours pas dessalée,
Elle avait atteint son rêve…..
Le marin entendit des sortent de miaulements rugissements ,
il prit son couteau,
ouvri, coupa la ficelle
et comme si il avait démailloté
une géante bébé
Ah ! C’est ma MoÏsette à moi.
s'exclama -t-il !
Abigaêl regarde la tache dans la brume du matin
- Maman t’as tant picolé que la barbe à pousser,
moins méchante,
ta beauté me permettait de te regarder mais ainsi ,
tu sens fort le poisson ,
t’a remplace papa par un gigantesque harreng…
- Non petite , ta mére m’a demandé de te foutre à l’eau.
- alors tu le fais ?
-
Quand penses – tu petite poupée ?
- Je n’ai pas aller à la piscine ma mére me zébrer à coups de manches à balaie,
je ne voulais pas montré çà
à mes copains et copines .
- Gardes moi dans ton logis, inscris moi dans une ecole je sais tout faire sauf tes fringues ce sera trop lourd à laver et surtout étendre.
- Quand penses-tu ?
Mon père va revenir de la guerre et tu pourras me remettre à lui il sera ton copain. C’est un mec bien. Tu verras.
-Comment il saura et toi le sauras-tu ?
- Il parles à l’oreille ma nuit .
un à gauche l’autre à droite.
- 2 ?????
- Oui plus tard,
je te raconterais ma belle histoire.
Ses sourcils épais montent vers le soleil du matin
Nous enverrons un mot à son Capitaine.
- Je vais te ramener à ta mère.
- Non qui rate son coup
la deuxième fois le gagne.
- tu as quel âge pour parler comme çà ?
- 8 ans, on ne te parle jamais
tu parles, tu parles tu parles ,
tu as envie de déchirer
le voile de leur silence, 8 ans.
Pas encore mes dents, toutes.
Elle éclate en sanglot.
Il l’a prend dans ses bras, la berce.
- Pourquoi tout d’un coup, tu ne pleures que là ?
- Ma mémé est mort,
elle peut plus protéger
Abigaël d’Elle, sa fille
sans aucun certificat
même celui du cœur.
Mon pépé fait son chemin de Croix
chez ses filles…
- Tu parles, on dirait que tu connais la Bible !
- J’allais à la messe avec ma mémé, le curé racontait toujours des histoires en haut de l’escalier,
- c’est pour çà quand tu as dit,
" voici ma petite MoïeseA"
je n’ai pas eu peur, tu étais des nôtres.
- Et mes copains ?
- -Si t’es heureux, ils accepteront, ce nouveau, dans ta vie.
- Quand je partirai sur le grand bateau ?
- On fera des courses, j’irai à l’école, je t’attendrai en lisant ce que tu as de livres.
- ça m’étonnerait que cela t’intéresse ?
- Déchiffrer les mots .
déjà un seul, me raconte des histoires, …. , j’ai tant de choses à apprendre.
Chaque bateau me dira que tu reviens.
-Pourquoi tu es confiante
- tu souris,
elle rit
hi hi hi hi hi hi
tu me souris
, depuis que papa est parti à la guerre,
ni sœur,
ni mère
ne le font.
Ca leur deboucherait le trou du bal
Pardon.
je sais vite voir la différence..
- Comment tu t’appelles ?
- Comme tu veux.
- Tu es ma nouvelle vie.
Il cherche, regarde
son minois,
charmant
Cette palabre
pour ne pas dire éloquence
- Le nom de la grande Héroïne de Bretagne
- Bécassine.
- Be ca cce in
- Hum c’est beau, bon la bécasse.
Mon père la chassait.
Ah ! oui..
Vite allons à la bassine,
nous frottez le museau.
- Moïsea Bécassine..
- Nous gardons tout ? Il regardait le torchon
- Oui.
- tu as raison, ce sont des pièces à colimasson.
Il rit à son tour/ le rire les epouse.
- Et la ficelle de pépé, nous en aurons toujours l’usage.
La suite très prochainement.
L’histoire
Mme Pain Françoise se retrouve 9 jours sans auxiliaire.
Ironie du handicap et des bonnes façons des membres à l’autonomie c’est du hard.
Je fais chauffer mon imagination
qu’elle m’inspire solution.
mes chers lecteurs et lectrices
Frankie Pain de la Mangou
Droits d’auteurs reservés
Dominique du blog
allons nous lavez le museau
Kupska le peintre
Collection privee Frankie
Moisette,au diable le trema ,l'important c'est garder l'accent et l'esprit toniques !
RépondreSupprimerToujours aussi puissante dans le condense , l usage de la duplicité du mot choisi entre tréma et trois mats au moins les tonalités sonnent comme les cloches le jour de Pâques merci de ta lecture. Et je te dis bravo encore sur tes broderies.
RépondreSupprimerBisous merci ton esprit lui est un vif argent.
Moïse Noisette Oiselle que du beau monde pour oublier que c'est l'été que tout est fermé et attendre la rentrée !
RépondreSupprimerTon esprit est comme dit manouche bien présent. Je t embrasse très fort poétesse
RépondreSupprimerJ'arrive... un peu essoufflée et beaucoup soufflée par la vive imagination!
RépondreSupprimerMerci ma chère Gine de ton passage bisous
RépondreSupprimerEt bravo Gine pour essouffler et souffler.
RépondreSupprimerJ adore ces jeux de sonorites