mercredi 6 juillet 2022

Retour au pays aprés lecture et quelques corrections...

Retour au pays

où les cœurs ont encore quelques vibrations

reconnaissances , tendresse , estime.

La guerre en Ukraine m'a fait  complètement arrêter.

La vie apportait son poids d'horreur humaine

D’inhumanité,

Pour que je ne couvre pas mes pages des miennes.

 

Je me suis tusse volontairement.

 J'ai écouté radio France,

 France culture,  France Musique

Les C’esr à vous.

Les hommes politiques , les geopoliticiens  etc

Tous ces chercheurs nous permettez

 de comprendre  petit à petit

 les complexité en jeux, en sang et vies humaines.

Epreuve dont nous ne pouvions pas nous extraire.

Sans mon handicap je partais là bas

donner mes mains , mon savoir : soigner , radiographier

Comme Marie Curie l’a fait dans la Guerre de 14.

 

Savoir juger de son état.

 Faire le bon choix.

Solidaire par mon silence avec vous.

 

 L'art de mes axillaires a evolué évolué

De charmante complicité et entre aide.

 Sauf la rumeur des moquettes de l’institution

Tres negative à mon égard ,

Un rejet presque collectif.

Ma lourdeur physique / obése.

La complexité d’un atelier d’artiste.

La puissance de mes livres sur tout les murs,

les armoires comblées  de premiers jets de livres,

 de pièces de théâtre, des  ontes du monde entier jusque dans mes toilette.

Comme parle Mauriac dans ses vie interieures.

Les savoirs là même s je ne les ouvre pas toujours . je peux à tout moments les saisir et passer un ou deux jours avec un tel ou trois autre.

Suer la mesanine j’ai crée de ruelle de pile de livres ceux les plus urgentes si la peine est trop grande

Mes douleurs crient  rassurrez moi ,

Grandissez moi.

Emplissez ce silence qui me renverse comme une lame de fond.

Pas l’âme.

 

Les aimances humaines ont disparu toute

C’était des faussaires

Et le mot de Deleuze ne supporte çà.

Il n’y a plus que Mauriac qui peut encore parler l’amitié

Son la Boesie….

Des soucis qui vous augmentent vos frais,

Vols de robes, de watts, de chaussures neuves ect..

 Je dis de garder précieusement ce paquet

on met un sac de Balnéo de trois maillots de bains et l’ensemble

chaussure de plomger casque , lunette, gants de musculations.

les affaires à retrouver,

 Recoudre les coups de couteaux dans mes sacs debalneo

vol de ma dernière grande création 15 heures de travail ,100 euros de matériel.

Dans la poche.

On fait ses courses, on prepare ses cadeaux de noel.

Et le dénis….

Plus haut.

 

 Alors le travaille en tant que tel. 

Bref.

 

Ma petite nièce Iris  a répondu à sa tata- mamie,

la joie a frisé dans le cœur

.comme les déferlantes aux marées d’équinoxe

 

J'ai joué de mon intelligence pour joindre  mon frére

 dont je fus sa préceptrice

 vœux de mon papa mourant.

 peut on refuser, à un homme heureux d'avoir un fils,

les  guerres leur baillons, les entailles

 ont emporté son corps vers le Léthé.

 

 Le joindre  , le prévenir de mon désir de quitter le monde

A la saint Jean, dans le temps ont brulé

 les gens inutiles au bucher….

 J'ai appelé son commandant.

, Il est  juste en  dessous en grade.

 lui qui ne répondait plus à mes mot

 depuis des « carlingues Vietnamiennes »

 c'était une idée fulgurante,

 dans les 3 heures,  sa voix m'arriva sur mon phone

 ce n'était pas un miracl, un ordre,

 mais que voulez vous sans mes qualités de préceptrice

Pédagogique générales et appliquées, mon dévouement,

 sans salaire

La mère disait que je venais manger dans son frigidaire, ma voiture valait les kilomètres Bordeaux, la Rochelle tous les 15 jours.

Les forclusions du désir du père  même à celui substitu.

J’avais dit oui.

Et les ……..

Coupures.

Imaginez aujourd’hui la ruine. Le petrole

 Du dénis encore,

 si ca pouvait chauffer aussi  bien que le bois,

 nos forets seraient pas autant déboisées

 

Sans sœurette conne,

C’est dans les prisons que j'aurai eu mon droit de visites.

La puissance des mothers gâteuses de leur petit gars.

 

Mon arbre me tient compagnie

 La lumière du soleil rentre la maison

l'atelier plutôt la porte toujours ouverte

les gens passent,

sensibles à la régularité de ma présence au travai,

on rentre, on me dit bonjour

les petits enfants plein de contes de « faits »

 Viennent visiter la drôle de gardienne

Baba  Yaga de l’Ouracq

 ou envoie le ballon afin de pouvoir gentiment le récupérer

leur tête dans les livres.

 

Certanes gamines que j’ai vu grandir

 Viennent me saluer,  me présenter les copines

 les fréres,  la sœur, la mére...

 

Et je pourrai vous raconter

mes aventures amoureuses chez Aldi

 avec mon auxiliaire, nous nous régalons,

 ce n'est plus à ma portée,

 je crains avoir suffisamment ramer au tour du monde de la complexité masculine

J’ai prie la retraite il y a longtemps

L’ami Barthes disait  dans son « Fragment du discours amoureux » ,

«  le sexe ne reste plus à la même place, il grimpe au cerveau. »

 Avoir prie ma place dans mon abbaye du silence

de mon atelier des Estérel à Paris.

Enfin  repartir le cœur en goguette vers vos images et vos écrits; 

 

Peu d’images, je ne sais toujours pas passé mes photos de mon Smartphone sur mon ordinateur,

Mon combat  est là, malgré les « défécations de ceux

Famille ou amis,  des poudres d’escampette de l’éternelle handicapée

 

J’ai la grâce de quelques sourires dans la piscine

La lecture.  Du premier jet fut faite  un peu de correction

 

Baisers à vous tous mes chers lecteurs.

 

Frankie Pain de la  Mangou

 

Echo au rouge de Gine de son jardin d'ailleurs c'est peut être d'Elle


Mon amour du zebre me vient des braizure de ma chère mére n'ayant pas trouver mieux pour combler son vide d'époux   de la guerre d'Algerie ,

 n'étant pas couturière malgré les talents de sa mère elle me zébrait de coups

photo de JJ44



Ma Garonne sous le pont de Pierre ou de Pierres


Merci à ceux qui se reconnaisent et mes emprunts Elles racontent

 mes amours

  les histoires illustrées


Frankie Pain de la Mangou, je ressemble 

aujoud hui plus à Elle

 

 

14 commentaires:

  1. La cataracte ne favorise pas les touches usées de mon. Ordi après trois d absence
    Oui c est affreux
    Faut lire vite et il y des mots qui resteront
    C est trop drole
    Baisers a vous tous et toutes
    Frankie

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  2. Réponses
    1. Je pars rendre visite a toi et tes créations blog
      Merci de ton charmants humour
      Les mots pour le dire t échappent.
      Ne jamais plus parler comme avant .
      Heureusement la mémoire des auteurs lus et d autres a' découvrir tendres baisers JJ44
      Frankie

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  3. Si vous n avez pas regarde la grande librairie regarder en replay si vous êtes amoureux des livres et des écrivains.
    Baisers a vous toutes et tous. De la joie a l état pur un diamant de partage de respect' d amour pour cette chose si merveilleuse qui nous fait naître une seconde fois et bien d autres fois encore.
    Vive la littérature .la poésie la musique et la chanson et bravo a cette transmission telle la flamme olympique des mots. Bravo et merci encore François Busnuel.

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  4. Te revoilà et en bien meilleure forme. La veine de l'écriture n'était pas tarie et c'est un plaisir! Amicalement

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    1. Belle intuition entre nous
      . Ton mail est arrive j avais vu ton mot. Les amoureux des belles choses ne peuvent que se recroiser.
      Ton jardin est deja aux dalias. Incroyable

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  5. je suis contente de te retrouver , je m’inquiétais de ce long silence... mais je suis de moins en moins présente aussi.

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    1. Ma chère Josette' si on aime la presence des amities blogeuses' un moment une me dis ta vie est trop grande souffrance'
      C est trop lourd.

      Quand l agonie est courtisée par tous ceux soit disant aimants mais il largue les amarres pour le grand large.
      Je ne pense pas que ce soit ton cas mais la difficulté de grands deuils c est pas un abécédaire.
      Il y a des phases différentes au début c est une sorte d amnésie

      "Soleil noir" de Julia Kristeva est un grand guide. C est une grande psychanalyste Lacanien très investie dans sa recherche .
      Romancière aussi
      . Elle a écrit des beaux textes aussi sur les oeuvres de Marguerite Duras
      Colette etc...
      Tu dois certainement la connaitre

      Un pas et un autre et chaque instant du jour comme une vie entiere

      Je t embrasse tres fort

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  6. Oui cet inachèvement de l'absence est bien pesant...il faut réapprendre à vivre alors que l'en-vie n'est plus.

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  7. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  8. Que se passe t il ?
    Vous pouvez ecrire ici

    Les mot sont

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  9. Les sont.pas toujours en haut de l échelle du sens.
    C est nouveau d ailleurs j invite a continuer sur le.blog

    On ne voit pas beaucoup vos commentaires ca vous ne.prenez pas de risque pour vous.

    J avais quitter pour de grande implication sans trop de chinchila ailleurs
    Devrais.je déjà reprendre la valise des mots

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  10. Frankie Pain particulierement heureuse d apprendre que beaucoup s étaient désinscrite difficile de reprendre la plume.
    Salut pour longtemps.
    Je n ai pa ete edite aux nouvelles littéraires. Je pense de toute maniere qu il ne restetont pzs lo.gtemps.
    Celle editee parle dee sang de caillot comme quoi il semblerzit qu aujourdhui faut ecrire sur un champ de bataille du quotidien . Un homme une femme .quand on voit que l on crie pattout la maltraitance entre homme et femme

    Nous avons beaucoup perdus a cette nouvelle quinzaine litteraire

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  11. Un ptit coucou que j'espère le plus rafraichissant possible, en ce lundi canicule, l'air de rien.
    bisous
    jj

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