Suite Bécassine et Cayenne

Tout reprendre,

 J’ai trop grillé les tartines,

c’est perturbant cette affaire

les flics,

-     Tu parles tout seul ?

-     Je suis inquiet Bécassine,

 nous sommes des hors la loi.

-      C’est pas vous qui avez voulu me noyer !

-     Non : temoigner

 prevenir

soit l’état gendarme

soit l’officier

 en lien avec ton papa là bas à sa guerre.

-     Le capitaine là où j’habite au monastère à Nantes.

-     Petit déjeunons et nous prenons le train.

- Aujourd’hui?

- Nous avons plus de sureté

 de le trouver chez lui.

-Je joue avec son fils à l’école. Il est gentil.

 

Comment vous appelez vous ,

-     Marin

-     T’habites avec ton prénom alors.

-     Si nous commençons quelque chose,

 nous devons être dans les clous.

-     Comme papa tu parles, il dit :

« que la route même ardue est plus droite , ainsi ».

Il en sait quelque chose… oulalalala

-Tout peut nous séparer.

 

-     Je sais. l’internat me fait pas peur,

 Moin que  cette mère hi hi hi

Mer à la mère, non le contraire.

 

Le train, la traversée du parc de Nantes, le Capitaine.

- Bécassine

Ils sont là

 

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Frankie pain de la Mangou

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