Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
dimanche 24 juillet 2011
Elle PORTAIT UNE PETITE JUPE PLISSÉE BLANCHE.
oui, mais ce cheval est un cheval de Troie, 120 PERONNES ET...
LA LUMIERE JAUNES DES PLUMES DE CETTE OISEAUX POUR TOUTES SES âMES et TOUTES LES FAMILLES
chanter les priéres
danser la mort d'Orion CHEVAL DE TROIE EN ithaque
je devais écrire ce soir , je n'ai pu que dériver vers cette île.
Elle PORTAIT UNE PETITE JUPE PLISSÉE BLANCHE.
Elle m’a invité à une grande réunion sur la paix dans le monde nous avons prie le bateau à OSLO, l’ambiance était joueuse , tous voyageaient pour des vacances, les grands festivals de musique comme çà avait lancé par les année 70 .
Les gens sur le bateau s’échangeaient de couleurs : violet, vermillon, vermillon frais ;
Ma petite fille avait mis des perles roses fushia dans ses cheveux , elle allaient de groupe en groupe et exécuter des pas de danse - que seule elle a le secret- sous quelques rythmes jetés sur la guitare qui ne s’était pas oublié sur le quai.
Sur un banc, je terminai mes marionnettes, je devais faire des propositions à Chantal qui nous rejoindrait un peu plus tard à Helsinki.
Et la radio sur le pont: " "
Nous, la nouvelle du massacre sur l’île où nous devions aller mais les places étaient en attente, et nous avions dormi sur un couchage d’appoint comme on adore faire quand on voyage surtout quand on se rapproche du pôle Nord où les nuits sont si longues.
La petite n’a pas tout compris mais vue la tête de tous sur le bateau, atterrés, figé , à se regarder les uns les autres comme l’araignée posant ses files nous pour sa proie mais pour tisser des liens solides.
ELLE A pris la poupée que je terminais l'a mis dans sa main
Karamallove chouchou, de Skotoprigonievsk
Les frères…
Elle avait enregistré quéquechose
Les prières s’élevèrent d’une langue d’une autre les guitares reprirent les accords,
Les briquets s’allumèrent.
la petite :"Pourquoi tout d’un coup tout a casé, , on dirait un tonnerre, tonnerre qui est tombé,sans éclair ou de mille éclair qu'on a pas vu le feu, qu’un cheval est mort et c’était l’étalon du haras.
LA GRAND Mère:
"C’est un peu cela ma petite fille? sauf que le cheval était un cheval de Troie"
LA PETITE
"Pourquoi quand tu parles on aurait envie d’ouvrir un dictionnaire pour comprendre mieux."
LA GRAND Mère:
Je ne sais pas comment t’expliquer, c’est très grave !
Le bel étalon Orion si on le tue c’est tous les petits bébés qui naîtront plus et pour moi c’est être très triste, alors tu peux l’être c’est un peu comme çà.
LA PETITE
Je vais chanter la mort d’Orion je ressens tant de choses dans mon corps çà me fait mal
LA GRAND Mère:
Oui, c’est JUSTE TA DOULEUR, on RESSENT BEAUCOUP MÊME SI ON NE SAIT PAS TOUT , danse , danse, nous chantons, nous sommes tous ensembles.
La radio
"Toute personne capable entendre d’écouter son prier de se présenter nous en avons besoin pour attendre l’arrivée des équipes nous nous déroutons pour porter secours.
LA PETITE
Tu vas y aller, ton papa aussi,
LA GRAND Mère:
Le bateau reste au large, nous reprendrons le bateau quand les secours seront là.
LA PETITE
Je vous accompagne,
LA GRAND Mère:
Non, c’est pour uniquement ceux qui peuvent soigner.
Par contre ici, avec ta sœur sa guitare tes amis et tous ceux qui restent à nous attendre chanter, danser, votre force, votre énergie fera l’effet papillon
Ah ! Oui je connais j’ai vu le film. FRISOUS ; bisous
JE CITE
AUCUN RAPPORT
L4ASSOCIATION DES SONS
DES SENS LOINTAINS
Frères Karamazov (en russe : Братья Карамазовы) est le dernier roman de l'écrivain russe Fiodor Dostoïevski. Il a été publié sous forme de feuilleton dans le magazine Ruskii Vestnik (Le Messager russe) de janvier 1879 à novembre 1880.Les Frères Karamazov est un roman philosophique qui explore des thèmes tels que Dieu, le libre arbitre ou la moralité. Il s'agit d'un drame spirituel où s'affrontent différentes visions morales concernant la foi, le doute, la raison et la Russie moderne. Dostoïevski a composé une grande partie du roman à Staraïa Roussa, qui est aussi le cadre principal du roman (sous le nom de Skotoprigonievsk). Au début de l'année 1881, Dostoïevski songeait à donner une suite au roman, dont l'action se déroulerait vingt ans plus tard[1]
Ses citations
«Il existe des gens bons et honnêtes qui ne possèdent même pas un morceau de pain, alors que les richards les méprisent en les appelant des "fauchés".»
[ Luben Karavelov ] - Est-ce la faute au sort ?
«Il y a toujours une raison qui oblige l'homme à faire le mal.»
[ Luben Karavelov ] - Est-ce la faute au sort ?
«Un besoin naturel pousse l'homme à vouloir goûter au progrès et à rechercher la vérité.»
[ Luben Karavelov ] - Est-ce la faute au sort ?
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Très beau! L'actualité t'inspire , on dirait?
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