Réminiscences sur oreiller en noyaux de cerises, dans les odeurs de
tilleul, le Médoc et ses quelques anecdotes « benaises »(terme charentais pour dire on est bien).
2
épisode
deuxiéme partie
le texte a été retiré
pour l'avoir
lamangou@yahoo.fr
pour l'avoir
lamangou@yahoo.fr
La Nini ne s’arrêtait pas
là en terme d’appropriation sa chère
copine avait écrit quelques lignes de la pièce avec nous devons le reconnaitre une
idée de départ efficace , soufflée par son fixe : le journaliste de VSD,
elle avait mis son nom en plus gros et
en premier sur la première page. Le toupet.
Le jour de la première elle n’avait fait venir aucun de ses amis,
elle avait tellement peur qu’il s’était enivrée à baver les répliques cela ne
suffisait pas : elle sautait des pans d’histoires la sans soucis de la
trame comico dramatique. Odette devait réécrire en direct pour
permettre l’effet prévu à quelques scènes après. A la fin elle fouetta un tel
souk que « les Marylin marron » furent interdite dans ce lieu.
La maison de Nini
prés de Monthalivet sous les pins avec dans la prairie du voisin de jeunes étalons en
liberté, le rêve de passer la pièce au
théâtre du Rond Point et bonne réception dans un théâtre bien en vue Bordelais rendaient les écrits plus faciles.
Le Jacques Roussel complément amoureux d’Odette qui ne
la quittait Odette d’une semelle, dormait chaque nuit avec elle comme un amant
très fervent. La copine picolait, fin de
soirée jacques Roussel et Odette ne
comprenaient rien quand elle lisait la
pièce. Ca Odette supportait très mal, elle n’avait qu’une envie finir les dernières corrections et déguerpir.
Odette plus tard tourna un film des Marylin marrons
avec un acteur qui jouait un futur
transsexuel pour garder les enjeux
et les conflits des personnages dans la pièce il s’appela Nono.
eglise de Vendaye
« Mais quand est-ce qu’il arrive le skipper , il
est pris dans la baïne* à l’océan ma parole, il me livre à l’assaut des
mémoires ,heureusement ce n’est pas nostalgique et il n’y a pas de feu sans
fumée , l’accumulation de coups tordus l’avaient amenée à ce dernier choix mais on n’abandonne pas une
femme qui a pris un décision limite c’est saisir comme un steak sur le grill
pas une macérade pour un civet de lièvre « de livrette en levrette oh
quelle horreur, c'est mal barré....!» Elle rigole, çà bouillonne et voilà encore
une vague qui assaille Odette.
* la baïne, les baïnes :
baignoires d’eau de mer qui se forme à la marée basse qui deviennent très
dangereuses pour le nageur car un courant menant au large déroute le nageur oublieux de la marée. Causes de nombreuses
noyades.
De Françoise Pain de La Mangou
mercredi vous pourrez lire la fin de cet épisode
et bonne semaine
Odette soleil couronnée de soucis...le regard vif au jugement certain, son sourire lumineux a disparu, le skipper se dérobe !
RépondreSupprimergros bisous Françoise
Je n'avais pas vu l'épisode précédent. Je me demande bine pourquoi ?
RépondreSupprimerSacré tempérament la Nini et ce skipper qui se fait attendre.
J'ai hâte qu'il rejoigne Odette dans son ambulance, sur son oreiller en noyaux de cerises.
Il me semble qu'il va y avoir des étincelles non?
Je t'embrasse bien fort Frankie.
Douce nuit
merci mes douce lectrice, y a du tempéremment en écoute, merci de votre attention... gros bisous et belle semaine
RépondreSupprimerCette histoire si bien commencer va pourtant bien finir, il va venir ce skipper, il le faut.
RépondreSupprimerJe viens de perdre mon commentaire, je disais que cette histoire si bien commencée, ne pouvait que bien finir il va venir ce skipper.
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