Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
mercredi 10 avril 2013
Un bain le texte était là que le temps d'un premier jet pour les lecteurs et lectrices habitués
Bravo Frankie, pour moi ce texte est voluptueux et sensuel, ton tableau coloré et, pour la recette ma mémé de Dordogne les préparait en matelote et, aussi parfois en persillade. Mais ton texte me fait penser plutôt à la matelote. J'aimerais bien connaitre la suite et la fin de ce merveilleux bain d'anguilles! Je t'embrasse, belle soirée.
Superbe et velouté comme ce portrait de Pilar j'aime la suite à découvrir Frankie les anguilles je ne prendrai pas le bain avec mais dans mon assiette...j'ose t'avouer que le côté reptilien de cet animal me fait frémir. je t'embrasse douce Frankie, je te souhaite une belle soirée
Oui, j’ai aimé cette histoire que vous nous faites vivre. Mais justement du fait de ce qu’elle donne à vivre, je ne suis pas certain de vouloir suivre Pilar et ses compagnons. « Vivre un bain de caresses chaloupées, gluantes » : se plonger dans une baignoire remplie d’anguilles grouillantes et gluantes, ça c’est un fantasme que j’ai du mal à endurer. Mais en même temps – vertu du conte – c’est un vrai fantasme : entendez que je les ressens ces foutues anguilles : elles se frottent contre mon corps, elles s’insinuent partout… Houlalà ! Oui, c’est ça qui ne me va pas.
… Reste que le talent se mesure à la quantité d’invention et donc de surprises qu’on instille dans un texte. Vous êtes, chère Frankie, la « magicienne de l’invention permanente. » Ne changez rien. Je vous embrasse, Jean-Pierre
Un bain d'anguilles ... euh ... même dans songes rêves les plus fous je n'eusse pu en rêver ! Cela dit j'aime autant que ça ne se réalise pas, le côté grouillant, pas pour moi, merci.
Même si j'ai savouré avec une délectation sans nom la lecture de ton texte (j'avoue que le bain d'anguilles ne me déplairait pas!), je suis restée pensive sur cette phrase. Tu as, encore une foi, le talent inouï -et rare- d' 1/ inventer en permanence et de surprendre le lecteur, 2/ de le faire mettre à la place des personnages, même si parfois pour certains, cette place n'est pas très ragoûtante. Je n'aurais pas dit mieux que Jean-Pierre pour te décrire.
Et: BIEN SUR qu'on a aimé! BIEN SUR qu'on veut la suite!
je viens de cloturer la lecture des critique et je vous en remercie, les retours sont différents et ce recoupe sur plusieurs plans aprés reprise et lecture des petits détails il va aller s'envoyer au coucours je vous tiendrai au corant de la suite. merci de votre charmante colaboration... amicale et vigilante. merci beaucoup
Bravo Frankie, pour moi ce texte est voluptueux et sensuel, ton tableau coloré et, pour la recette ma mémé de Dordogne les préparait en matelote et, aussi parfois en persillade.
RépondreSupprimerMais ton texte me fait penser plutôt à la matelote.
J'aimerais bien connaitre la suite et la fin de ce merveilleux bain d'anguilles!
Je t'embrasse, belle soirée.
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Superbe et velouté comme ce portrait de Pilar j'aime la suite à découvrir Frankie
RépondreSupprimerles anguilles je ne prendrai pas le bain avec mais dans mon assiette...j'ose t'avouer que le côté reptilien de cet animal me fait frémir.
je t'embrasse douce Frankie, je te souhaite une belle soirée
Oui, j’ai aimé cette histoire que vous nous faites vivre. Mais justement du fait de ce qu’elle donne à vivre, je ne suis pas certain de vouloir suivre Pilar et ses compagnons.
RépondreSupprimer« Vivre un bain de caresses chaloupées, gluantes » : se plonger dans une baignoire remplie d’anguilles grouillantes et gluantes, ça c’est un fantasme que j’ai du mal à endurer.
Mais en même temps – vertu du conte – c’est un vrai fantasme : entendez que je les ressens ces foutues anguilles : elles se frottent contre mon corps, elles s’insinuent partout…
Houlalà ! Oui, c’est ça qui ne me va pas.
… Reste que le talent se mesure à la quantité d’invention et donc de surprises qu’on instille dans un texte. Vous êtes, chère Frankie, la « magicienne de l’invention permanente. » Ne changez rien.
Je vous embrasse,
Jean-Pierre
Un bain d'anguilles ... euh ... même dans songes rêves les plus fous je n'eusse pu en rêver !
RépondreSupprimerCela dit j'aime autant que ça ne se réalise pas, le côté grouillant, pas pour moi, merci.
Le destin part de loin pour atteindre son but !
RépondreSupprimerMême si j'ai savouré avec une délectation sans nom la lecture de ton texte (j'avoue que le bain d'anguilles ne me déplairait pas!), je suis restée pensive sur cette phrase. Tu as, encore une foi, le talent inouï -et rare- d' 1/ inventer en permanence et de surprendre le lecteur, 2/ de le faire mettre à la place des personnages, même si parfois pour certains, cette place n'est pas très ragoûtante.
Je n'aurais pas dit mieux que Jean-Pierre pour te décrire.
Et: BIEN SUR qu'on a aimé! BIEN SUR qu'on veut la suite!
je viens de cloturer la lecture des critique et je vous en remercie, les retours sont différents et ce recoupe sur plusieurs plans aprés reprise et lecture des petits détails il va aller s'envoyer au coucours
RépondreSupprimerje vous tiendrai au corant de la suite.
merci de votre charmante colaboration... amicale et vigilante.
merci beaucoup
Je pense parler pour tous en te répondant simplement: "Je t'en prie".
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