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le jour où l'on sort sans son parapluie c'est là qu'il pleut à fondre, c'est pareil avec l'appareil photo quand il n'est pas là !
Sans mon appareil photo, cette semaine ayant la tête dans l’administratif.
Çà me pompe toute mon énergie , il y a des résultats ;
La vie sans appareil à continuer à faire ses
prouesses et que de photos inscrites que
dans ma peau .
Imaginez votre chère bloggeuse faisant son
marché à la Réunion
enfin marché de la Réunion.
On dirait que dans sa nuit elle a pris un avion
et il s’est posé dans un pays qui
ne se nomme.
Je m’assois au soleil question de reposer mes chers genoux, - ils digèrent mal avec mon grand âge mes années d’alpiniste et de championne d’escrime, et de danses sur les scènes de France et d’Europe. Ils se vengent sur la mémère en l’obligeant régulièrement à s’asseoir. Mais qu’importe nous jouissons du paysage humains qui nous entourent.- Là une très belle plante de femme me fait signe " venir m’asseoir sur un banc à l’ombre avec elle", j’opine d'un oui de tête , passe, dépose mon grand caddie déjà bien obèse de légumes.
Et après l’achat du poisson, je reviens . La belle dame à la poitrine protubérante aux yeux fournaise verte - le rayon vert-, au sourire endiablé de maline - coquine, avait hélé ses copines russes. Nous ne parlions pas la langue des unes et des autres mais avec les mains, nous avons tenue l’agora.
Elles ont toutes les trois pris des photos, elles n’ont tenu paroles de me les envoyer.
Regret d’avoir été trop précautionneuse.
Imaginez des belles joues aux pommettes bien hautes. des yeux plissés de sourires, un collier de perles noires en plastique bisoutés d’angles, plus angles, montées en triangle comme un tissage couvrant toute une poitrine.
Des parleuses ou causeuses avec les mains et nous avons devisé le monde par mains ininterrompues.
Nos ponctuations étaient nos éclats de rires. Et les gens qui commençaient à nous entourer tant l’image était belle à voir.
Je m’imaginais au cours d’un de mes voyages à l’Est d'Helsinki à la frontière russe où dans les
saunats sur le bord des lacs, les femmes Finlandaises et russes jouer à rallonger l’eau sur les pierres brulantes et nous nous tapotions avec les branches de boulots blancs, en suffoquant, avant d'être précipitée dans le lac sous des éclats de rires à faire trembler les montagnes s'il y en avait là bas. Heureusement, non.
Je m’assois au soleil question de reposer mes chers genoux, - ils digèrent mal avec mon grand âge mes années d’alpiniste et de championne d’escrime, et de danses sur les scènes de France et d’Europe. Ils se vengent sur la mémère en l’obligeant régulièrement à s’asseoir. Mais qu’importe nous jouissons du paysage humains qui nous entourent.- Là une très belle plante de femme me fait signe " venir m’asseoir sur un banc à l’ombre avec elle", j’opine d'un oui de tête , passe, dépose mon grand caddie déjà bien obèse de légumes.
Et après l’achat du poisson, je reviens . La belle dame à la poitrine protubérante aux yeux fournaise verte - le rayon vert-, au sourire endiablé de maline - coquine, avait hélé ses copines russes. Nous ne parlions pas la langue des unes et des autres mais avec les mains, nous avons tenue l’agora.
Elles ont toutes les trois pris des photos, elles n’ont tenu paroles de me les envoyer.
Regret d’avoir été trop précautionneuse.
Imaginez des belles joues aux pommettes bien hautes. des yeux plissés de sourires, un collier de perles noires en plastique bisoutés d’angles, plus angles, montées en triangle comme un tissage couvrant toute une poitrine.
Des parleuses ou causeuses avec les mains et nous avons devisé le monde par mains ininterrompues.
Nos ponctuations étaient nos éclats de rires. Et les gens qui commençaient à nous entourer tant l’image était belle à voir.
Je m’imaginais au cours d’un de mes voyages à l’Est d'Helsinki à la frontière russe où dans les
saunats sur le bord des lacs, les femmes Finlandaises et russes jouer à rallonger l’eau sur les pierres brulantes et nous nous tapotions avec les branches de boulots blancs, en suffoquant, avant d'être précipitée dans le lac sous des éclats de rires à faire trembler les montagnes s'il y en avait là bas. Heureusement, non.
Et, dans l’air, partout alentour, des grills ou
barbecues nous transportant la fête de l’Aïd
dans les narines. On se sentait en
Afrique, on avait envie de s’attabler, de partager, de fêter avec eux et elles la
fin du ramadan.
L' Invitation n’a pas trainée.
Sur le chemin de retour du marché :
palabres avec une saint Louisienne et sa Pitt bull Athena, bâtarde labrador adorable qui, elles aussi les narines retroussées pensaient à sa capitale du Sénégal : Saint louis.
50 mètres plus loin, les ouvriers des ascenseurs faisaient grillées des merguez et me voyant passer m’ont invitée à fêter avec eux la fin du ramadan.
Et quel régal du palais , après les narines excitées…
L' Invitation n’a pas trainée.
Sur le chemin de retour du marché :
palabres avec une saint Louisienne et sa Pitt bull Athena, bâtarde labrador adorable qui, elles aussi les narines retroussées pensaient à sa capitale du Sénégal : Saint louis.
50 mètres plus loin, les ouvriers des ascenseurs faisaient grillées des merguez et me voyant passer m’ont invitée à fêter avec eux la fin du ramadan.
Et quel régal du palais , après les narines excitées…
Dans une grande assiette, une voisine m’avait
déposé religieusement les gâteaux de fêtes sur la marche devant la porte de mon atelier.
Un jour sans appareil quand même !
J’espère que ces quelques mots vous traduiront
des images qui auraient du être là.
D’où mon recours au magazine n°1 et à un coin cher de mon atelier n°2.
D’où mon recours au magazine n°1 et à un coin cher de mon atelier n°2.
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Les
amis de la petite dernière née de la famille ainsi qu'une des chèvres du Marquis
de l'Orée en arrière plan
Dans
ma liste des blogs amis.
Le
doudou « Hérissonne » de Bellemana « p'tit Homs » et sa
ballerine cherida.... la serviette de mon cher Pays Basque pour être en
Harmonie avec la façade d'une maison d'Espelette (photographier dans un magasine de mon atelier) et ses chers
piments si bons en vue : fleurs de façades et bons : les jouvenceaux
de bonne cuisine de piperades pour accompagner les poulets en grains grimpeurs
des collines et des vallons qui font que nous nous se pâmons quand nous les dégustons.
et je vous embrasse très fort, merci de vos visites pendant cette panne.
photo d'Alfonso
le dernier arrivé sur ma liste d'amis du blog la main et il a changé son fond popur écrire c'est lumineux ouf !
et je vous embrasse très fort, merci de vos visites pendant cette panne.
photo d'Alfonso
le dernier arrivé sur ma liste d'amis du blog la main et il a changé son fond popur écrire c'est lumineux ouf !
et si vous souhaitez voir les autres instantanées pour Armarita, cliquez sur le lien
Coucou Frankie, à défaut d'admirer les photos que tu n'as pas prises... il est toujours très agréable de te lire !
RépondreSupprimerBisous ma belle et bon week end
Coucou Frankie ! Même sans photo, je t'ai bien imaginée partager des rires avec tes dames russes, une merguez avec les ouvriers, un sourire avec la maîtresse du labrador/pitbull. Tu as vraiment le chic pour les rencontres. C'est un bonheur.
RépondreSupprimerGros bisous à toi :-)
Bonsoir ma Frankie.
RépondreSupprimerEn pause mais je ne te loupe pas.
Tu as raison ce n'est pas parce que on n'a pas de photos qu'il faut se taire.
Et puis comme tu racontes si bien, on imagine et on sent l'odeur des merguez grillées passer par le clavier.
Je t'embrasse bien fort Mappemonde.
Belle soirée
joyeuse de voir ta petite chatte dans ma page de commentaires. ce fut une belle surprise que de te voir afficher. j'espère que tes vacances en ta maison se passe comme tu le souhaites et que tu nous as préparé par dtes ballades et par tes mets de bonnes reprises de tes billets . gros bisous
SupprimerTon billet est très photographique... Les images on se les fait dans la tête :-)
RépondreSupprimerGROS BECS Frankie
Il n'y avait que toi qui pouvait créer la photo virtuelle de la semaine, en nous racontant ce qui aurait pu y figurer. Merci de ta participation et continue à nous enchanter.
RépondreSupprimeroui, culottée la nénette mais je ne pouvais pas ne pas c'était vraiment ce jour là l'instantanée . oui. c'est bien nommée , je t'embrasse.
Supprimermerci chére amie d'armarita et aRMARITA?
RépondreSupprimerDE VOS MOTS ET D4AVOIR VOYAGER PAR SES CLICH2S ? JE VOUS EMBRASSE FORT SUR MON COEUR
Au lieu d' "espelette", j'avais d'abord lu "esperluette" sur la façade.
RépondreSupprimerBravo aussi pour votre beau texte chez le Marquis,
Catherine
ma chère catherine merci de votre venue, je viens de lire quelques uns de vos propos chez le marquis , vous vous lancez courageusement dans la mélée du rugby des philosphes nihilistes ! c'est un Oxymore . c'est courageux.
Supprimerj'ai mis du temps à répondre à la grande phrase du marquis comme mon mode d'expression n'est pas "l'esperluette" ou l'experte en la luette, c'était complexe , mais vous emblez bien nager dans leurs eaux.
moi je n'y pourrai souvent au risque de me perdre , car ils ont les peids bien ancrés, ce qui n'est pas mon cas.
soyez bien ancrée
. sachez que vous serez toujours la bienvenue sur ce blog. je vous embrasse chaleureusement.
Merci chère Duchesse Frankie, je suis très sensible à vos mots bienveillants et imagés, toujours venant d'un "ailleurs" bien à vous, vivant et chaleureux, à nul autre pareil.
RépondreSupprimerJe m'aventure ici ou là dans le jeu des commentaires, sans toujours savoir de quoi il retourne, mais j'aime bien prendre ce petit "risque" là.
J'ai vu sur votre étagère "l'innommable", et aussi dans vos commentaires tout le bien que vous pensez de Samuel Beckett, je vais m'empresser de lire ce livre, pour ne pas être "en reste".
C'est ça aussi que j'aime bien chez vous, chez le Marquis et les autres, c'est que ça rend "curieux" de tout.
A bientôt, noble dame,
Catherine
Ton écriture a créé l'image, et ce fut un voyage fastueux!
RépondreSupprimerMerci!
je suis au coin de la rue pour écrire normalement ce soir, je devrais editér le 4eme episode
RépondreSupprimergros bisous et merci de votre visite