Quel mois de septembre !
La route de Grandville.
Ecrire c’est s’empêcher de mourir.
Comme lire d’ailleurs.
Pierre Sansot* avait écrit un livre sur
« De la conversation »
déjà 20 à 30 ans déjà la conversation était presque devenue obsolète.
· (auteur de « La poétique de la ville » livre excellent
Ainsi que sur « le Rugby » même avis qu’ au dessus)
J’ai exploré tous les modes de résistance à l’appel d’Hadès.
J’ai eu la chance parmi tous les surnoms offerts
dans mon enfance,
- après la Marie Salope dont je vous ai expliqué le sens lors d’une chronique,
(Le bateau qui désembourbe la boue, les ensablés
à l’entrée de chenaux.
- La Bas bleue
- La Bijou comme la jument percheronne nommée la Oceanne
Proserpine fille de Déméter (moitié du temps avec Hadés ses Cerbère, et Charon
Après Proserpine sortait du monde de l’enfer ou du Tartaros (comme vous voulez)
Proserpine retournait à ses champs ,chants
La Lumière pour les semailles,
Récolte des blés,
Foin, regain
L’éclosion du printemps,
les éclats au palais des prunes d’été
de la mirabelle,
la reine claude d’Althan
la Reine Claude de Chambourcy
la quetsche d’ un bleu profond qui tire sur le violet
cuites, le sucre attaque vos papilles
-comme un vif argent-
Sensible à vos odeurs-
-je parlai en me « dévaginant »
Plus tard j’eusse été vacciné avec une aiguille de gramophone au lieu de celle du vaccin du BCG.
La Pathé-Marconni et son Jack Roussel fascinait
par la voix de sa petite maitresse
…..
- Par ma sœur : son aversion de sa petite sœur
- La nomme « Séccotine ».*
Le nom s’une colle très adhérente.
Aussi héroïne dune Bd « Spirou et Fantasio », Séccotine est reporter.
Les deux qualités pouvaient s’associer.
Je ne pourrai vous relater tout l’écrit de la route de GrandVIlle.
Surtout ne pas user de vos mots, vos lecteurs.
La fin fut le Cadeau de mes 40 ans d’analyse
Prendre en compte les années sans ,
Quand au bout de 6 ans vous avez acquis un passage
Mais ce n’est que la première borne du chemin
Le travail ne cesse, et vous jugez votre psychanalyse incapable de vous menez plus loin,
il vous a déjà étiquetée
de la nous ne bougeons plus
et l’arrivée du changement d’horaires de la nouvelle école de Lacan
si Lacan disait qu’une séance pouvait s’arrête
au bout de 10 minutes, au milieu d’un phrase,
afin de saisir le sens pour la prochaine séance ; vous y étiez,
Il n’était pas lacan, ni poete, ni philosophe, ou Cioran
Du style, je me dois d’avorter….
« Ben, alors qu’est ce que c’est ?
Un dé à coudre de chair »
Vous parlez d’un accompagnement
Où se joue beaucoup de questions
Et de plus :
Fallait déjà que le bonhomme soit concentré,
ne soit pas entrain de cuver son Peytrus du repas de midi. Sans compter l’ entrecôte sur sarments de 300 grammes et bonnes frites belges bien dodues de gras.
Tous ses rendez vous étaient passé à 10 minutes,
toutes les dix minutes
nous ne sommes pas obligatoirement
dans
un surgissement d’un bout de nos nœuds borroméens.
Lacan lui était capable de passer chez un patient en taxi à 6 heures du matin et la vitre fermée entre le chauffeur er les passagers si ce n’était pas une limousine pour l’allongement du patient et faire deux fois le tour de Paris.
De nicher . c’est souvent sobodorant
et décoller le bout bernique d’un refoulement.
Oui 10 minutes n’avait jamais été envisagées,
une généralité pour Lacan.
Déengnoncer, servir, sertir dans cet esprit …
Etre psychanalyste lacanien n’était pas simplement s’acheter des tapis persans ou alors des tapis de Fakir pour permettre l’envol de ces emprisonnés du citron.
Quelques exceptions dont je tairai les noms étant aujourd’hui limités dans leur clientèle… étant donné leur age certains, je vous engage à voir de temps en temps des compte rendu de conférence dans le monde entier.
Dans les supermarchés en Argentine Lacan est vendu dans les rayons…..
La route de GrandVille,
quelle merveille, quel cadeau.
Je pensais être encore dans « un surgir le pire. » de mon roman en cours.
Bye chers lecteurs lectrices
un beau mois d’octobre.
Frankie Pain
Tenir un blog aujourd'hui iest dur
RépondreSupprimerNous faisons face a des taiseux des lectures diagonales.
Je me suis défendue d écrire sur le blog le texte la route de GrandVille
J ai toujours cherche des points a partager vos intérêts
Mettre du désir la ou il n y en a plus
J écris le temps qui passe
L udure des gens. .
Je vous remercie du flots de mots.
Je vais aller me réchauffer le coeur l 'âme .
Ne plus rien attendre de personne , c est une réalité.
Bravo
A lz gloire de vivre
Du frison de sable dans le cresculaire soleil qui sort sa palette de nombreux
Cela que l on ne voit et entend sue la.
Je vous adore
Merci