1s
Albert Einstein
Rare est le nombre de ceux qui regardent avec leurs propres yeux et qui éprouvent avec leur propre sensibilité.2s
Edgar Morin
C'est la surprise, l'étonnement qui nous oblige à évoluer.3s
Nelson Mandela
En faisant scintiller notre lumière, nous offrons aux autres la possibilité d'en faire autant.4s
Johann Wolfgang von Goethe
Trouver partout le bien et l'apprécier, c'est en cela que se montre l'amour de la vérité.5s
Marie de Hennezel
Lorsque j’ai rencontré des personnes âgées lumineuses, j’ai pu mesurer à quel point cette vieillesse rayonnante était le fruit de tout un travail de conscience et de lucidité qui se prépare très en amont.6s
Osho
Ecoutez simplement votre Cœur, votre intuition. Dans le voyage de la vie, ils sont vos seuls guides !a7
Les choses les plus attendues arrivent souvent par surprise.
« Ionesco
(Eugène), écrivain français d’origine roumaine (Slatina 1912).
Son théâtre dénonce l’absurdité de l’existence et des rapports sociaux à
travers un univers parodique et symbolique. [Acad. Fr.] » (Le Petit
Larousse).
En savoir plus sur http://www.paperblog.fr/5912637/lettre-au-dramaturge-de-l-insolite-eugene-ionesco/#CTvT5aWarO9zyU1y.99
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Eugène
Ionesco
1909-1994
« Ionesco
(Eugène), écrivain français d’origine roumaine (Slatina 1912).
Son théâtre dénonce l’absurdité de l’existence et des rapports sociaux à
travers un univers parodique et symbolique. [Acad. Fr.] » (Le Petit
Larousse).
En savoir plus sur http://www.paperblog.fr/5912637/lettre-au-dramaturge-de-l-insolite-eugene-ionesco/#CTvT5aWarO9zyU1y.99
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Eugène Ionesco, né Eugen Ionescu le 1 à Slatina (Roumanie) et mort le à Paris, est un dramaturge et écrivain roumain et français. Il passe la majeure partie de sa vie à voyager entre la France et la Roumanie. Représentant du théâtre de l'absurde, il écrit de nombreuses œuvres dont les plus connues sont La Cantatrice chauve, Les Chaises et Rhinocéros.
extrait
1. Un médecin consciencieux doit
mourir avec le malade s'ils ne peuvent pas guérir ensemble.
(La cantatrice chauve, p. 14 Folio n°236)
(La cantatrice chauve, p. 14 Folio n°236)
2. [...] la vérité ne se trouve
d'ailleurs pas dans les livres, mais dans la vie.
(La cantatrice chauve, p. 54 Folio n°236)
(La cantatrice chauve, p. 54 Folio n°236)
3. Toujours, on s'empêtre entre
les pattes du prêtre.
(La cantatrice chauve, p. 63 Folio n°236)
(La cantatrice chauve, p. 63 Folio n°236)
4. Elle [la pendule] marche mal.
Elle a l'esprit de contradiction. Elle indique toujours le contraire de l'heure
qu'il est.
(La cantatrice chauve, p. 64 Folio n°236)
(La cantatrice chauve, p. 64 Folio n°236)
5. Mme Martin : Ce matin, quand tu
t'es regardé dans la glace tu ne t'es pas vu.
M. Martin : C'est parce que je n'étais pas encore là...
(La cantatrice chauve, p. 68 Folio n°236)
M. Martin : C'est parce que je n'étais pas encore là...
(La cantatrice chauve, p. 68 Folio n°236)
6. Quand je dis oui, c'est une
façon de parler.
(La cantatrice chauve, p. 72 Folio n°236)
(La cantatrice chauve, p. 72 Folio n°236)
7. Prenez un cercle, caressez-le,
il deviendra vicieux !
(La cantatrice chauve, p. 72 Folio n°236)
(La cantatrice chauve, p. 72 Folio n°236)
8. Les mathématiques sont les
ennemies acharnées de la mémoire, excellente par ailleurs, mais néfaste,
arithmétiquement parlant !
(La leçon, p. 115 Folio n°236)
(La leçon, p. 115 Folio n°236)
9. L'élève : Les racines des mots
sont-elles carrées ?
Le professeur : Carrées ou cubiques. C'est selon.
(La leçon, p. 125 Folio n°236)
Le professeur : Carrées ou cubiques. C'est selon.
(La leçon, p. 125 Folio n°236)
10.
Attention, car les ressemblances sont grandes. Ce sont des
ressemblances identiques.
(La leçon, p.130 Folio n°236)
(La leçon, p.130 Folio n°236)
11. Il y a des choses qui viennent
à l'esprit même de ceux qui n'en ont pas.
(Rhinocéros, p.36, Livre de poche n°2620)
(Rhinocéros, p.36, Livre de poche n°2620)
12.
Je ne me suis pas habitué à moi-même. Je ne sais pas si je suis
moi.
(Rhinocéros, p.41, Livre de poche n°2620)
(Rhinocéros, p.41, Livre de poche n°2620)
13.
Bérenger : C'est une chose anormale de vivre.
Jean : Au contraire. Rien de plus naturel. La preuve : tout le monde vit.
Bérenger : Les morts sont plus nombreux que les vivants. Leur nombre augmente. Les vivants sont rares.
(Rhinocéros, p.43, Livre de poche n°2620)
Jean : Au contraire. Rien de plus naturel. La preuve : tout le monde vit.
Bérenger : Les morts sont plus nombreux que les vivants. Leur nombre augmente. Les vivants sont rares.
(Rhinocéros, p.43, Livre de poche n°2620)
14.
Daisy : [...] il s'agit tout simplement d'un chat écrasé par
un pachyderme : un rhinocéros en l'occurrence.
Botard : C'était peut-être tout simplement une puce écrasée par une souris. On en fait une montagne.
(Rhinocéros, p.92, Livre de poche n°2620)
Botard : C'était peut-être tout simplement une puce écrasée par une souris. On en fait une montagne.
(Rhinocéros, p.92, Livre de poche n°2620)
15.
Je n'insulte pas. Je prouve.
(Rhinocéros, p.129, Livre de poche n°2620)
(Rhinocéros, p.129, Livre de poche n°2620)
16.
Bérenger : Vous avez tort de ne pas croire à la médecine.
Jean : Les médecins inventent des maladies qui n'existent pas.
Bérenger : Cela part d'un bon sentiment. C'est pour le plaisir de soigner des gens.
(Rhinocéros, p.144, Livre de poche n°2620)
Jean : Les médecins inventent des maladies qui n'existent pas.
Bérenger : Cela part d'un bon sentiment. C'est pour le plaisir de soigner des gens.
(Rhinocéros, p.144, Livre de poche n°2620)
17. Il y a des maladies qui sont
saines.
(Rhinocéros, p.175, Livre de poche n°2620)
(Rhinocéros, p.175, Livre de poche n°2620)
18.
Tout est logique. Comprendre, c'est justifier.
(Rhinocéros, p.190, Livre de poche n°2620)
(Rhinocéros, p.190, Livre de poche n°2620)
19.
La culpabilité est un symptôme dangereux. C'est un signe qui manque
de pureté.
(Rhinocéros, p.223, Livre de poche n°2620)
(Rhinocéros, p.223, Livre de poche n°2620)
20.
Je ne peux plus changer. Je voudrais bien, je voudrais tellement,
mais je ne peux pas. Je ne peux plus me voir. J'ai trop honte ! Comme je
suis laid ! Malheur à celui qui veut conserver son originalité !
(Rhinocéros, p.241, Livre de poche n°2620)
(Rhinocéros, p.241, Livre de poche n°2620)
21.
LE ROI
Les rois devraient être immortels.
MARGUERITE
Ils ont une immortalité provisoire.
(Le Roi se meurt, p.53, Folio n°361)
Les rois devraient être immortels.
MARGUERITE
Ils ont une immortalité provisoire.
(Le Roi se meurt, p.53, Folio n°361)
22.
MARGUERITE
[Le Roi] s'imagine qu'il est le premier à mourir.
MARIE
Tout le monde est le premier à mourir.
(Le Roi se meurt, p.60, Folio n°361)
[Le Roi] s'imagine qu'il est le premier à mourir.
MARIE
Tout le monde est le premier à mourir.
(Le Roi se meurt, p.60, Folio n°361)
23.
Pourquoi suis-je né si ce n'était pas pour toujours ?
(Le Roi se meurt, p.66, Folio n°361)
(Le Roi se meurt, p.66, Folio n°361)
24.
Mon chéri, mon Roi, il n'y a pas de passé, il n'y a pas de futur.
Dis-le-toi, il y a un présent jusqu'au bout, tout est présent ; sois
présent. Sois présent.
(Le Roi se meurt, p.74, Folio n°361)
(Le Roi se meurt, p.74, Folio n°361)
25.
Que tous meurent pourvu que je vive éternellement même tout seul
dans le désert sans frontières. Je m'arrangerai avec la solitude. Je garderai
les souvenirs des autres, je le regretterai sincèrement. Je peux vivre dans
l'immensité transparente du vide. Il vaut mieux regretter que d'être regretté.
(Le Roi se meurt, p.76, Folio n°361)
(Le Roi se meurt, p.76, Folio n°361)
26.
Tant qu'on est vivant, tout est prétexte à littérature.
(Le Roi se meurt, p.78, Folio n°361)
(Le Roi se meurt, p.78, Folio n°361)
27.
Vous tous, innombrables, qui êtes morts avant moi, aidez-moi.
Dites-moi comment vous avez fait pour mourir, pour accepter. Apprenez-le moi.
Que votre exemple me console, que je m'appuie sur vous comme sur des béquilles,
comme sur des bras fraternels. Aidez-moi à franchir la porte que vous avez
franchie. Revenez de ce côté-ci un instant pour me secourir. Aidez-moi, vous,
qui avez eu peur et n'avez pas voulu. Comment cela s'est-il passé ? Qui
vous a soutenus ? Qui vous a entraînés, qui vous a poussés ?
Avez-vous eu peur jusqu'à la fin ? Et vous, qui étiez forts et courageux,
qui avez consenti à mourir avec indifférence et sérénité, apprenez-moi
l'indifférence, apprenez-moi la sérénité, apprenez-moi la résignation.
(Le Roi se meurt, p.78, Folio n°361)
(Le Roi se meurt, p.78, Folio n°361)
28.
Des milliards de morts. Ils multiplient mon angoisse. Je suis leurs
agonies. Ma mort est innombrable. Tant d'univers s'éteignent en moi.
(Le Roi se meurt, p.81, Folio n°361)
(Le Roi se meurt, p.81, Folio n°361)
29.
Il n'est pas naturel de mourir, puisqu'on ne veut pas. Je veux
être.
(Le Roi se meurt, p.83, Folio n°361)
(Le Roi se meurt, p.83, Folio n°361)
30.
LE ROI
Dis-moi ta vie. Comment vis-tu ?
JULIETTE
Je vis mal, Seigneur.
LE ROI
On ne peut vivre mal. C'est une contradiction.
(Le Roi se meurt, p.88, Folio n°361)
Dis-moi ta vie. Comment vis-tu ?
JULIETTE
Je vis mal, Seigneur.
LE ROI
On ne peut vivre mal. C'est une contradiction.
(Le Roi se meurt, p.88, Folio n°361)
31.
LA DEMOISELLE : Ne dites jamais :
c'est bien dommage. Dites : c'est plutôt dommage. Il ne faut jamais parler
ni écrire comme on lit.
LE MONSIEUR : Ou vice versa. Pour employer le passé simple.
(Le salon de l'automobile, p.196 in Théâtre IV, Gallimard NRF 1966)
LE MONSIEUR : Ou vice versa. Pour employer le passé simple.
(Le salon de l'automobile, p.196 in Théâtre IV, Gallimard NRF 1966)
32.
LA DEMOISELLE : Monsieur veut acheter
de l'automobile.
LE VENDEUR : Un automobile ou une automobile ?
LE MONSIEUR : Les deux. Pour avoir le couple. Je n'aime pas désunir les ménages.
(Le salon de l'automobile, p.197 in Théâtre IV, Gallimard NRF 1966)
LE VENDEUR : Un automobile ou une automobile ?
LE MONSIEUR : Les deux. Pour avoir le couple. Je n'aime pas désunir les ménages.
(Le salon de l'automobile, p.197 in Théâtre IV, Gallimard NRF 1966)
33.
Je suis complètement et à moitié désespérée.
(Jacques ou la soumission, p.100, in Théâtre I, Gallimard NRF 1954)
(Jacques ou la soumission, p.100, in Théâtre I, Gallimard NRF 1954)
34.
Fils ! fils ! écoute-moi. Je t'en supplie, ne réponds pas
à mon brave coeur de mère, mais parle-moi, sans réfléchir à ce que tu dis.
C'est la meilleure façon de penser correctement, en intellectuel et en bon
fils.
(Jacques ou la soumission, p.101, in Théâtre I, Gallimard NRF 1954)
(Jacques ou la soumission, p.101, in Théâtre I, Gallimard NRF 1954)
35.
O paroles, que de crimes on commet en votre nom !
(Jacques ou la soumission, p.103, in Théâtre I, Gallimard NRF 1954)
(Jacques ou la soumission, p.103, in Théâtre I, Gallimard NRF 1954)
36.
JACQUELINE : Je vais tout te dire en vingt-sept mots. Voici,
et tâche de te souvenir : tu es chronométrable.
JACQUES : Et le reste ?
JACQUELINE : C'est tout. Les vingt-sept mots sont compris, ou comprises, dans ces trois-là, selon leur genre.
(Jacques ou la soumission, p.103, in Théâtre I, Gallimard NRF 1954)
JACQUES : Et le reste ?
JACQUELINE : C'est tout. Les vingt-sept mots sont compris, ou comprises, dans ces trois-là, selon leur genre.
(Jacques ou la soumission, p.103, in Théâtre I, Gallimard NRF 1954)
37.
Toute la loi s'insurge contre elle-même quand on ne la défend pas.
(Jacques ou la soumission, p.103, in Théâtre I, Gallimard NRF 1954)
(Jacques ou la soumission, p.103, in Théâtre I, Gallimard NRF 1954)
38.
[...] la vérité n'a que deux faces mais son troisième côté vaut
mieux !
(Jacques ou la soumission, p.112, in Théâtre I, Gallimard NRF 1954)
(Jacques ou la soumission, p.112, in Théâtre I, Gallimard NRF 1954)
39.
Vous réfléchissez ? moi aussi, des fois. Mais dans un miroir.
(Jacques ou la soumission, p.119, in Théâtre I, Gallimard NRF 1954)
(Jacques ou la soumission, p.119, in Théâtre I, Gallimard NRF 1954)
40.
En somme, monde intérieur, monde extérieur, ce sont des expressions
impropres, il n'y a pas de véritables frontières pourtant entre ces deux
mondes ; il y a une impulsion première, évidemment, qui vient de nous, et
lorsqu'elle ne peut s'extérioriser, lorsqu'elle ne peut se réaliser
objectivement, lorsqu'il n'y a pas un accord total entre moi du dedans et moi
du dehors, c'est la catastrophe, la contradiction universelle, la cassure.
(Tueur sans gages, p.73, in Théâtre II, Gallimard NRF 1954)
(Tueur sans gages, p.73, in Théâtre II, Gallimard NRF 1954)
41.
La pénicilline et la lutte contre l'alcoolisme sont bien plus
efficaces que les changements de gouvernements.
(Tueur sans gages, p.145, in Théâtre II, Gallimard NRF 1954)
(Tueur sans gages, p.145, in Théâtre II, Gallimard NRF 1954)
42.
Penser contre son temps c'est de l'héroïsme. Mais le dire, c'est de
la folie.
(Tueur sans gages, p.145, in Théâtre II, Gallimard NRF 1954)
(Tueur sans gages, p.145, in Théâtre II, Gallimard NRF 1954)
43.
J'ai toujours été seul... Pourtant j'aime l'humanité, mais de loin.
(Tueur sans gages, p.160, in Théâtre II, Gallimard NRF 1954)
(Tueur sans gages, p.160, in Théâtre II, Gallimard NRF 1954)
elisandre librairie
44. Vous avez certainement de l'amour-propre, le culte de votre intelligence. Rien n'est plus gênant que d'être sot. C'est beaucoup plus compromettant que d'être criminel, même la folie a une auréole.
(Tueur sans gages, p.170, in Théâtre II, Gallimard NRF 1954)
44. Vous avez certainement de l'amour-propre, le culte de votre intelligence. Rien n'est plus gênant que d'être sot. C'est beaucoup plus compromettant que d'être criminel, même la folie a une auréole.
(Tueur sans gages, p.170, in Théâtre II, Gallimard NRF 1954)
45.
Il est possible que la vie du genre humain n'ait aucune importance,
donc sa disparition non plus... l'univers entier est peut-être inutile et vous
avez peut-être raison de vouloir le faire sauter, ou de le grignoter au moins,
créature par créature, morceau par morceau... Peut-être ne devez-vous pas le
faire. Je ne sais plus du tout, moi, je ne sais plus du tout. Peut-être vous
êtes dans l'erreur, peut-être l'erreur n'existe pas, peut-être c'est nous qui
sommes dans l'erreur de vouloir exister...
(Tueur sans gages, p.171, in Théâtre II, Gallimard NRF 1954)
(Tueur sans gages, p.171, in Théâtre II, Gallimard NRF 1954)
46.
Mon Dieu, on en peut rien faire !... Que peut-on faire... Que
peut-on faire...
(Tueur sans gages, p.172, in Théâtre II, Gallimard NRF 1954)
picasso
(Tueur sans gages, p.172, in Théâtre II, Gallimard NRF 1954)
picasso
47.
[À l'entrée sur scène du Maître :]
Tous :
Mais, mais... il n'a pas de tête, le maître !
L'Annonciateur :
Il n'en a pas besoin, puisqu'il a du génie.
(Le Maître, p.241, in Théâtre II, Gallimard NRF 1954)
Tous :
Mais, mais... il n'a pas de tête, le maître !
L'Annonciateur :
Il n'en a pas besoin, puisqu'il a du génie.
(Le Maître, p.241, in Théâtre II, Gallimard NRF 1954)
48.
DUNCAN : Permettez-moi de vous le dire franchement, avec ma
franchise habituelle.
LADY DUNCAN : Franchement ou non, cela revient au même.
(Macbett, p.92, Folio n°694)
LADY DUNCAN : Franchement ou non, cela revient au même.
(Macbett, p.92, Folio n°694)
49.
Tous les oeufs ne font plus qu'un, dans la même omelette.
(Macbett, p.94, Folio n°694)
(Macbett, p.94, Folio n°694)
50.
Oublie que tu existes. Souviens-toi que tu es.
(Macbett, p.110, Folio n°694)
(Macbett, p.110, Folio n°694)
Wouhou ! Que de travail pour mon esprit faiblard aux synapses pourris par la racine ! Frankie Pain, Frankie Pain, Frankie Pain… ça ne fait rien, je vous pardonne trout de même.
RépondreSupprimerJe vous pardonne vos infidélités à mon blogue ennuyant à mourir. Vous me direz que j'en fais autant, peut-être ? Mais non, moi c'est que je suis occupé è ne rien faire du tout. Rien n'est épuisant comme de ne rien faire du tout. Alors vous voyez, je suis épuisé, ce qui prouve que je fais bel et bien quelque chose d'épuisant. Non ?
À propos des médecins, les Chinois fonctionnent, ou fonctionnaient, autrement. Quelqu'un paie son médecin tant qu'il est en bonne santé. S'il tombe malade, il cesse de le payer. Le médecin a donc tout intérêt à conserver ses clients en bonne santé.
Bonne journée, bon mois, bonne saison, bonne année. 2016, je veux dire.
c'est drôle.. en lisant tout ..je pensais comme roger.. la médecine est pour les 'malades' en bonne santé...et nous sommes tous mortels..mais le chat a 7-9 vies... bisoubisou
RépondreSupprimerAh Frankie..;que de souvenirs avec Ionesco qui était beaucoup joué à Paris quand j'étais jeune, le Rois se meurt avec Tsilla Chelton à l'Alliance Française...la Leçon et la Cantatrice chauve vers Montparnasse, Rhinocéros je crois que c'était à l'Odéon, les Chaises ...j'ai eu un grand plaisir à relire toutes tes citations.
RépondreSupprimerje te souhaite une douce soirée
bisous en attendant ta photo du samedi
« 23 – Pourquoi suis-je né si ce n'était pas pour toujours ? »
RépondreSupprimerVoilà une belle citation avec une vraie question (et en plus elle est métaphysique !)
Ici, Ionesco ne se contente pas de dire tout et son contraire histoire de stimuler nos neurones.
Je ne manquerai pas d’en faire très prochainement mon profit …
Je vous embrase chère Frankie
Jean-Pierre
Une plongée dans cet univers si particulier. Merci de raviver ma mémoire, et je ne dois pas être la seule à me dire qu'il faudrait s'arrêter sur chacune de ces citations pour en apprécier la valeur. Mais je voulais te dire que j'aime aussi beaucoup les illustrations que tu as trouvées. Passe un bon week-end
RépondreSupprimerL'univers de Ionesco est plus que jamais d'actualité. Cela me donne envie de caresser mon cercle pour le rendre vicieux avant de m'endormir en son centre .
RépondreSupprimerBonjour!! Merci pour ce beau florilège; lis-tu tous les livres dont tu parles?
RépondreSupprimerPour ma part, j'aime Marie de Hennezel, aussi lumineuse que les gens ages don't elle parle ici...
certtains de ses livres m'ont emballée!
Et j'adore Rhinocéros,les autres pieces aussi, mais j'ai étudié Rhinocéros avec les élèves, plusuers fois; c'est TRES fort, plein de sens sous l'absurdité apparente!! Ca fait rire,mais ça devrait faire grincer.
Gros bisous!