- Epilogue deuxiéme partie
L’autre point noir ;
- Dirions-nous une crise d’adolescence ?!
- L’apparition de ces points noirs
- Abigaël ignore ce qu’est l’adolescence. Fugueuse 0 3ans et demi. La mère mettait sur ses seins de la queue d’artichaut cru. Elle qui courait après sa mère son petit banc et au pied de la mère elle lever son chemisier s’attrapait un seil et l’autre elle allait rangé son banc bleu et elle remontait la petite rue du village et en marchant elle faisait ce fabuleux rot. Elle n’avait eu guère l’épaule de la mère pour çà alors rroter au vent c’est plus musicale au milieu des oiseaux qui jouent avec elle et vole tout prés.
- Quand la mère eut mis la queue d’artichaut elle fit son sac , décida de ne plus remettre les pieds dans la maison de la sorcière qui voulait l’empoisonner. Dans la ferme des grands parents elle fut charmantement accueillit et son papa venait la voir dés qu’il avait le temps.
- Elle adorait s’échapper là où c’était heureux joyeux et où elle comprenait qu’elle avait sa place.
- Le point noir qu’Abigaêl veut aborder ce sont les auxilaires de vie..
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- Pour l’heure de cet épilogue ce serait les auxiliaires de vie. Elle aimerait écrire la phrase Elly Hillesum « Une vie bouleversée »
- - « On voudrait être un baume versée sur tant de plaie »
- Beaucoup d’auxiliaire de vie viennent de pays où il y a eu des guerres, des famines. Elles avaient franchi beaucoup de difficulté pour arriver en France des lointains qu’elles revoient de temps en temps pas si souvent, le voyage coute cher… Abigaël est dans de très bonnes dispositions pour les accueillir, les recevoir et participer même aux tâches à accomplir..
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- Pas çà du tout. Leur situations, elles le vivent mal, elles ont envie de partir aussitôt la porte franchie.
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- Un atelier d’Artiste, c’est quoi ce musée ???? Elles n’y comprennent rien ;
- des murs recouverts de livres . des armoires comme chez les flics remplis de dossiers de toutes les couleurs
- c’est çà que change chez elle .
- La loge de bain des toilettes dans les deux sens du mot des tenues : été automne hiver et toutes les saisons déployées. elle est folle.
- Si elles connaissaient Vivaldi elles écouteraient les saisons toutes posées les unes sur les autres.
Un lit médicalisé et autour encore un bureau plus grand avec une machine à coudre des vieilles boites à couture d’autan une en bois l’autre en tissu des années 1930 remplis de fils de toutes les couleurs.
Où est Abigaël l’handicapée avec ses cannes anglaises ses cris qui scandent se lever et ses assise . Comment ranger nettoyer, comment se cacher pour téléphoner prendre du bon temps. elle est partout elle pose ses ouvrages personnels et participe aux autres avec elles
Abigaêl les guide
Le probléme c’est que tout est mesurer po.ur remplir le cotât temps ça ne va pas… sauf pour certaines.
Alors on commence à lui chercher les poux, les cmportements bizarres ; elle répète et après elle bégaie, dans son travail les répétitions sont tout autre et devoir répéter des choses simples à retenir pourquoi repéter 5 fois. De l’inattention.
Nous ne developperons pas . une voisine a du aller voir une psychologue et un psychiatre qui lui donner des antidépresseur. Un autre voisin qui en pouvait plus on lui donnait des neuroleptiques pour le calmer…
On ajuste les gens à leurbesoin.
Abigaël est contente d’avoir beaucoup travailler dans des monde différent. Monde où on lui faisait confiance où même on lui envoyait les cas difficiles. Heureusement. Elle ne doutait pas d’elle malgré la volonté un auxiliaire ancien dealeur et prenant de la coccaïne quand il était en manque ou sous cocaïne le comportement était impénétrable , il poussait à bout la personne sans rien faire d la tâche pour laquelle il se trouvait là ce qui est fou quand vous avez trois heures pour l’équilibre de votre vie de son rangement dans l’atelier d’Abigaël rien ne bougera .
Lui quand Abigaël râlait , il disait vous me faites penser à ma mére et ce n’était pas joyeux. On sentait l’adolescence partout chez lui ;.. ;etc
Pour une autre, vous être sa capricieuse comme sa grand-mère au début c’est cool mais après c’est la petite fille qui prend le dessus sur la grand-mère. C’est pas rigolo du tout et quand le caprice d’Abi c’est la complexité d’une opéation à 75 pour cent ratée.
Abigaël ne pensait pas à quel point ces situations étaient très projectibles transferentielles et suivant la personne que chacun représentait pour l’autre, les handicapés ou les êtres en manque d’autonomie
: dar dar bobo. Et compagnie……ses consequences
Parfois deux heures vous oblige à aller dormir 3 heures pour récupérer..
- Vivre l’invraisemblable, Abigaël a connu , ce n’est pas fini.
- D’une maison à une autre Abigaël découvre l’art de mener à bien les heures. pour d’autres comment en faire le moins possible.
- Ce sujet devrait faire l’objet d’une étude socio, geo politique. Il y aurait raison de faire évoluer l’aide àl’ handicapés avec une autonomie restreinte. Sans situation à peter pas d’avoir mangé des haricots, mais des fonctionnements : des concepts baobab dans la creux de la main. Des pifs plus puissants que des créateurs de parfum. Des attitude d’hystérisassions tant le non vouloir être là monte vite dans le simulacre de ne le pouvoir et d’en être malade.
Suite après la relecture du tout
Frankie Pain de la Mangou
Droits d’autrice réservés
autre version
Mon dernier atelier d'écriture sur le roman
avant l'accident j'ai 25 kilos de moins;
j'ai oublié le non de la créatrice;
je chercherai aprés je suis fatiguée
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- c’est un passage clé de la vie , tellement clé qu’il y en a à 55 ans qui y sont encore.
- Et de temps en temps le miracle un de mes voisins ils l’ont mis sous neuroleptiques tant ils hurlaient après eux et elles. Un autre voisine a demandé une psychologue et de se faire mettre sous antidepresseur tant dans le là haut de sa tête cela faisait àvlongueur de temps des catagnettes.
- Abi tient . chaque matin avant sa gymnastique une heure de yoga pour nettoyer les ailes de ses deux hémisphéres cerébraux et ensuite la gym quotidienne pour enfourchér un certain nombres de tâches et gerer l’organigramme des actes à partager.
- Ca grimace. Ca se rebelle . certaine ne supporte pas être commandée.. dans es nombreux métiers Abigaêl a du organisér ses salles de radio. Ou ses ateliers therapeutiques , ses rendez vous et compagnie. Tout était nickel le chrome sans saignée et desir de se suicider. , des crans. Des attitudes d’Aîkido ou de samouraï.
- Si quelqu’un veut s’y mettre je m’associe.
- Il serait necessaire de réenvisager la formation ; et cela se passerait naturellement comme tout soin au service du patient.
- Les salaires sont faibles et parfois des avantage budgétaire pour le staff. C’est encore à prouver.
- Sujet chaud à deployer au plus vite.
- Ce metier se developpe chaque jour d’avantage.
Le cancer est en résilience. Tout fait dodo les contrôles des points d’éveil de la bête une fois tous les 6 mois.
Notre Abigaêl à repris de ses tavaus plus enseignante et metteur en scene .
Elle souhaiterait jouer « Ô les beaux jours » de Beckett avec Olivier Pi en metteur en scène et pourquoi pas l’homme en bas du monticule où se trouve la dame.
Beckett demande de respecter les « dédicestalies ». Abigaël ne pense pas se tromper.. Tout sera dans les arcs de voix je lui fais grandement confiance.
Avec à la Direction du théâtre du Chatelet. Rêvons Grand.
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La fatigue est terrifiante et.les pluriels pas marques de s. J ai du stopper en pleine
RépondreSupprimerécriture pour accompagner une auxiliaire c est un texte généralement perdu les textes n aiment pas les coits interrompus
Quel le tristesse ces blogspot sans commentaires. Ça fait gagner du temps . C est a l image de notre societe
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