EN ATTENDANT EN VOS VACANCES OU EN VOUS JARDIN OU PLAGE JE VOUS SALUE Très CHALEUREUSEMENT
photo de frankie
George Bernard Shaw
On ne s’arrête pas de jouer parce qu’on devient vieux; on devient vieux parce qu’on s’arrête de jouer.*
Adolphe Pictet
L'huître se vante et dit : Je n'ai jamais erré ! hélas ! pauvre huître ! c'est que tu n'as jamais marché.
(Une course à Chamounix, p.181, Benjamin Duprat, 1838)
Pas de bruit dans la nuit, sauf les fils de soie et mes pas sur l'herbe morte. Le ciel étoilé était silencieux. Et soudain une étoile filante. Non, ce n'est pas vrai. J'ai dit ça parce que j'aurais aimé en voir une, ce soir-là.
Hubert Mingarelli (Une rivière verte et silencieuse, p.30, Points/Seuil n°P840)
L'intelligence, dans la nature, ce n'était qu'une pauvre petite lueur qui devait nous guider dans l'accomplissement des actes quotidiens. Nous lui avons donné, peu à peu, trop d'importance. Et nous sommes comme serait un homme qui porte une lampe dans un souterrain à la recherche d'un trésor. Soudain, la lampe fume, ou flamboie, ou ronfle, ou crépite. Alors, il s'arrête, il s'assied par terre, il fait monter ou descendre la mèche, il règle des éclairages. Et ce travail l'intéresse tant qu'il a oublié le trésor, qu'il finit par croire que le bonheur c'est de perfectionner une lampe et de faire danser des ombres sur un mur. Et il se contente de ces pauvres joies de lampiste, jusqu'au jour où il voit soudain que sa vie s'est passée à ce jeu puéril... Trop tard ! La mort déjà le tient à la gorge. L'intelligence, c'est la lampe. Le trésor, ce sont les joies de la vie.
Marcel Pagnol (Jazz, p.86, Éd. Le Livre de Paris, 1974)
Paulo Coelho
1947
- [...] les bergers, comme les marins et les commis
voyageurs, connaissent toujours une ville où existe quelqu'un capable de
leur faire oublier le plaisir de courir le monde en toute liberté.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 16, Éd. J'ai Lu no 4120)
- C'est justement la possibilité de réaliser un rêve qui rend la vie intéressante.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 22, Éd. J'ai Lu no 4120)
- Quand Dieu parle le langage du monde, je peux en faire
l'interprétation. Mais s'il parle le langage de ton âme, alors il n'y a
que toi qui puisses comprendre.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 24, Éd. J'ai Lu no 4120)
- Les choses simples sont les plus extraordinaires, et seuls les savants parviennent à les voir.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 27, Éd. J'ai Lu no 4120)
- [...] tout le monde croit savoir exactement comment nous devrions vivre.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 29, Éd. J'ai Lu no 4120) photo frankie
- [...] il y a une grande vérité en ce monde : qui que tu sois et
quoi que tu fasses, lorsque tu veux vraiment quelque chose, c'est que ce
désir est né dans l'Âme de l'Univers.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 35, Éd. J'ai Lu no 4120)
- [...] parfois, les choses changent, dans la vie, en l'espace
d'un simple cri, avant même qu'on ait le temps de s'habituer à ces
choses.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 57, Éd. J'ai Lu no 4120)
- Je suis comme tous les autres : je vois le monde comme je
souhaiterais que les choses se produisent, et non comme elles se
produisent réellement.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 59, Éd. J'ai Lu no 4120)
- [...] ce qui séduit le plus les hommes, c'est la beauté.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 78, Éd. J'ai Lu no 4120)
- Je ne veux pas changer, parce que je ne sais pas comment changer. Je suis désormais tout à fait habitué à moi-même.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 79, Éd. J'ai Lu no 4120)
- [...] toute bénédiction qui n'est pas acceptée se transforme en malédiction.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 79, Éd. J'ai Lu no 4120)
- [...] il y avait dans le monde un langage qui était compris de
tous [...]. C'était le langage de l'enthousiasme, des choses que l'on
fait avec amour, avec passion, en vue d'un résultat que l'on souhaite
obtenir ou en quoi l'on croit.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 87, Éd. J'ai Lu no 4120)
- Dans la vie, tout est signe.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 97, Éd. J'ai Lu no 4120)
- [...] personne ne doit avoir peur de l'inconnu, parce que tout
homme est capable de conquérir ce qu'il veut et qui lui est nécessaire.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 105, Éd. J'ai Lu no 4120)
- À la vérité, les choses ne révélaient rien par elles-mêmes ;
c'étaient les gens qui, en observant les choses, découvraient la façon
de pénétrer l'Âme du monde.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 139, Éd. J'ai Lu no 4120)
- Chaque jour porte en lui l'Éternité.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 142, Éd. J'ai Lu no 4120) photo frankie
- Mais le vin était interdit par la loi.
" Le mal, dit l'Alchimiste, ce n'est pas ce qui entre dans la bouche de l'homme. Le mal est dans ce qui en sort. "
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 157, Éd. J'ai Lu no 4120)
- Il n'y a qu'une façon d'apprendre, [...]. C'est par l'action.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 170, Éd. J'ai Lu no 4120)
- [...] l'heure la plus sombre est celle qui vient juste avant le lever du soleil.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 179, Éd. J'ai Lu no 4120)
- [...] quand nous avons de grands trésors sous les yeux, nous ne
nous en apercevons jamais. Et sais-tu pourquoi ? Parce que les hommes ne
croient pas aux trésors.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 181, Éd. J'ai Lu no 4120)
- [...] lorsqu'une chose évolue, tout ce qui est autour évolue de même.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 185, Éd. J'ai Lu no 4120)
- En général, la mort fait que l'on devient plus attentif à la vie.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 191, Éd. J'ai Lu no 4120)
- photo frankie
- C'est quand on aime que l'on arrive à être quelque chose de la
Création. Quand on aime, on n'a aucun besoin de comprendre ce qui se
passe, car tout se passe alors à l'intérieur de nous, et les hommes
peuvent se transformer en vents. À condition que les vents les aident,
bien sûr.
(L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 197, Éd. J'ai Lu no 4120)
- Nous souffrons parce que nous croyons donner plus que nous ne recevons.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.11, J'ai Lu no 4385)
- Je me souviens de mon instant magique, de ce moment où un " oui " ou un " non " peut changer toute notre existence.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.16, J'ai Lu no 4385)
- Toutes les histoires d'amour sont semblables.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.16, J'ai Lu no 4385)
- Le bonheur est parfois une bénédiction - mais, le plus souvent, c'est une conquête.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.22, J'ai Lu no 4385)
- Il y a des instants magiques qui passent inaperçus et puis, tout à coup, la main du destin change notre univers.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.25, J'ai Lu no 4385)
- Celui qui est capable de maîtriser son coeur est capable de conquérir le monde.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.52, J'ai Lu no 4385)
- Aimer, c'est perdre le contrôle.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.54, J'ai Lu no 4385)
- Ce qui existe, ce sont les échecs. Personne n'y échappe. Aussi
vaut-il mieux perdre quelques combats en luttant pour ses rêves que
d'être battu sans seulement savoir pour quoi on lutte.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.77, J'ai Lu no 4385)
- Les dieux jettent les dés et ne demandent pas si nous avons envie de jouer.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.78, J'ai Lu no 4385)
- L'univers nous aide toujours à nous battre pour nos rêves, si
bêtes qu'ils puissent paraître. Parce que ce sont nos rêves, et nous
sommes seuls à savoir combien il nous a coûté de les rêver.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.81, J'ai Lu no 4385)
- Il est inutile de parler de l'amour, car l'amour possède sa propre voix, et parle de lui-même.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.101, J'ai Lu no 4385)
- Et le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.109, J'ai Lu no 4385)
- [...] la vérité se trouve toujours là où existe la foi.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.115, J'ai Lu no 4385)
- Nous sommes notre plus grande surprise.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.118, J'ai Lu no 4385)
- Un royaume divisé ne résiste pas aux attaques de l'ennemi. Un être humain divisé ne réussit pas à affronter dignement la vie.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.131, J'ai Lu no 4385)
- L'amour se découvre dans l'acte d'aimer.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.146, J'ai Lu no 4385)
- [...] lorsqu'un nombre déterminé d'individus évoluent, c'est l'espèce tout entière qui finit par évoluer.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.177, J'ai Lu no 4385)
- [...] le destin des montagnes doit être terrible. Elles sont obligées de contempler toujours le même paysage.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.191, J'ai Lu no 4385)
- Savoir qu'aucun jour n'est semblable à un autre, et que chaque
matin comporte son miracle particulier, son moment magique, où de vieux
univers s'écroulent et de nouvelles étoiles apparaissent.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.215, J'ai Lu no 4385)
- C'est une chose de penser que l'on est sur le bon chemin, une autre de croire que ce chemin est le seul.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.225, J'ai Lu no 4385)
- Les rêves donnent du travail.
(Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.248, J'ai Lu no 4385) - merci au fil des phrases où j'ai tiré ces graines de belles herbes des chemins pour le retour et comme j'ai fait un peu de route sur le chemin de Compostelle
- que j'ai choisi en référence à un de ses livres sur le chemin c'est Paulo Coelho
1947
belle journée demain
très tendrement votre
merci de vos commentaires
fFrankie mappemonde
Il y en a trop Frankie comment choisir, toutes plus intéressantes les unes que les autres.
RépondreSupprimerJe vais choisir Pagnol parce que je l'aime et que ce passage de Jazz est moins connu que d'autres.
J'aime bien la 35 aussi et d'autres encore.
Fiat attention tu dois avoir un cheval de Troie qui s'est introduit dans ton blog. A chaque fois que je viens mon anti-virus bloque un site malveillant.
Je t'embrasse bien fort ma Frankie.
Belle journée
Je suis contente de te retrouver Frankie? comme Mireille je prends Pagnol et...beaucoup d'autres.
RépondreSupprimerVivre c'est être dans l'incertitude de l'instant...
cette semaine de travail va te fournir encore de belles pages à venir
je t'embrasse
merci beaucoup de cette réflexion
Supprimerriche et pleine de savoir et de reflexion maturité maternité. Bisous
Bizzzzzzzzzzzzzz
RépondreSupprimerFrankie,
RépondreSupprimerles personnages viennent à travers l'écrivain, comme un futur Bébé ils se nourrissent de lui et prennent tout ce qu'ils trouvent nécessaire à leur propre vie. tous semblables, tous différents !
je t'embrasse et je te souhaite une belle journée
Je vais partir à la recherche de ce livre qui me plaira , c' est sur...
RépondreSupprimerMerci Frankie