samedi 15 mai 2010

mon an 40, l'art des quarantaines, l'avenir d'une illusion


Je fonce vers cet an 40

MES QUARANTAINEs
Un chapelet de prière les quarante boules de buis
S’égrènent sur le divan des calendriers
Vers cet an 40 à « joie de vivre »
Plus palpable

Commencer ma vie dans un métier de médecine,
L’art de la quarantaine était le temps que l'on se donnait pour poser un diagnostique.

Quand j'étais dans le monde de la psychopédagogie en réunion de synthèse je me laissais après avoir bien débattu du sujet-les strates d'évolution sont longues à se mettre en place- j'ai développé l'art de la quarantaine en créant une version d’un jeu de l'oie,
Evidemment je faisais cela avec la psychologue, la belle Hélène,
Au cache de l'autre partie de l'équipe très "LACANIENNE"
À part que le directeur et moi faisions partie de "l'école de la cause"
Des suivants, les autres : ne pas contredire le directeur
Qui était un très grand p. . . . . .

Grâce à ce travail de la quarantaine de son jeu de l'oie
J’ai attendu la bonne occasion
Et la maison de l'enfance inadaptée fut fermée.

Aujourd'hui mon an 40
Référence à la définition de l'expression ci dessous.

Je reprendrai un livre"L'avenir d'une illusion" de FREUD
(Cher FREUD vous qui venez complètement de vous faire compresser par le philosophe qui suscite beaucoup de remue-ménage)…
remettons FREUD en citation !
Je disais donc "L'avenir d'une illusion"
Face à cet état de crise qui se repend sur le temps comme le pétrole dans les eaux des Amériques,
nous sommes dans un point de réel
Qui n'est pas la définition de BRESSON : « le réel c’est du surnaturel »,
Le réel surgit de partout,
Les humains dans une utopie devraient se relier,
Il y a des jointures :
Les fêtes aux multitudes d'invités sur "face -book", oui on se rallie, quel rallye !
On pense à cette vieille histoire du joueur de flûte
Qui joue pour les entraîner les rats en hors de la ville,

Je vais dans mon 40 AN
Décortiquée de beaucoup d'espoir
Grâce « à l'avenir de cette illusion » et après
J’ai tracé déjà beaucoup de changement dans ma vie,
Toujours sur des chemins de traverses
Où l’improbable était le compagnon chevillé dans mes traces

Alors dans cette forêt très profonde,
Les cailloux blancs de mes essentiels,
Mes valeurs fermes comme de la mie de pain "granitfiée",
Je sème,
Devant, derrière, à droite à gauche.
En espérant que germera une nouvelle utopie
Afin de réinstaller un peu de jeu dans notre vie
Qui pourra nous faire décoller de ses lourds réels
Qui écrasent et appellent sans modération
Les pulsions de Thanatos à squatter de plus en plus de terrain.

L’isolement guillotine les êtres, les échafaudages ne sont que l’oeuvre du cerveau



J'accueille et regarde de prés toute idée
si c'est compliqué de laisser un message et commentaire
lamangou@yahoo.fr
Il sera édité sur ce blog

L’avenir d’une expression française
M’a fait écrire cette petite humeur

Bon week-end !

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