ça fait drôle de vivre sans cette machine, je pensais à vous et à ma jeune auteure si loin au dessus du Mékong
alors, je sais réparer
don nous allons reprendre les conversations
et s'enrichir des messages subliminaux laissés par cette panne.
merci de vos petits mots.
1
Alfred Avrillaud
La sagesse repose sur l'équanimité. Elle commence par l'indifférence au jugement d'autrui, qu'il s'agisse de reproches comme de louanges.2
Thich Nhat Hanh
Dans la panique, tous sont perdus. Qu'un seul garde son calme et il ouvre à tous la voie de la survie.3
Claudette Vidal
Que reste-t-il quand il n’y a plus de « je » avec ses concepts, ses goûts, ses intentions, ses peurs et ses propres souvenirs ? Il ne reste rien, que du vide plein de vie ; c’est la vacuité. Quand je ne suis plus rien, je peux être tout.c'est terrifiant mais avec patience peut-être y arriver dans être anéanti (e)
frankie
4
Neale Donald Walsch
L'intimité signifie plus que le sexe. Il s'agit d'une connexion d'âmes. Vous êtes intime lorsque vous êtes totalement avec l'autre et cela a peu à voir avec l'état physique.5
Isira
L'obscurité dans laquelle vous craignez d'entrer détient le trésor que vous cherchez.6
Martin Luther King
Dieu a les deux bras étendus. L'un est assez fort pour entourer de justice, l'autre assez doux pour nous entourer de grâce.7
Patrick Vigneau
L'attention détendue à l'instant présent est la porte. Le poids de la mémoire est l'obstacle. Le poids du savoir est le fardeau.8
Alan Watts
Ceci est le véritable secret de la vie - Être complètement engager avec ce que vous faites dans l'ici et maintenant. Et au lieu d'appeler cela travailler, réaliser que c'est jouer.9
Alexander Graham Bell
Ne marche jamais sur le chemin tracé car il ne te mène que là où d'autres sont allés.11
Par rapport au monde, je fais une différence entre « exister »,
et « être ». Exister, c’est faire partie du monde. Être, c’est le
contraire de se laisser vider, vampiriser par les sollicitations du monde :
c’est être en captation, vivant.
Vous connaissez peut-être le conte de l’homme qui
contait dans le ghetto de Prague : à la fin il n’y a plus qu’un enfant
devant lui, qui lui demande pourquoi il s’obstine, puisqu’il n’y a plus de
public. L’homme lui répond : « Au début je contais pour changer le
monde, maintenant je conte pour que le monde ne me change pas ».
Le bruit du monde est un bombardement permanent, il joue
sur une excitation incessante, une qualité d’émotion bas de gamme. Il s’agit
moins d’attirance que d’irritation. Je me suis demandé comment m’en protéger.
Dans nombre de religions il y a l’idée de prière perpétuelle, de mantra, etc. mais
ce n’était pas mon truc. Mon mantra à moi, c’est un air de chanson qui chante
toujours. Ça m’empêche de laisser des plumes dans le bruit. Nous avons tous
intérêt à repérer la différence entre le bruit du dehors, et la musique du
dedans.
(Henri Gougaud, Parole
d’Atelier).
12
«Quand on ne trouve pas son repos en soi-même, il est inutile de le chercher ailleurs.»
– La Rochefoucauld
...
fait d’être productif a toujours été très valorisé; c’est même une des qualités les plus admirées. Ainsi, on peut virevolter comme de petites mouches pendant longtemps avant de réaliser que notre besoin d’être constamment en action n’est pas une force, en réalité, mais une sorte de compulsion. Évidemment, être proactif et généreux est un bel élan de vie… mais nous savons tous les deux que ce n’est pas à un «bel élan de vie» que l’on a affaire, ici. Si on a besoin d’être occupé pour se sentir O.K., c’est parce que c’est la peur qui nous mène par le bout du nez. La peur du silence, peut-être. La peur de se rencontrer. Et qui a vraiment envie de vivre ainsi? Une fuite est une fuite… que l’on fuie dans l’alcool ou dans l’action. Et rien de ce que l’on gagne ainsi n’est aussi précieux que ce que l’on perd, même si on attire des regards approbateurs de nos pairs.
Nous sommes des rois, des reines. Nous ne sommes pas ici pour dépenser le maximum d’énergie possible, pour prouver notre valeur, ou pour justifier notre existence… Et tout ce que l’on fait dans cet état d’esprit est vide – vide de nous, vide de paix, vide d’amour. Si on n’est pas bien avec soi-même, cela se reflétera dans tout ce que l’on fera, et cela nous suivra où que l’on soit.
Ainsi, oui, un être humain qui accomplit une foule de jolies choses est certainement très inspirant. Mais il y a une autre chose qui l’est tout autant : une personne qui peut être assise sur une chaise, en silence, et se sentir remplie de sa simple présence. Une personne qui est capable de juste être, sans ressentir le moindre manque. Une personne qui a le courage d’accueillir les malaises qui remontent à la surface lorsqu’elle est seule avec elle-même, plutôt que de fuir vers l’extérieur ou vers l’avant. Oh, ce n’est pas le genre d’accomplissement pour lequel on distribue des médailles… mais en ce qui me concerne, je peux difficilement imaginer quelque chose de plus beau et de plus impressionnant.
Passez une belle journée!
xx
conversent
plaisir de vous avoir retrouver
Ce matin même, on s'est dit avec Amartia: Et Frankie? on ne l'entend plus! Je ne sais pas si elle a eu le temps de t'écrire un petit mot, moi la vie m'a bouffée toute la journée, et au moment de la pause, je te retrouve. Ca fait du bien de te retrouver avec tes bonnes pensées. Bonne soirée.
RépondreSupprimerJe suis heureuse de te retrouver Frankie.
RépondreSupprimerCe long silence commençait à m'inquiéter mais, si c'était l'ordi qui était en panne et pas toi, tant mieux!
Donc nous voilà reparties dans tes jolies pensées. La neuf me séduit bien mais ce que j'apprécie le plus c'est la conversation de Clémence et Malahla.
Je t'embrasse très fort Mappemonde.
Belle soirée et à bientôt.
c'est avec un grand plaisir que je retrouve tes pensées Frankie, je suis heureuse sue tu ailles bien...
RépondreSupprimerbonne soirée en compagnie de Clémence et de Malhala !
je t'mbrasse
Les outils de la connaissance, indispensables pour se réparer! Bisous Frankie.
RépondreSupprimerOn peut nous mettre dans le même panier car moi aussi je nage dans les problèmes d'ordi. Certaines choses marchent, d'autres pas! Pas très pratique. Mon sauveur n'arrivera que la semaine prochaine et en attendant je me "dépatouille!
RépondreSupprimerT'es une cheftaine d'avoir réussi à te dépanner.
Bonne semaine Frankie.
Bisous
quelle chance de pouvoir réparer toute seule son ordinateur! bravo!
RépondreSupprimerEt plaisir de te retrouver aussi, j'aime commencer la semaine avec tes jolies pensées.
RépondreSupprimerHeureuse de te retrouver Frankie et Bravo pour la réparation !
RépondreSupprimerGROS BECS
ça fait drôle de vivre sans cette machine,
RépondreSupprimerLa panne d’ordinateur – et éventuellement la panne de connexion – est l’occasion de sentir combien nous sommes dépendants non pas d’une machine mais de la relation qu’elle seule rend possible avec plein de gens qu’on n’a jamais rencontrés, qu’on ne rencontrera sans doute jamais, mais qui comptent quand même pour nous.
Parce que c’est _pour eux_ qu’on pense ce qu’on écrit, et _par eux_ qu’on relance notre pensée.
Cela existe depuis toujours, depuis qu’on a utilisé des moyens de communications – plus ou moins efficaces, et c’est vrai que l’Internet a avantageusement remplacé les pigeons voyageurs.
« notre besoin d’être constamment en action n’est pas une force, en réalité, mais une sorte de compulsion »
C’est le message que les stoïciens diffusaient en permanence : « Sachez – disaient-il – rester tranquille là où vous êtes ». Et Pascal ? « Nous cherchons à nous distraire de nous-mêmes en nous lançant dans toutes sortes d’actions inessentielles, comme le jeu ou la chasse ».
C’est vrai. Mais je dirai quant à moi, que ce qui compte quand même c’est ce qui reste une fois qu’on a fini d’agir. Qu’est-ce qui dit que moi, par exemple, je ne suis pas un obsessionnel compulsif quand je poste chaque jour depuis six ans un message sur mon Blog ? Il suffit quand je sois en panne comme vous l’avez été chère Frankie de constater que je ne suis pas à l’aise : oui, il y a sans doute une bonne vieille compulsion derrière ça. Et alors ? Ferait-on quoi que ce soit de consistant si on n’avait pas ce moteur ?
Je vous embrasse chère Frankie
Jean-Pierre
Enfin te revoilou, pour la spécialiste en informatique:
RépondreSupprimerhip,hiphip, hourrah!!!
Bj'our Frankie Pain, C'est rigolo j'ai vu ta bibine dans le film culte d'Amélie Poulain, je me suis dit bein oui c'est bien la blogueuse que je suis de temps en temps en silence ..... Enchantée madame, depuis quelques années que je blogue j'ai pris l'habitude de tutoyer, j'espère que cela ne te dérange ?
RépondreSupprimerje te mets dans mes favoris sur mon nouveau blog de "popote", crée depuis peu. Excellente journée Frankie.
http://cr-e-a-s-zy-popot.blogspot.fr/ désolée je ne gère pas tout encore sur cette plateforme de blog ;))
RépondreSupprimerTu vas me trouver envahissante sur le coup je fais un autre essai ... rire.... je suis connectée et j ai mis à jour mon profil
RépondreSupprimersi tu as un tuyau for me je suis preneuse merci Frankie
RépondreSupprimerQuelle joie de te retrouver. Et toujours ces mots subtils et profonds qui trouvent un écho en chacun de nous. Je suis vraiment heureuse que tu te portes bien, et que tes bouquets de pensées continuent à nous porter.
RépondreSupprimerJe m'attendais à un billet rigolo et j'en trouve un qui me force à réfléchir. C'est pas bien ça.
RépondreSupprimerHeureux de voir que vos problèmes d'ordi sont réglés. J'ai ma propre théorie là-dessus. Mes ordis savent que je n'entends pas à rire et que je les jetterai s'ils s'avisent de ne pas coopérer entièrement. Alors ils coopèrent, ne sont pas stupides tout de même !