C’est un peu long
Vous ferez vos propres coupures et vous y reviendrez
plusieurs fois si cela vous sied bien sur
Comme ce sont vos vacances et en plus mon ordi est en train d’agoniser alors il vaut mieux par commodités faire ainsi.
Merci de votre compréhension cher lecteurs et lectrices.
Fin de la dernière phrase de la première partie de
l’épisode 3
qui avait
d’un collier de dents de lait pour tous les hymens qu’il avait sabordés. Il les
achetait sur des brocantes et quand le voile immaculé passait par sa
grand voile, il faisait sertir une dent de lait sur une monture d’or 24
carats et la rajouter à sa série de dents de lait sur sa
chaine d’or qu’il adorait exhiber avec détail à la clé de sol.
Le pirate impressionnant son sourire édenté et
son collier de dents de lait.
Alain se disait que ses techniques d’abordage à la hussard ne
serait pas convenable pour son embarcation pour Cythère et la « transe
sibérienne » réunies. Il va falloir relooker sa carlingue d’acajou vernis , en buis poli,
lustré par les milliers de prières qu’il fit pour attendre sa Dulcinée, dans le vent des alizés comme d’un moulin à
prière tibétain. Qu’il fouine, fouille dans le subtile. Autrement le 52 jours de mariage par an il
s’en mordra le nœud.
Alain trouve le concept d’Odette des 52 de
jours de mariage par an une aubaine. Pour elle aussi, certainement. Une femme
après tant d’année de célibat sait que l’on ne peut plus vivre pour le bonheur
de quelqu’un quand quelqu’un s’est jamais préoccupé du sien, sur tant d’années. Les moments avec Odette
seront aussi complexes en dextérité et
attention que la navigation au Cap Horn.
Ce qu’il met en promesse, il s’y tient toujours. A part qu’il a commencé
par une borde monumentale. Dés que la peur arrive au caleçon , le corps agit en
pire matcho , il l’a remarqué chez lui , et chez tous ses pots. Pour eux faire le tour du stade avec le
flambeau olympique n’est pas un soucis,
il le tienne là aussi tous le flambeau là champions champignons annamite phallusoïde.
Il éclate de rire. Odette sourit. Elle était rassurée, la petite machine intérieure d’Alain carbure : « un tigre dans sa
cabessa ». Un homme qui pense à la relation c’est le O gagné du « Oui » qu’ elle dira.
Et Alain de flipper comme une drisse lâchée
dans le mistral qui fouette l’air. Est-ce qu’à son âge il a envie de repartir
en apprentissage avec son ancienne
déesse des slipping.
Vrai qu’elle était restée longtemps en tête de
son hip parade , l’antenne caleçon tient
bien les comptes
et à
l’annonce du oui, dans le bonhomme, toutes les cases avaient noté aucun obstacle.
Odette est mystérieuse sous cet hospice le
silence, il ne la connaît guère. Ses années de parisienne l’ont changée. Avant son oui était acquis par
un sourire.
Son baiser, il se l’est cherché : accroche
« aldente » sans laisser la place d’une réplique bien empoignée par le dos dans l’enclave de
ses bras, je bats le « Jean Michel de Touche pas à mon poste, sur la 8 »
. Un vrai ferreur « de ferrer
le poisson » poissonne ou polissonne . C’est en déterminant
ce qu’elle est pour lui que il l’aura ou
ne l’aura pas .
Là, malgré mon âge avancé il est fort confus.
L’évidence au règne de l’autre dans sa vie . Rare.
Alain pour sortir de son carcan dont aucune
proposition de conversation sort de la jolie
bouche de son « Odelle carpe », se dit « allons prévenir les compères du
changement dans l’heure des cérémonies. Les toilettes s’est parfait pour ne pas vendre la mèche ».
Odette fixe l’estuaire.
Le skipper est guilleret.
A son retour il réclame d’autres baisers. L’estuaire
pour Odette est plus salutaire que de se perdre dans des échanges de salives.
Pour s’offrir du silence, au paravent il devrait avoir échangé de belles notes alors s’offre de beau
point d’orgue. Les notes. Non .Les
baisers clôtures de bec. Une fois, oui, çà décharge les tensions, après c’est du compulsif, Odette ne veut s’entrainer sur une - savonnette patinoire lac
gelé en Finlande-, sur un état d’amour pour 52 jours l’année après tant d’années.
Royan .
Odette décide de ne pas monter dans l’ambulance
, elle marche sur le pont. Poser les
pieds en Charente Maritime, après un si grand voyage pour retrouver sa terre
natale . Ca ne se partage pas.
Le temps de débarquer. Pas d’adieu en vue. Bon se
dit : « Odette ce sera aussi parlant que cette longue attente, tant mieux, tant pis.
Sa vie est à un virage. Celui là il ne faut pas le rater. Avoir les coudées
franches. Pourquoi se perdre dans la névrose de l’autre et toucher à ce
patrimoine acquis avec tant de remise en question ? De vagues de fond de
la solitude., la perte de son métier, le compte goutte des rôles. La descriptions de profil toujours plus jeune, s’
ils (les gens du show biz) pouvaient
faire jouer des fœtus, Odette croit que
ce serait parfait pour eux.
« stop ! » se dit Odette
« supposer l’autre n’est pas le respecté. Simplement est-il au stade de la
conscience de l’autre ? La mer, la
mer, les femmes fans, la mer, les potos les équipes les compétitions plus de
présence masculine ……
Alain
Odette , tu te prends quelques choses et un
drap blanc. On y va !
Pause
Je t’ai
garé prés du poste de police ainsi tu n’as rien à craindre.
Odette
Allo, allo Alain , je prends la route.
Alain
Non ! C’est pas
possible ?
Odette
Je t’ai offert ce temps
, tu l’as choisi sans moi .
pause
Ce bac était celui que
je devais prendre, c’était sympa de m’y accompagner !
Alain
Tu n’as pas prévu que
l’on passe la nuit ensemble ?
Odette
Non . Pourquoi
çà se fait ?
Alain
Ben oui.
Odette
A paris
le maximum : c’est toujours trois heures .
Alain
Moeurses parisiennes ? ! C’est pas la
France entière, ni le monde sur toute sa surface. J’ai
Odette
Nous avions le trajet
(pause).
Nous sommes des
adultes. Nous n’attendons pas la fin pour se dire l’essentiel. J’ suis pas en
vacances, c’est mon dernier défit, j’ai la trouille de repartir en arrière, je
suis superstitieuse. J’ai peur, Alain. Cette attente de trois heures m’a
fragilisé.
Alain
J’ai préparé une fête
pour Nous, j’ai invité quelques copains pour célébrer notre mariage de 52
jours.
Odette
Oh ! c’est trop mignon .
Pause
Tu as mis la charrue
avant les bœufs. Ce fil nouveau tendu vers l’un et l’autre si ténue et
célébrer ! Dans les religions, il y a la quarantaine. Après un deuil. Je
suis en deuil Alain. C’était déjà tout un monde pour moi que de me laisser
aller à un petite légèreté vers toi.
Alain
Nous allons rattraper
çà .
Odette
Une blague à plat ne se rattrape pas. L’enfer est pavé de bonnes
intentions .
Vieillir Alain, c’est savoir. Pour tout le reste on a toujours nos
15 ans.
Alain
Et alors tous mes
copains qui attendent.
Odette
Vas les rejoindre ,
pour garder la face tu diras : que je suis une femme timide.
Alain
Oui, je t’ai fait
rentrer dans la baraque par derrière je te
rejoindrai après le repas de nos petites noces . et je t’aurai les plats et dans l’entrebâillement
de la porte tu entendras Lubat, Michel Portal et quelques autres moins connus
mais aussi doués, . Mélusine , je
me rappelle , elle ne se montre jamais.. Dans la baraque du bucheron face à une
lagune, une rangée de pins et l’Océan.
Odette
Merci Alain. C’est trop
chou mon « machemellove chouchou », « karamellove
chouchou », .
Vivre sur une corde
raide te fait perdre le jeu dans ta vie. Regagner cet espace, c’est mon vœu le
plus cher,
Alain
commence maintenant !
Odette
Argument fort. Bravo. J’applaudis.
Alain
Savoir lire les kernes
sur le chemin et atteindre le sommet.
Odette
Nous n’avons pas les
pieds sur la même terre. Rien contre toi, c’est la circonstance.
Alain
Dans notre tombe nous
n’aurons qu’une circonstance : se faire bouffer par les verres.
Dans 10 ans, qu’est ce
que cela sera une nuit avec un mec
plutôt sympa qui t’a préparé une fête ?
Odette , reprends la
vie dans le bon sens, traverse avec moi l’estuaire pour ma
guinguette dans la pinède. (Temps) Et
si nous ne sommes pas prés pour se toucher, de trop prés , cette nuit, nous en aurons 51
encore pour la célébrer par nos corps.
Le bac appelle les retardataires.
Alain commence à
partir. Il ne veut pas se retourner. Il est toucher par le refus d’Odette.
Alain à lui même
Mon copain, le Marquis de l’Orée avait raison : « La
violence du désir comporte une part de répulsion et de mépris qui ne
sont pas très éloignées du sentiment d'admiration, nommé couramment et de façon
assez stupide : amour. » : Avant-garde sensualiste pratiquement
défaite ou hédonisme lunaire bien tempéré. »
La mariée des 52 jours sera une ellipse.
Odette au volant , met France culture. La
symphonie pastorale. Quelques notes. Une énergie puissante la surprend dans le
creux de ses reins. Et elle ferme la voiture. Un châle de cachemire autour des
hanches , un dans son sac à dos du nécessaire , toujours prêt. Elle prend la
direction du bac. Se dirige de l’autre
bord qu’Alain pour sa montée. Il est
plongé dans ses pensées. Il grimpe à la place de l’autre traversée, regarde en
direction de l’ambulance qui est toujours à la même place.
Aprés un moment , il entend la voix
d’Odette . comme le chuchotement d’un ange.
Rire ou pleurer, mais que le cœur
Soit plein de parfums comme un vase,
Et contienne jusqu'à l'extase
La force vive ou la langueur.
Avoir la douleur ou la joie,
Pourvu que le cœur soit profond
Comme un arbre où des ailes font
Trembler le feuillage qui ploie ;
S'en aller pensant ou rêvant,
Mais que le cœur donne sa sève
Et que l'âme chante et se lève
Comme une vague dans le vent.
Que le cœur s'éclaire ou se voile,
Qu'il soit sombre ou vif tour à tour,
Mais que son ombre et que son jour
Aient le soleil ou les étoiles...
L'ardeur d’Anna de Noailles
Alain dans sa grande carcasse se sente visiter d’une hallucination, il n’ose bouger. Le capitaine attendant le feu vert de la capitainerie pour la voie de l’estuaire, se promène sur la plage avant, devant son habitacle.
Le capitaine
Vous voilà encore les amoureux !
Alain sourit largement au capitaine , se retourne , là, où la voix s’entendit. Odette à la yeux plein de larmes, d’une extrême nudité d’être dévoilée de son changement de bord. Alain est tout bêta aussi . Le capitaine est aux manettes.
Alain
Quoiqu’il advienne, Odette soyons à l’aventure de ta belle décision. Merci. Ma ronde Odette, je souhaite pouvoir être aussi courageux que toi. Il l’a prend dans ses bras. Merci de ce poème, il m’a parlé de toi , je savais bien à qui j’avais affaire et ma peur était grande.
De Françoise Pain La Mangou
Dans quelques jour le quatrième épisode
Je remercie le marquis de Orée pour m’avoir prêté sa phrase
Ainsi que Josette de sa cachette pour m’avoir autorisé à utilisé le poème de sa son billet de Jeudi dernier
en route pour le 4eme épisode
bye bye see you soon and good hollydays
Frankie Mappemonde
Bon, je me suis dis, "ça part mal. Je vais pas tout lire". Tu parles! Scotchée jusqu'au bout. Merci!
RépondreSupprimertu es courageuse , et merci de avaler d'un seul coup, je vous avais laissé de faire vos propres coupures . bravo et pour moi c'est un super retour car on doute toujours. belle journée à toi
RépondreSupprimerbonsoir Frankie... une pause avant le repas des fauves m'a permis de lire et surtout d"apprécié cet épisode,
RépondreSupprimercomme Gine je suis restée scotchée...les patates attendront que je sirote et me délecte de cette belle Odette, une belle chute clos ce chapitre. MERCI de partager ta belle écriture
je t'embrasse et j'espère lire la suite avant mon départ pour l'ouest où je serai isolée de l'ordinateur jusqu'en septembre...
je devrais éditer sur le week end autrement je te la garderai au chaud
RépondreSupprimercar çà va être chud bouillant comme on dit aujourd'hui
si on ne se croise pas gros bisous
quelques soucis d'ordi baiser et à bient^to ravie que tu es apprécié
J'ai pu rentrer ce matin sans être bloquée.
RépondreSupprimerDu coup j'ai bien pris le temps de lire, en entier aussi car, quand on commence on a du mal a s'arrêter.
J'espère que ces 52 jours qui commence vont être une fête.
Odette a pris la bonne décision.
Il faut partir à cheval pour le 4eme épisode ?
Ca me convient très bien.
En route alors.
Je t'embrasse bien fort Mappemonde.
Belle journée
et bien le cheval de Troie t'a laissé entrer j'en suis ravie , je rame avec l'ordi
Supprimermerci de ta venue
je travaille hors de ce vieux clou l'écriture , oui je suis d'accord avec toi que ce soit une fête ils l'ont gagné
c'est la réflexion que je me faisait hier, mais je remarque que je suis souvent détournée par la décision
originel
bonne journée
J'ai tout lu aussi difficile de s'arrêter quand on est embarqué dans l'histoire. Bonne journée.
RépondreSupprimermerci ma chère Solange, alors rendez vous au 4éme merci de ton assiduité
RépondreSupprimerChère Frankie,
RépondreSupprimerDésolée pas eu le temps de te lire, et encore aujourd'hui je suis à la bourre. Mais promis, dès que je dégage un peu de temps, je reprends tous les épisodes. A tout bientôt.